• Récit 101

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    Mon ami Bastien

    Je m'appelle Nico je suis plutôt grand, brun, des yeux marron foncé, le teint un peu olivâtre. Tout le monde dit que sans être un canon de beauté j'ai du charme, mais à l'époque j'étais un peu timide et réservé. Depuis l'âge de 12 ans je savais que j'étais seulement attiré pas les garçons, mais du fait d'un contexte familial traditionnel, j'avais toujours soigneusement caché ce que je pensais être une tare.

    J'avais 17 ans, je venais d'avoir mon Bac, je me suis inscrit dans une classe préparatoire aux grandes écoles à Paris. Beaucoup de travail, forte pression des professeurs très exigeants. Même si j'étais comme tous les garçons de mon âge très travaillé par le sexe, je n'avais guère l'occasion ni le temps d'assouvir mes penchants. Venant de province, je connaissais d'ailleurs peu de monde, et encore très naïf, je n'avais pas entendu parler de lieux de drague gays.

    Le programme était bien sûr très axé sur les maths et la physique, mais nous avions aussi de cours de français, d'anglais et de gymnastique. Ces cours de gym étaient un vrai bonheur : je pouvais pratiquer la natation, que j'adore, courir, me dépenser. Et puis on pouvait voir de superbes athlètes à la piscine ou sur les stades ! Mais pour certains de mes camarades c'était moins drôle. Ils étaient plutôt du genre bûcheur, mais pas du tout sportifs. C'était le cas de Bastien.

    Bastien était un peu plus vieux que moi (18 ans et demi). Il avait une très jolie tête, le nez fin et droit, de jolies lèvres et de belles dents très blanches. Mais son trait physique le plus frappant, c'était la magnifique couleur roux foncé de ses cheveux bouclés. Il avait une peau un peu laiteuse, beaucoup de taches de rousseur, des yeux bleu-gris très clairs soulignés de longs cils dorés. On aurait dit une fille. Il était aussi grand que moi, mais les épaules moins larges, et un peu enveloppé – même carrément grassouillet. Au début je ne l'avais pas trop remarqué, parce que moi, mon type c'était plutôt le méditerranéen poilu et brun, ou le beur musclé. Dans notre classe il y avait un certain Khaled... Je me branlais tous les soirs en pensant à lui, à son sourire ravageur, au paquet imposant qu'il exhibait virilement dans son short de gym...

    Bref, pour en revenir à Bastien, il était très mauvais nageur, il avait carrément peur de l'eau. Un jour qu'il était sur le bord de la piscine, hésitant, un copain l'a poussé à l'eau dans un endroit où il n'avait pas pied en le traitant de poule mouillée. Le prof regardait ailleurs, mais moi j'ai bien vu que Bastien était en train de boire la tasse. Je l'ai attrapé sous les bras et je l'ai sorti, tout crachotant et tremblant. Un peu plus tard comme je revenais dans les vestiaires pour me sécher, je l'ai vu seul assis, tout tremblant de froid, agité de frissons. Ses lèvres bougeaient comme s'il allait pleurer. Il m'a regardé, j'ai vu dans ses yeux une détresse qui m'a ému. Je me suis approché, j'ai dit quelques mots et je j'ai bien bouchonné. Puis je lui ai passé ses vêtements pour qu'il se rhabille. De mon côté j'ai fait de même et je suis parti.

    Le lendemain au moment d'entrer en classe il s'est approché de moi et m'a demandé timidement s'il pouvait s'asseoir à côté de moi. Comme j'avais pas de vrai copain encore, j'ai dit 'Oui, si tu veux'. Il a eu l'air tout content. Bien vite on est devenus inséparables. Il était d'un caractère très facile, il ne se mettait jamais en colère (alors que moi... hum !). Il était toujours d'accord avec tout ce que je disais ou proposais. Les copains disaient en riant en parlant de nous 'NicoBass'. En fait mes dispositions de leader se sont développées à son contact. Je suis devenu moins timide. Je m'affirmais, j'avançais des idées, je proposais des sorties au cinéma ou dans des musées le week-end. Bastien était toujours d'accord.

    Jusqu'au jour où le fameux Khaled nous a dit ''Hé les pédés''. Bastien est devenu tout rouge. Mais moi je me suis mis en colère et j'ai volé dans les plumes de ce con de Khaled.

    Bon j'étais pas de force, je me suis fait bien rosser, j'avais la lèvre amochée et plusieurs bleus (ma mère était folle, elle voulait se plaindre auprès du Proviseur, mais je le lui ai interdit – chaude séance en famille ! Malgré tout, j'avais gagné le respect des autres. Plus personne ne nous a embêtés. Quant à Bastien, il me considérait presque comme un dieu ! D'autant que j'avais, en plus, de bien meilleurs résultats scolaires que lui et donc que j'étais promis à une 'math spé' ''Etoile'', le rêve de tous nos condisciples, alors que lui savait d'ores et déjà que cette ambition était hors de portée.

    Au fil des mois nos rapports sont devenus encore plus marqués par cette relation dominant/dominé. Si j'émettais le moindre désir, il se mettait en quatre pour me satisfaire.

    Un jour, c'était au début du mois de mai, il fait beau et doux, je lui ai proposé d'aller étudier dehors, au soleil, dans le jardin du Luxembourg. On s'est installés sur un banc A un moment donné, il m'a demandé timidement de lui expliquer comment résoudre un problème. Ce n'était pas vraiment très difficile, j'ai utilisé une démonstration assez classique. Pendant que je parlais, il s'est presque collé à moi. Soudain je me suis rendu compte qu'il n'écoutait pas vraiment. J'ai levé les yeux et alors j'ai vu qu'il était tout rose, bouche entrouverte, le souffle un peu court. Dans ses yeux j'ai lu comme une attente presque désespérée. Il a rougi et tout de suite détourné le regard, mais j'avais compris. Khaled avait raison, en fait. On était des pédés, lui comme moi. Et il était totalement amoureux de moi.

    Ça m'a fait un choc. Soudain je l'ai regardé autrement... Comme il faisait chaud, sa chemise était entrouverte, je pouvais voir son torse. Pas un poil, mais des pecs mous, enrobés, pointant un peu. « On dirait des seins » ai-je pensé. Et soudain j'ai eu envie de le caresser de l'embrasser. Là, tout de suite. Une urgence. Je me suis mis à bander – et comme je suis pas trop mal monté (18 cm et surtout bien épaisse) dans mon pantalon de toile fin, ça se voyait nettement. Bien sûr Bastien l'a remarqué, il était de plus en plus rouge. Je lui ai pris le bras :

    - Si on allait prendre un verre quelque part ? J'ai chaud, et il y vraiment trop de monde ici…

    Il m'a emboîté le pas. J'ai choisi un troquet tranquille, on s'est mis dans une petite salle assez sombre, déserte à cette heure de la journée, tout le monde étant en terrasse. On a commandé deux cocas. Dès que le serveur nous a tournés le dos, j'ai regardé Bastien bien au fond des yeux :

    - A nos amours !

    Il a trinqué avec un petit rire. J'ai poursuivi, le regardant toujours :

    - Tu transpires. Mets-toi à l'aise. Tu  devrais ouvrir davantage ta chemise…

    Il m'a regardé d'un air un peu surpris, mais a déboutonné un bouton.

    - Continue…

    Et, tout bas, sans le lâcher du regard :

    - Je veux voir tes seins…

    Il est resté interloqué, puis s'est mis à rougir violemment.

    - Mais je…

    J'ai tiré sur sa chemise :

    - Allez, montre-moi tes nichons.

    Il a vaguement essayé de résister, mais ma main était dans l'échancrure, je caressais ses pecs.

    - J'aime bien. Tes tétons sont tout durs. Tu aimes ça, hein ?

    Il a essayé de balbutier quelque chose. J'ai insisté :

    - Réponds, tu aimes ça ? T'as envie là ?

    Il se défendait mollement, écarlate, tremblant. Ses yeux affolés regardaient vers le bar dans la grande salle :

    - Arrête, tu es fou, si quelqu'un nous voit…

    J'ai eu un petit rire de gorge :

    - Personne ne nous regarde. Tu bandes là ?

    Et ma main s'est posée sur sa cuisse. Il s'est éloigné :

    - Arrête, t'es fou…

    Mais je me suis rapproché. Mon poing s'est refermé sur son sexe à travers le pantalon. J'ai senti qu'il bandait à fond – et avec une bouffée d'orgueil j'ai découvert qu'il était bien moins bien monté que moi. Ce fut court, car il a poussé un petit cri et son corps s'est crispé. Cette petite salope venait de jouir pendant que je malaxais sa petite bite !

    Je l'ai lâché. Il m'a regardé d'un air de reproche et a chuchoté :

    - Pourquoi t'as fait ça ?

    J'ai souri :

    - J'en avais envie. Bon, je suppose que tu veux pas… me faire la même chose ? Non ? Tant pis. Alors tu veux encore travailler ?

    Il a secoué la tête.

    - Bon, alors je rentre. A demain. Fait de beaux rêves cette nuit…

    Je suis parti sans un regard.

    ***

    Le lendemain, il m'a à peine dit bonjour et s'est installé sans un mot à sa place à côté de moi. Je me suis forcé à être « normal », naturel, mais j'avais très envie de le toucher. Et j'étais sûr que lui aussi en crevait d'envie. A midi, je suis allé au Luxembourg. J'ai vu qu'il me suivait de loin en essayant de se cacher. Alors je suis allé vers lui :

    - Faudrait que je travaille, mais il fait trop beau. On se balade un peu ?

    Sans rien dire, il m'a suivi. On a parlé du bahut, des potes. Soudain il y a eu un silence. Bastien a dit très bas :

    - T'as pas été gentil hier…

    - Je sais. Pardon. Mais tu m'avais excité…

    - Alors c'est un jeu ?

    - Un jeu ? Quel jeu ?

    D'une voix tremblante, au bord des larmes, il s'est écrié :

    - Un jeu… pour te moquer de moi… !

    - Mais, non Bastien… Je… Je sais pas comment te dire…

    - Je t'excite, c'est ça ? Ça te fait bander de me tripoter, hein ? Tu penses à moi, quand tu fais ça ?

    - Mais je…

    - Moi, je suis un être humain. J'ai des sentiments… J'ai des sentiments pour toi…

    Ca y est, il pleurait à chaudes larmes. J'étais tout con.

    - Arrête, Bastien…

    - Oui, j'suis con. J'ai des sentiments pour toi, et toi…

    - Mais, Bastien, moi aussi… Je veux dire, j'ai des sentiments pour toi…

    - C'est vrai ?

    Quelle guimauve ! On était où là ? Il me faisait une scène pire qu'une fille, et moi, trop con,  je répondais  sur le même ton ! Des 'sentiments'… ! Oui, bien sûr il était sympa et gentil, mais quoi, on était deux mecs. Pédés peut-être, mais mecs. Des couilles et de la bite des deux côtés. Même si la sienne était petite. Même s'il avait des pecs en forme de nichons. Moi j'avais envie de le caresser, de me faire sucer. J'avais passé la nuit à me branler (trois fois) en pensant à sa jolie bouche autour de mon dard raide…! Un peu énervé, j'ai répondu :

    - Oui, c'est vrai. Mais bon, on va pas se regarder les yeux dans les yeux et se bécoter, non ?

    Il a rougi. Bon, je l'avais à nouveau blessé.

    - J'avais pensé…

    Je l'ai coupé, et tout bas, mais d'un ton très viril :

    - Tu veux que je te dise ? J'ai envie de te caresser les seins pendant que tu me branles…

    - Ooooh…

    - Oui. Alors ?

    - Je… pas ici…

    - Non, bien sûr… Pas au bahut non plus. Dans un café, comme hier ?

    - Oh non !

    - Dans un ciné, alors ?

    - Oh… Euh… peut-être…

    - Allez, on y va…

    Ça ne manque pas de cinés dans le Quartier Latin. On a choisi la première salle où une séance commençait (un vieux film de Godard), on s'est mis près de l'écran. Il y avait peu de monde, et notre rangée était vide.

    Tout de suite, mes mains se sont posées sur sa poitrine, cherchant à ouvrir sa chemise. Il haletait. Sa main s'est posée sur ma cuisse. D'un geste ferme, je l'ai plaquée sur ma braguette toute gonflée. J'ai entendu comme un hoquet. La salope découvrait une virilité avide et dure qui l'excitait beaucoup ! On s'est bien pelotés, puis j'ai ouvert ma braguette. Mon sexe était bien humide de désir. Bastien le branlait du bout des doigts. J'ai empoigné sa tête et je l'ai penchée vers mon dard tendu. Il a essayé de résister, mais j'ai insisté et il a fini par céder. Quand il a gobé le gland, j'ai étouffé un gémissement. Putain, que c'était bon !!!!

    Je pinçais ses seins, malaxant par moment sa petite bite très dure. Lui s'évertuait à lécher mon gros gland. Il a fini par l'avaler, essayant de prendre mon bâton. Mais il étouffait. Il m'a recraché et tout bas s'est excusé :

    - Pardon, mais t'es si gros… Oh Nico, t'es si gros…

    - C'est parce que je t'aime…

    Ah il voulait du sentiment ! Hé bien, je lui en donnais ! Mais intérieurement je ricanais en m'entendant dire « Je t'aime » à un pote qui me faisait une pipe ! Pas très bien d'ailleurs. On voyait qu'il était puceau. Peut mieux faire, Bastien ! Mais bon, la situation était si excitante que je me suis senti partir. J'ai sifflé tout bas :

    - Attention, je vais jouir !

    Aussitôt il m'a recraché et s'est relevé. J'ai à peine eu le temps de prendre un mouchoir dans ma poche, j'ai éjaculé. OOOOOHHH PUUUUTAIN ! Quand je suis revenu sur terre, Bastien se branlait à fond, tête sur ma poitrine. J'ai bien essuyé ma bite, puis j'ai attrapé ses couilles (pas très grosses non plus) et j'ai serré. J'ai été récompensé par un petit cri aigu. Du liquide poisseux et chaud sur mon poing. La petite femelle venait de jouir à son tour.

    On s'est rajustés. Tendres bisous. Dans les bras l'un de l'autre, on a regardé le fin du film. J'ai pas compris grand-chose… C'était du Godard, quoi !

    Moi j'étais bien, j'avais assouvi mes envies, mais j'ai bien senti que pour Bastien ce moment était magique. Il était amoureux de moi et savourait cet instant de tendresse. Il me bécotait, je répondais sans grand enthousiasme, mais bon, ça pouvait faire illusion.

    Quand on est sortis du ciné, j'ai bien vu qu'il aurait aimé aller en boîte pour continuer le frotti-frotta. J'en avais bien envie mais je voulais rentrer tôt pour travailler – on se refait pas, je voulais réussir mes concours !

    La semaine suivante, on est allés souvent au cinéma. Bastien faisait des progrès, il suçait de mieux en mieux. Moi j'ai commencé à caresser ses fesses, puis à le doigter. Il avait honte – mais il aimait ça ! Très vite j'ai décidé qu'il fallait « le faire ». Bastien était réticent et se dérobait. Le petit puceau avait peur d'avoir mal, et puis c'était tout de même un pas important – surtout pour lui, qui allait perdre son pucelage anal, car bien sûr il était entendu, sans que cela ait été dit, que c'est moi qui ferais 'l'homme'. J'insistais beaucoup, lui disant que s'il m'aimait il fallait qu'il le prouve et aille jusqu'au bout. L'occasion s'est présentée un week-end. Mes parents étaient partis avec mon frère à un mariage d'un vague cousin en Bretagne. J'avais prétexté mes examens à potasser pour éviter cette corvée. Alors là j'ai mis la pression, et le pauvre Bastien, rouge comme une tomate, s'est trouvé chez moi le samedi soir.

    Petit repas rapide (préparé par une mère attentionnée). J'ai fait boire un peu Bastien pour le détendre. Puis tendres baisers, pelotages intenses. Petit à petit on s'est retrouvés nus, pour la première fois. Bastien me caressait partout, disant que j'étais très beau. Lui aussi était mignon, dans un genre plus potelé, presque féminin. Il m'a sucé, je l'ai doigté. Et enfin je l'ai pris, doucement par derrière. J'ai eu beau bien mettre du gel, il a eu mal. Mais il a serré les dents comme un bon petit soldat pendant que je le pénétrais. La baise a été vraiment super pour moi. Je me suis vidé au bout de vingt minutes intenses dans la capote, à longs jets, en lui embrassant le dos. Du pur bonheur.

    Il a ensuite été très câlin. On a dormi un peu, puis j'ai encore voulu. Je crois que cette deuxième fois a été bien meilleure pour lui. Je l'ai pilonné par devant, comme une femme, et j'ai joui très fort. Puis je l'ai branlé et il a joui sous moi. A nouveau des câlins, on a dormi jusqu'au matin. Petit déjeuner tendre, une pipe avant de partir, beaucoup de baisers et de promesses. Une bonne séance !

    Mais on n'a plus jamais recommencé. D'abord on n'a plus eu l'occasion d'avoir une chambre, et Bastien ne voulait pas aller à l'hôtel – trop risqué. Et puis on avait nos examens. Quand ils ont été terminés, Bastien est parti avec ses parents dans le midi. On est restés en contact, mais cet été-là j'ai rencontré une fille, Sophie. Quand Bastien est venu me voir, je lui ai dit que je couchais avec Sophie, alors…

    Il a été très déçu. Je crois qu'il a beaucoup pleuré en secret. Mais bon, on avait 20 ans, on a tiré un trait sur tout ça.

    Je croise Bastien quelquefois. Il a fait son coming-out à 25 ans et vit avec un homme qui travaille dans le monde du théâtre. Je pense qu'il est heureux. En tout cas, chaque fois qu'il me voit, il me sourit largement et me serre la main ave effusion. On n'oublie jamais son premier…

    Moi ? Et bien, si j'ai écrit cette histoire, c'est pour lui. Pour Bastien. Car je me rends compte maintenant que cette aventure m'a totalement transformé. Au contact du gentil Bastien, si doux, si gentil, je me suis affirmé. Je suis devenu un homme – dans tous les sens du terme.

    Je n'ai plus jamais été troublé par les mecs virils comme Khaled. J'ai découvert que j'aimais les corps doux, un peu potelés, les seins… et la chatte.

    Si aujourd'hui je suis heureux avec une femme douce et gentille et deux jeunes enfants, c'est grâce à lui.

    Merci Bastien – du fond du cœur.

    Nico

    nicojo86@gmail.com

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