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      Récit 85

      Les histoires publiées sur ce blog sont purement fictives, toute ressemblance avec des personnages ou des lieux existants ou ayant existé serait purement fortuite.
      Je suis friand de vos commentaires et suggestions. N'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de mes histoires

      Je rappelle que même si je n'en parle pas dans mes histoires, le SIDA tue toujours et que le seul moyen connu à ce jour pour l'éviter est le port du préservatif.


      Vivez dans la réalité pas dans la fiction, protégez vous !UNE GROSSE PARTOUZE

      UNE GROSSE PARTOUZE
      II y en a pas mal qui utilisent le net, le réseau téléphonique ou même les petites annonces pour trouver le “mec d'une vie”, comme ils disent. Je trouve ça débile.
       
      Comme si on décidait un jour de tomber amoureux, comme on décide de faire repeindre la maison, et qu'il fallait que ça se passe sous peine de grande déception.
      Si un jour, je dois tomber amoureux d'un mec, ça sera par hasard, à force de baiser, à droite à gauche, de rencontrer d'autres mecs.
      Un jour, il y aura un déclic entre ce mec et moi, et tout sera dit. Mais je ne suis pas là à attendre dans le vide et à encombrer les Tchats et réseaux avec des messages de midinettes.
      Moi. j'utilise tout ça (sans compter la drague proprement dite et les saunas) pour baiser à queue perdue.
       
      Avant, je ne cherchais que des coups tout simples: un mec avec qui passer quelques heures de détente. Maintenant, j'ai envie de voir plus grand. Pendant que les fantasmeurs fantasment seuls, moi, j'essaie de les vivre, mes fantasmes. Jusqu'à présent, j'ai réussi à organiser jusqu'à la touze à quatre. Il faut dire que j'habite Lyon, et que ça aide; à Pleumeur-Bodou, ça doit être plus difficile, même avec de la bonne volonté!
      À trois, déjà ça change tout: on peut disposer de deux bouches, deux bites, deux trous du cul, sans compter les quatre mains qui palpent, qui tripotent ou qui doigtent en profondeur. On peut aussi s'exhiber devant le troisième avec le second, ou mater les deux en pleine action.
      À deux, à moins d'avoir des miroirs, on ne peut pas se mater comme ça. Alors à quatre, c'est encore mieux, à condition qu'on se mélange bien, que ça bouge, qu'il n'y en ait pas deux qui baisent clans la chambre et les deux autres dans le salon! Mon pied absolu dans ces cas-là? Me faire troncher pendant que je suce, avec la bite du quatrième dans une main, et la mienne dans l'autre.
      Orgasme spécial éclate garanti! Tout est en double: les râles, les insultes, les culs bien travaillés, l'odeur de sueur et de foutre.
      Même à quatre, parfois on peut s'y perdre et ne plus savoir à qui appartient la teub qu'on est en train de pomper, ou le trou qu'on est en train de bouffer à grands coups de langue baveuse.


      Moi, maintenant, j'imagine bien plus, des trucs inédits.
      Par exemple, je contacte sur le Coco.fr ou Sky, un mec avec qui je sens que le feeling passe, un type plutôt hard, comme moi, tendance SM, mais pas la brute sanguinaire. Je lui dis que j'ai envie de me faire limer à mort sans le voir, dans le noir. Par exemple, je donne l'adresse, le code, et je laisse ma porte ouverte, les yeux bandés, en position, le cul relevé, l'orifice abondamment pré-travaillé au plug et bien lubrifié, avec seulement une bougie comme éclairage.


      Classique, direz-vous? Non, puisqu'en fait, je lui demande de m'envoyer un de ses potes d'abord pour tester mon trou, avant qu'il n'y enfile sa propre teub. Ça, c'est de l'inédit, du frisson, mais sans plus de danger que si les deux mecs en question entraient normalement chez moi. Ou bien encore, je rêve d'un glory-hole géant, à six ou huit trous, les uns à côté des autres. Je me construis l'objet à partir d'un panneau d'agglo, je perce des trous, et le tour est joué.


      Toutefois, la règle du jeu voudrait que les mecs contactés sur sky ou coco qui viendraient se glissent derrière le panneau sans que je les voie. Imaginez un peu huit barreaux bien raides qui se trémoussent et qui n'attendent que mon bon vouloir pour leur dispenser coups de langue, gâteries diverses et gorges profondes, sans savoir si les types que je suce sont beaux ou moches, jeunes ou vieux, etc. Je me voie très bien, encapoter toutes ces teubs impatientes de spermer, me fourrer la moitié d'un tube de gel dans l'orifice, et m'enfiler à reculons une première bite, avant de passer à la seconde, et ainsi de suite. Puis, une fois qu'elles m'auraient toutes visité, les branler et les pomper à tour de rôle, et leur faire cracher leur semence sur mon corps, jusqu'à ce que je dégouline de foutre et que j'en badigeonne le corps entier, avant de demander à tout le monde de sortir de derrière le panneau, et de me branler devant eux jusqu'à ce que je crache à mon tour comme la reine des salopes en rut.


      Ce que j'aimerais expérimenter aussi, c'est des rencontres en extérieur, à Gerlan, à Méribel ou à dans la rue, c'est encore plus facile. On se retrouve à plusieurs, et on se baise comme des porcs dans la pénombre, des cuirs, des latex, des vieux, des jeunes, avec tous nos accessoires dans nos poches. Je crois que ça serait grandiose. Et pour en revenir au début, va savoir si dans le lot, je ne vais pas rester tétanisé par un mec, tomber amoureux raide dingue.
      Plutôt que d'attendre de recevoir une hypothétique réponse à ma BAL ou à ma petite annonce romantic-romantoc. Bien sûr, ça demande de la méthode, de l'énergie et un bon sens pratique, mais ce n'est pas aussi difficile que ça. Contrairement aux bars où c'est long de draguer, au moins, sur le Net ou sur les réseaux, on entre tout de suite dans le vif du sujet.

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