• Récit 91

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    A l’école

     

     Sur un terrain de foot, un entraineur criait à un joueur.
     » Tu n’es qu’un crétin, un imbécile. »
    Le joueur ramassa ses affaires et se tourna vers moi.
    - Alors ça vient toujours ton interview ?
    Je fis un oui timidement de la tête. Il marchait devant et se dirigea vers son auto. Il s’appelle Moscova, il avait reçu le prix du meilleur footballeur de l’école. Et comme je travaillais au journal de l’école j’avais pu une fois dans ma vie lui parler. Cela fait trois mois environ que je n’ai que lui en tête.

    « Est-ce que l’interview peut se faire chez moi ?
    - Oui, pourquoi pas.

    C’était une très bonne idée. Je pourrais oublier ma carte et le lendemain je passerai exprès pour le voir. Je montais à l’avant à coté de lui. Il portait un short et une chemisette mouillée de sueurs qui me laissais contempler ses pectoraux. Je n’arrêtais pas de lancer de temps en temps un regard sur lui et timidement après je regardais mes pieds. Il l’avait remarqué j’en suis sur et je me sentais gêné. Mais je ne voyais pas ce sourire sur ses lèvres.
    Arrivés chez lui, il déposa son sac sur le sol se retourna vers moi et me dit que ses parents n’étaient pas là. Je pris cette nouvelle avec joie. Je cherchais dans mon sac mon magnétophone pendant qu’il enlevait sa chemisette. Il se dirigeait vers sa chambre et moi je le suivais. Il laissa la porte de sa chambre ouverte et me dis tu peux entrer. Je n’arrivais pas à croire, j’étais dans la chambre de Moscova. Il y avait sur la chaise où il m’indiqua de m’assoir. Un slip… Je le glissais dans mon sac pendant qu’il me tournait dos. Et comme pour me montrer intéressé à l’interview je lui demandais qui était son modèle. Comme toute réponse il me dit :
     » Tu trouves pas qu’il fait chaud ? »
    Il retira son short et il resta en boxer.
    J’avais compris tout de suite. Et je laissais un long silence planer entre nous. Il s’étendit sur son lit et s’appuya sur un coude et commença à faire un monologue que je n’écoutais pas. Je regardais entre ses jambes une petite bosse. Soudain il se tut.
     » Tu veux voir ce qu’il y en dessous ?
    - Oui.
    - Eh ben! Approche. »
    Je déposais mon magnéto et mon sac sur le sol. J’avançais, j’étais maintenant devant lui, à genou. Il me prit la main et la posa sur sa cuisse. Comme je ne pouvais refuser, je me laissais faire. Il prit mon autre main et le déposa sur son sexe. Je le sentais gonfler sous ma main. Il passa sa main sur ma tête me caressant les cheveux. Ne voulant pas que tout s’arrête brutalement, je descendis son boxer. De mes yeux je voyais un beau pénis bandé gros et long.
    Par réflexe je l’ai mis dans ma bouche. Et tout seul le bâton de chair se mit à osciller dans ma bouche. Ce n’était pas ma première fellation. Mais cette foi-ci elle était différente avec le sexe de Moscova en bouche.
    Soudain il s’arrêta et se retira dans ma bouche. Pourtant il n’avait pas joui. Il descendit la braguette de mon pantalon et libéra mon pénis bien bandé qui devant le sien ne mesurait pas grand-chose. A mon grand étonnement, ce beau mec musclé me présenta son cul. Tout joyeux je m’introduis sans hésiter, sans lubrifiant et sans capote. A ce moment il poussa un léger cri de douleur qui me fit arrêter.
    « Non, continue.»
    Pour ne pas faire souffrir mon mec et pour satisfaire mes désirs, je commençais la sodomie. Son intérieur était chaud et cela me faisait perdre la tête. Il était à quatre pattes devant moi. Et tout en l’enculant je le masturbais de ma main gauche. Il poussait sans arrêt des petits gémissement qui m’excitait à tel point qu’a un moment donnée je balançais plus rapidement mes hanches et lui aussi accompagne mes mouvements. Il vient en premier sur ma main et moi quelques minutes après lui.
    Je n’ai pas ôté mon sexe de son rectum j’ai posé ma tête sur son dos fatigué après cette de bonne baise. Mais mon compagnon ne semblait pas complètement rassasié. Après quelques minutes je me suis retiré en lui puis on s’est embrassés. Mais mes aventures avec lui ne s’arrêtèrent pas là.

     

    « Il en voulait, c’est sur! Son regard de vicelard ne quittait plus mon entrejambes gonflé au max. Moi, c’est son corps taillé à la perfection qui me bouffait le regard. Des pecs ronds, des abdos bien durs, des épaules en trapèze, et cette foutue toison brune qui bouclait jusqu’aux pubis, luisante et drue. J’ai passé ma main sur ma braguette. Il a souri en me disant: »là ou ailleurs, c’est quand tu veux… »

    On a quitté la salle radio et on s’est enfermés dans mon bureau. Je me suis précipité, mains et bouche en avant, sur son torse. ça l’a fait rire. Mais son rire est devenu soupir de jouissance quand j’ai commencé à mordiller ses tétons, alors que mes mains, d’un coup,baissaient jog et calcif. Il n’a pas pu se retenir de me rouler palot sur palot en m’enserrant. On avait peu de temps. On s’est retrouvés sur la moquette, en 69. Sa pine sentait le savon. Elle était à l’image de son proprio: carrée, épaisse,mastoque. Moins long que la mienne. Peu de temps. Alors, sucer, pomper, avaler les couilles, les triturer, les tirer, lécher le pourtour du gland, s’enfoncer le manche loin dans la bouche. Il était doué pour la sucette, le salopard! Dans un cri, je n’ai pas pu empêcher le foutre de lui vernir le palais, à gros bouillons.Tout dans la gueule! Sans un arret, je me suis acharné sur son attirail pour le faire dégorger vite, tout en lui pelotant les pecs fébrilement. Il n’a pas tardé. Un flot de purée a envahi ma bouche. A peine rhabillés, mon assistant revenait du labo avec les radios.

     

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