• Récit 100

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    SUITE DU Récit 99-02......................................

    Plage, surprise, découverte…2

    Nous sommes en pleine stupeur, raidis, comme si nous nous étions transformés en glace à l'entrée soudaine d'Alexandre dans la salle de bains… Lui aussi était figé, les yeux grands ouverts… Je m'étais petit à petit remis droit mais j'étais toujours nu comme un vers. Je sondais ses yeux et là je revins à la réalité. La surprise qui dominait son regard avait laissé place à la colère. J'ignorais ce qui allait se passer. Et là il explose : "Connard ! Comment j'ai pu être ami avec toi ?!?". Je ne comprends absolument rien… En tout cas ce qui est sur c'est que ça nous a complètement refroidi avec Romain. Nous nous rhabillons et je le raccompagne à la porte, l'embrasse furtivement et lui dit que je le rappellerai.

            Je remonte à l'étage et tente d'ouvrir la porte d'Alexandre mais elle est fermée, en plus il ne réponds pas quand je toque et que je l'appelle. Je me dirige donc, troublé, vers ma chambre. Je n'arrive pas à comprendre. Je ne l'ai jamais vu comme ça, hors de lui. Il est pourtant d'une nature plutôt calme et douce. Depuis 20 ans que je le connais (eh oui je l'ai rencontré au CP et on ne s'est plus quitté), jamais il ne m'avait crié dessus, alors que j'ai ramené plus d'une fois des filles à l'appartement (nous sommes colocataires). Mais là ce n'est pas pareil… Je recherche un indice, un petit quelque chose qui me mettrait sur la voie mais rien, le vide… Pourtant je le connais mieux que personne. Je réfléchis encore et encore mais toujours rien. En fait c'est ça ! Rien, jamais il ne m'as parlé d'aucune de ses copines ou plan cul… Rien, nada. Comment est-ce que j'ai fais pour passer à côté de ça ? C'est étrange quand même avec du recul, comparé à moi qui lui raconte tout (vraiment tout, c'est à se demander s'il ne me connait pas mieux que moi…). Je crois que j'ai toujours passé ça sur le compte d'une pseudo-pudeur autour de sa sexualité. Je me suis donc toujours dit qu'il pouvait garde ça pour lui s'il le souhaitait, c'était son droit. Mais quand même, il n'a jamais ramené personne et ça me chagrine, quelque chose m'échappe… Je commence à tout analyser chez mon meilleur ami, sa tenue : des plus banales, ses goûts : au moins originaux que sa tenue et ainsi de suite… Jusqu'à ce que j'en arrive à son attitude et là je bloque. J'essaye de prendre un point de vue extérieur car j'ai comme l'impression que notre amitié déforme un peu ma vision de la situation et en faisant ça je remarque de petites choses. Par exemple le fait qu'il soit très tactile, très voir trop gentil avec moi, et plein de petits détails tout aussi révélateurs. Je me souviens aussi l'avoir surpris me matant une nuit sur le pas de porte de ma chambre, il avait alors prétendu être somnambule. Le souci c'est que cela s'est reproduit de nombreuses !

     fois. Enfin bref, est-il possible qu'Alexandre soit… Non il ne peut pas être gay… À moins que… Si, c'est tout à fait possible… Notre amitié à complètement éclipsé cela à mes yeux… Il n'a jamais été somnambule… Il profitait que je dorme nu pour se rincer les yeux… Je dois en avoir le coeur net, je me dirige alors vers sa chambre, toujours fermée :

            "-Alexandre ouvre moi !

    (silence) Va-t-en !

    Il faut qu'on parle.

    Dégage je t'ai dit ! Tu es un monstre, tu m'as détruit !

    Je t'en prie, je suis désolé, je ne savais pas ce que je faisais, ouvre-moi, je ne veux pas gâcher 20 ans d'amitié comme ça !

    C'est trop tard Jules ! Tu… (je l'entends hoqueter)"

            Je finis par réussir à déverrouiller la porte et ce qui je vois m'attriste profondément. Il est là, recroquevillé sur lui-même, avec simplement un boxer pour tenue et il pleure à chaudes larmes. Là je ne sais plus tout où j'en suis ! Ça fait deux hommes que je fais pleurer en l'espace de 24 heures. Et ça me rends terriblement triste aussi. Je m'assois à côté de lui sur son lit et commence à lui frotter une main dans le dos. Cela le console pendant quelques secondes puis il recommence à parler. "Je ne comprends pas comment tu as pu me faire ça Jules, alors que j'ai toujours tout fait pour attirer ton attention, et là je te retrouve la main sur la bite d'un autre. Et le pire c'est que tu ne m'as jamais témoigné une réelle affection, juste de l'amitié. Ça ne me suffit plus depuis longtemps, tu ne t'es jamais demandé pourquoi je ne ramenais personne à la maison pour des "coups d'un soir" comme tu le fais si régulièrement ? Et bien je vais te le dire, c'est parce qu'il n'y a personne d'autre que toi ! Tu m'obsède…

    Je suis incroyablement désolé, tout s'est enchaîné si vite avec Romain. Pour être franc je me suis un peu laissé entrainer sans trop savoir… Ce petit est vraiment chaud… Mais en fait le truc qui me fait le plus me sentir con c'est de ne pas avoir remarqué tout ça avant…

    Pourtant je ne le cache pas vraiment, je porte quand même des vêtements TRÈS moulants, je pleure devant des films à l'eau de rose et les filles veulent toutes être mon amie… Et ce n'est que quelques exemples….

    C'est vrai que…

    Mais c'est bon j'ai compris, je ne t'intéresse pas. Mais merci, tu m'as brisé le coeur… Aller vas-t'en ! Je ne veux plus te…"

    Je le coupe en lui roulant une pelle que je pourrais qualifier de mémorable sans me vanter. Il est scotché, bloqué et me regarde dans les yeux, ne comprenant pas ce qui se passe. Nous restons là, à nous regarder. Il scrute mon visage, les émotions que je laisse paraître, mes yeux, il ne les quittes plus du regard. Nous restons là, silencieux pendant de longues minutes jusqu'à ce qu'il ne brise le silence et me dise :

    "- P… Pourquoi tu as fais ça ?

    Écoute, ça doit fait à peine 12 heures que j'ai réalisé que j'avais une attirance pour les hommes et je découvre un univers nouveau. Alors si en plus je peux profiter de ça avec un mec sexy, mignon et que j'adore je te le dis c'est franchement excitant !

    (Il n'en revient pas) Sérieusement ?

    Oui ! Et ne dit pas que je n'ai jamais eu d'affection réelle pour toi, c'est complètement faux et idiot ! Jusqu'alors je te considérais comme un frère mais aujourd'hui tout à changé et qui sait ce que le futur nous réserve comme surprises."

    Tout au long de on discours j'ai vu l'expression sur son visage se transformer passant du désespoir à un désir gigantesque. Ses grands yeux bleus-verts pétillaient. Je le contemple, c'est vrai que c'est un magnifique garçon, musclé, sec… Je pense que mes yeux aussi pétillent et ça ne lui échappe pas ! Il me pousse en arrière et m'allonge sur son lit et m'embrasse à nouveau. Il se tortille sur moi, me caresse. Qu'est-ce qu'il a les mains douces. À force de se frotter à moi je me met à bander ce qui le rends encore plus joyeux. On aurait dit que tous ses doutes s'étaient envolés. Ensuite il me tire pour que nous nous mettions debout. Ensuite nous nous déshabillons et il se place à quatre pattes sur le lit. Je sais ce qu'il veut, je commence à caresser ses fesses imberbes, puis ses cuisses tout aussi lisses… Jusqu'a ce qu'il me dise "s'il te plait Jules, ça doit faire 15 ans que je fantasme sur ce moment, et j'ai bien cru qu'il n'arriverait jamais donc s'il te plait vas-y ! Je n'en peux plus d'attendre ! ENCULE MOI JULES ! DÉPUCELLE MOI !" Après un petit temps de réaction au fait qu'il soit encore puceau à 26 ans je décide d'assouvir ses désirs. Je présente donc ma queue devant son anus et je commence à pousser, très très doucement. D'ailleurs depuis que que je suis entré en contact avec son cul il gémis de plus en plus fort. Je suis nerveux, je commence à réaliser entièrement cette situation. Je suis sur le point de déflorer mon meilleur ami depuis des années alors que mon homosexualité ne m'est apparue que depuis à peine une journée… C'est fou ! Complètement incroyable et pourtant c'est bien ce qui m'arrive, je suis nu avec lui, et lui n'est pas plus vêtu.

            Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans mes pensées comme ça mais je reviens à la réalité au moment même où il me caresse la joue tendrement, il me demande si je vais bien. Pour lui répondre j'esquisse un sourire et rentre mon gland dans son cul. Ce qui lui arrache un "Ooooooh !". Il est beaucoup plus serré que Romain. Je me rends donc bien vite compte que mon ami de la plage m'a entubé et qu'il doit être bien loin de son coup d'essai. Contrairement à Alexandre qui commence à respirer fort. Nous sommes en position du missionnaire sur son lit et je vois déjà sa queue bien dressée et qui perle de précum. J'y vais très doucement, je ne veux surtout pas lui faire mal ! Il met sa main derrière ma tête et la rapproche de la sienne, passe ses mains dans mes cheveux. Il est tellement tendre et sensuel… Une fois que nos têtes sont assez rapprochées il me roule un pelle comme je n'en ai jamais eu, que ce soit avec une fille ou un garçon. Et cela couplé à ses caresses je le pénètre en fait très doucement sans m'en rendre compte. Si bien qu'à la fin du baiser ma queue est déjà rentrée au trois quart. Il recommence à gémir et il mouille vraiment beaucoup. Je finis donc jusqu'à sa prostate. Et à ce moment il crie de tout son coeur "ENCORE ! C'EST TROP BON !". Je commence alors de petits allers-retours lents mais je n'ai plus aucun problème avec sa rondelle, il mouille du cul aussi. Ça glisse tout seul et au bout d'à peine deux minutes il éjacule sur son torse sans même avoir touché sa bite. Il y en a partout ! Mais il ne débande pas tellement il est excité. Je continue à le pénétrer pendant dix bonnes minutes puis je lui annonce que je vais jouir et comme s'il l'avait prévu il ouvre grand la bouche. Pas besoin de le dire pour que je comprenne, je me retire de son trou dilaté et lui présente ma queue qu'il lèche avidement et il reçoit presqu'en même temps tout mon foutre qu'il boit sans en laisser la moindre goute. Une fois cela fait J'entreprends de ramasser tout le sperme de mon ami. Je commence alors à l!

     écher son torse, son ventre jusqu'à ce que j'arrive à sa queue que je nettoie tout aussi consciencieusement.

            Je le prends ensuite dans mes bras quelques minutes puis il vient se caler la tête sur mon torse. Ce n'est que dans cette position que je réalise à quel point il est mignon avec ses grands yeux bleus brillants, ses cheveux blonds touffus et excessivement doux, la douceur de ses traits. Je remarque aussi notre différence de taille. En fait pour faire simple je me sens bien, simplement bien. À un moment il relève la tête et me dit : "Jules, il faut que je te dises un truc". Je lui demande quoi mais il ne réponds pas et finit par simplement dire "je… non rien" et il s'endort, blotti contre moi. Et moi je suis incapable de dormir, j'ai le sentiment que ce qu'il voulait me dire était important mais je vais devoir attendre le lendemain…

            Nous voilà réveillé, il m'embrasse et reste immobile, pensif et je lui dit :

    "Alexandre, tout va bien ?

    Oui oui, répondit-il

    Arrête je vois bien qu'il y a quelque chose.

    Mais non, ça va je te dis.

    Tu mens très mal, aller dit moi tout !

    Non… je… je ne peux pas…

    Pourquoi ???

    J'ai peur…

    Mais de quoi ?

    De toi"

    Je reste là, devant lui, incrédule et complètement ignorant de ce qui se passait. Je relance :

    " - Je ne comprends pas très bien… Comment tu peux avoir peur de moi ?

    Pas de toi, mais de ta réaction…

    Il faut que tu me dises. Maintenant !

    Je t'aime"

    Je ne réagis pas… Je suis complètement ailleurs… Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi répondre… Il reprends :

    " - Dis quelque chose, s'il te plait. (un gros silence retentit) Jules ! Parle moi ! S'il te plait (il commence à avoir des larmes qui coulent sur ses joues alors que je suis toujours sous le choc)… JULES !!! Arrête ce silence ! Je t'en prie ! (ill tremble de tous ses membres et me regarde dans les yeux)."

    Je ne sais pas ce qui se passe dans me tête, tout se bouscule. Mon ami depuis 20 ans est amoureux de moi et j'ai été incapable de le voir… Je me sens con… Tellement con. Je ne peux le laisser comme ça plus longtemps, je me mets à bégayer : "M… m… moi… au… aussi.

    Vraiment ???

    Ou… Oui…"

    Je me mets à pleurer à mon tour, trop d'émotions s'étaient accumulées en moi. Je dois tout évacuer. Nous pleurons tous les deux, l'un dans les bras de l'autre et lorsque nous ne pleurons plus nous nous embrassons. Il sourit maintenant, et pas qu'un peu. Puis je le vois baisser la tête et je remarque la même chose que lui, nous bandons tous les deux. Je n'ai rien le temps de faire qu'il s'active déjà. Il lèche ma queue au travers de mon caleçon puis retire celui-ci et prends toute ma queue dans sa bouche. Il me fait gémir comme je n'ai jamais gémi. Ses caresses orales sont divines et il ne faut pas plus de cinq minutes pour juter. Je décide de lui rendre. Je l'assoie alors sur le lit, retire son caleçon et je me dirige vers ses couilles. J'en gobe une, l'autre, les deux. Puis je remonte petit à petit vers le haut de sa queue jusqu'à arriver au gland. Un beau gland gonflé et bien rose. Je le dévore, j'ai un rythme assez soutenu qu'Alexandre rythme par des "AH… OUH… OH… OUI !". Quelques secondes avant son éjaculation il me prévient et je place cette belle verge devant mon visage qui ne tarde pas à être recouvert de cette semence chaude et gluante. Alexandre vient presque immédiatement lécher mon visage et m'embrasse, nous partageons donc mon sperme. C'est une sensation étrange mais délicieuse. Nous nous habillons ensuite et il m'annonce qu'il à une surprise pour moi… Je suis un peu anxieux, j'ai toujours détesté les surprises mais je ne peux rien lui refuser. Nous partons donc en vadrouille…

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