• Récit 88

     

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    Les histoires publiées sur ce blog sont purement fictives, toute ressemblance avec des personnages ou des lieux existants ou ayant existé serait purement fortuite.
    Je suis friand de vos commentaires et suggestions. N'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de mes histoires

    Je rappelle que même si je n'en parle pas dans mes histoires, le SIDA tue toujours et que le seul moyen connu à ce jour pour l'éviter est le port du préservatif.

    Récit 88

    CLUB DE SPORT !!!

    Je me présente, je suis Sofiane, j'ai 25 ans, je suis cadre dans une banque et je vais vous raconter une histoire qui s'est produite il y a quelques mois.


    Je suis gay et j'ai une vie assez remplie. Je fréquente une salle de sport dans le quartier de la place de la République à Paris, et je me suis fait pas mal draguer là-bas. On dit de moi que je suis plutôt assez charmant.

    Un midi que j'avais de libre, je me rends dans cette salle pour profiter du moins grand nombre d'adhérents dans ces heures. Je peux faire les exercices qui me plaisent sans avoir à attendre qu'un autre s'en aille. Je fais travailler mon dos, quand en face de moi, je vois ce mec, auquel je donnerais 25 ans, un rebeu comme moi, qui s'entraîne sur une machine pour le renforcement des cuisses. Il doit pousser des poids avec l'intérieur de ses genoux pour l'activer. Il porte une combinaison ultra moulante blanche en haut et un short en nylon très court. Ses grosses cuisses marron étaient très poilues et marquées de veines. Il soupirait à chaque répétition. Son paquet, plutôt imposant, était visible dès qu'il écartait grand les jambes. Il se tenait les bras tendus sur les côtés pour se concentrer sur ses muscles du bas du corps. Nos regards se croisent souvent. Ses yeux noirs appuient sur les miens alors que j'essaye de garder la face et ne pas détourner le visage. Il s'arrête et me frôle en passant à côté de moi. Je sens son odeur de transpiration et le suit du regard. Il se retourne à son tour quand il s'installe sur une nouvelle machine.


    Cette fois-ci c'est une presse pour faire travailler les biceps et les pectoraux. Il s'assoit en écartant les jambes bien largement, pour me permettre de voir son service trois pièces à travers son petit short. Il s'active et gonfle bien ses immenses bras avant de pousser. Il souffle fort. Des gouttes perlent sur son front. Je peux distinguer ses tétons sous sa combinaison blanche, ainsi que ses abdos. Il me fixe avec intensité pendant chacun de ses mouvements. Il finit sa série et se lève à nouveau. Il remet son paquet en place, toujours les yeux rivés sur moi et se dirige vers le vestiaire.


    Avant de passer la porte, il me jette un dernier regard. Personne ne nous voit. Je le suis. Il sort sa serviette de son casier et s'éponge le visage. Je me tiens à deux mètres de lui et le dévisage. Il me regarde pendant qu'il se touche à nouveau le sexe. Il se dirige vers les douches individuelles et m'intime de le rejoindre d'un geste subtile de la tête. Il laisse sa cabine ouverte et la referme derrière moi.


    Il se pose contre le mur et ne bouge plus. Un peu déçu, je m'approche de lui et saisit son énorme paquet dans ma main. Elle est chaude et surtout bien, bien grosse. Ses couilles ne sont pas en reste, bien pleines et oblongues sous mes doigts. Sa tige est à moitié dure. Je remonte mes mains sur son thorax rigide et les balade autour de ses tétons. Il retire sa combinaison moite et me donne accès à ses pectoraux très velus. Je descends en contournant ses hanches et saisis ses fesses. Je les soupèse et je m'accroupis. Je fais descendre son short en nylon qui contient l'objet de mon fantasme. Une lourde bite de 22 cm me tombe sur le front. Elle est brune et bien large. Je hume fort pour absorber les effluves de queue transpirante qui émanent de son pubis.


    J'ouvre grand et l'avale presque entièrement son gourdin. Il place sa main derrière ma tête et imprime le mouvement et le rythme auquel il aimerait que je le pompe. Je me laisse totalement faire par cet inconnu rencontré même pas 20 minutes plus tôt. Il tente d'aller de plus en plus loin dans ma gorge et manque de m'étouffer par moments.


    Mais c'est tellement bon. Il se met ensuite à donner des coups de bassin et accélère la cadence. Je bave, j'en fait tomber partout à mesure qu'il se lave la bite avec ma langue. Il m'insulte de temps à autres, ce qui m'excite d'avantage, me demande si j'aime bien sa grosse bite d'Arabe. Je ne peux pas répondre avec un si gros morceau dans la gorge mais je parviens à opiner du chef.


    Ma mâchoire commence à me faire mal mais je m'efforce à ne pas le planter avec mes dents. Il se retire et je reprends un peu ma respiration. Il me redresse à son niveau et il m'embrasse violemment et fait pénétrer son épaisse langue dans le fond de ma bouche. Je bave de désire. Il me possède, tel un mâle dominant qui a paradé pour séduire sa victime. Son gros sexe frotte contre le mien mais je le n'ai pas encore sorti. Je me déshabille en vitesse mais il me retourne. Il soulève ma jambe et la colle contre une des parois de la cabine. Il se baisse et se jette dans mon cul avec sa bouche. Il me nettoie avec sa grosse langue de bovin. Il la durcit et la fait entrer dans mon trou ouvert et humide. Il parvient à progresser de quelques centimètres et me chatouiller les parois anales.


    Qu'est-ce qu'il est bon ce con. Il produit en moi une flaque de salive qui lui permet ensuite d'insérer deux doigts directement. Ça entre tout seul tant je suis excité. Il ne se retient pas et les fait aller loin dans mon cul. Mon trou béant et affamé est prêt. Il se relève et oriente son dard vers mon entrée. Il pousse avec patience et arrive au niveau de ses couilles. Là il s'arrête, m'étreint et dit à l'oreille, avec son accent « caillera » :
    Tu vas te la prendre ma grosse que d'Arabe. T'en peux plus hein ?
    Oui, baise-moi, je suis tien, encule-moi comme il faut...
    Serre les fesses pour moi, tu vas bien la sentir.
    Comme ça ?
    Oui, comme ça, serre bien, sale pute, je vais te crémer le cul comme jamais.
    Oui, vide tes couilles dans ma fente.
    Ces mots semblent l'avoir fait durcir encore plus. Il se déhanche pour me donner de grands coups de bite. Sa queue me ratisse le fion comme peu y étaient parvenus jusque-là. Ses gestes brusques me font presque tomber mais il me tient fermement dans les bras musclés. Il me mord l'oreille, le cou et plante ses dents dans mon épaule. Il me dose le cul à une vitesse dingue. Alors que je commence à gémir, il place sa grande main devant ma bouche pour me faire taire. Avec son autre main, il me tord les tétons et descend pour me branler.
    T'aimes quand je te baise, sale pute ? Quand ma grosse bite te ramone bien profond ? T'es dilaté d'une force ! Tu dois bien kiffer la bonne baise, c'est bon ça. Allez serre-moi mieux ce trou de pute, sale pute. Voilà, comme ça, je veux bien sentir ma queue te perforer.
    Il me brûle le trou du cul à force de ses va-et-vient et il joue dangereusement avec ma prostate voisine. Mais je parviens à bien contracter pour garder une bonne pression. Je commence à avoir très chaud, j'active donc la douche pour m'empêcher de perdre conscience. Il m'assène des pénétrations de plus en plus profondes et violentes alors que je tiens presque plus. Je jouis dans sa main un peu malgré moi. Tout en me défonçant, il étale mon sperme sur ma poitrine et amène ses doigts dans la bouche, que je suce avec envie.
    Je vais jouir...
    Il me relâche un peu pour m'attraper au niveau des hanches. Là, il me pilonne tel un animal et se cale bien au fond de moi. Je sens soudain sa bite pulser et projeter en moi son foutre bouillant qui s'écrase dans mon intestin. Il soupire fortement alors qu'il continue à déverser en moi ce qui me semble être des litrons de jus épais.
    Garde bien mon sperme en toi, sale pute, t'as l'air d'aimer ça.
    Alors que j'ai le sentiment d'avoir été fécondé par un âne, il reprend sa besogne. Il n'a même pas l'air fatigué. Il baigne maintenant dans sa jute bien lubrifiante et mon cul n'a plus la force de le retenir. Je suis en bouillie mais j'en veux encore. Je veux tout absorber.
    Oh oui, recommence, donne-moi ton foutre d'Arabe, jouis bien loin en moi, remplis-moi le cul...
    Ça vient...
    Il explose à nouveau quelques minutes après la première fois et sort d'une traite. Tout le sperme coule de mon trou béant et rassasié. Il joue avec avec son gland et y entre à chaque fois de quelques centimètres.
    Il sort le premier et je le rejoins après m'être nettoyé tant bien que mal. Il est allé tellement loin que j'en aurai encore plein le cul ce soir. Il enfile un jean extrêmement moulant mettant en valeur son sexe et ses couilles maintenant bien vidées, et une chemise noire avec un logo rouge. Il a aussi des bottes façon militaire. Je devine alors qu'il est agent de sécurité. Je suis habillé à mon tour. Quand il a fini de se parfumer, il passe vers moi et attrape ma bite à travers mon pantalon. Il m'embrasse sauvagement. Il me plaque contre les casiers et caresse mes fesses avec passion. Il soulève une de mes jambes et la fait passer au-dessus de ses fesses. Il frotte son paquet sur le mien en pressant du bas vers le haut. Je crois qu'il rebande. Le désir remonte en moi et je crois que j'ai envie de me faire enculer sur-le-champ. Soudain il me soulève l'autre jambe et me porte. Il me roule une pelle puissante avec sa grande mâchoire et continue à faire correspondre nos sexes retendus.
    Je vais être en retard mais j'en n'ai rien à foutre, c'est pas tous les jours qu'on tombe sur une pute de ton calibre. T'as encore envie ?
    Toujours, viole-moi s'il te plaît.
    Toujours dans ses bras, il m'emmène dans les toilettes. Il défait son pantalon et fait sortir sa grosse bite. Il s'assoit sur le siège en attendant que je me défasse. Quand je suis nu, je m'assois sur lui et l'embrasse. Il passe ses doigts dans mon cul encore plein de son jus d'homme tiède. Il s'ajuste et fait passer son gland dans mon cul bien large. Je m'installe de tout mon poids et me la rentre jusqu'aux couilles. Je déboutonne sa chemise et m'amuse à caresse son torse musclé et poilu. Il m'embrasse à pleine bouche à mesure que je saute sur ses grosses cuisses. Sa queue est bien profond en moi et je gémis alors qu'on entend que les cabines voisines sont occupées. Je m'en fiche, je prends mon pied.
    Grosse pute, tu jouis trop, tu vas me faire juter. Je peux plus me retenir, voilà tout, aaaah...
    Je peux vous assurer que même après m'être fait baiser de la sorte, j'ai senti toute son éjaculation se dérouler en moi. Je n'avais plus envie de m'en séparer. C'est trop un bon coup. Pendant 10 minutes nous sommes restés sur ce siège à nous embrasser avec passion alors que sa grosse bite était encore bien bandée et ancrée dans mon fondement. Je la sentais trembler en moi alors qu'elle dépose ses dernières gouttes de semence. Nous nous arrêtons avec regret. Il écarte les cuisses alors que je me retire de sa queue encore droite et le sperme fuit mon cul directement dans la cuvette. Nous nous nettoyons, nous rhabillons et nous enlaçons une dernière fois. Sa bite est encore dure dans son jean serré et elle me fait terriblement envie. J'abandonne mes pulsions et nous sortons de la cabine.

    À l'extérieur de la salle de sport, il m'arrête et demande mes coordonnées. Je ne pensais pas qu'il oserait.
    Ton cul de pute m'a vidé les couilles. T'as envie de recommencer ? J'ai cru comprendre que t'aimais bien ma queue.
    Ce n'est pas la peine de demander. Je suis à ta disposition. Je travaille pas loin d'ailleurs, si jamais tu avais besoin d'un rendez-vous personnalisé avec un banquier...
    Tu finis à quelle heure ce soir ? J'arrive pas à débander là. Il faut que je te la remette et vite, putain.
    18h. Mais si tu veux tu peux passer avant la fermeture. J'ai les clés, je peux demander à mes collègues de partir plus tôt. J'ai encore des restes de ton foutre dans mon cul...
    Avec ce que je t'ai mis, c'est normal, va falloir t'habituer. Dès ce soir mes couilles seront pleines comme ce matin, tu vas en boire, du foutre. T'as intérêt à être prêt. J'arriverai à 17h45.
    C'est bien noté. J'ai déjà hâte, lui dis-je en caressant sa queue dans la rue.
    Il part en roulant des épaules et sans un sourire. Moi, je me suis fait péter le cul sans rien demander et la journée ne fait que commencer.

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