• Récit 99

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    Nuit de l'Eid el Khebir au Caire

    Histoire vraie

    Seul au caire... en vacances, je décide de découvrir les derniers coins chauds de la capitale.

    Les hammams, très nombreux depuis l'époque ottomane, ont fermé les uns après les autres, mais je me débrouille pour trouver un des derniers vestiges de cette époque. Je finis dans ce quartier populaire aux routes défoncées par trouver l'entrée discrète, uniquement écrite en arabe avec deux ou trois marches pour descendre.

    A l'entrée, un vieux me montre les vestiaires et me file une serviette. je me fous à poil discrètement, ne sachant pas encore l'ambiance du lieu. Mieux vaut faire gaffe. Faisant 1m85 80kg et bien poilu, look hétéro qui sert bien pour venir dans ce type de lieu. Pas de coiffeuse ni d'hotesse de l'air à l'horizon, le pied!

    Le hammam en lui même est très vieux, j'entre dans la grande salle (de repos) autour de laquelle s'ouvrent d'autres petites salles, douche, bain, et deux petites salles fermées par des grilles. Une quinzaine de mecs sont là. Dans une des petites salles où je rentre pour me laver, je vois plusieurs mecs qui se touchent, se branlent carrément même... et commence alors une soirée de malade hyper excitante.

    Je me pose au fond, on a du repérer que je parlais peu arabe, un mec vient vers moi, me pince les seins. Il est assez petit, 1m70, bien trapu et poilu. Un mec bien viril qui me montre très vite sa queue, 20cm mais surtout hyper large comme le sont parfois les bites d'egyptiens, avec une énorme veine sur le milieu. Il me fait comprendre qu'il veut que je le suce, je m'exécute, ce qui enchante les mecs environnants qui se touchent aussi... Assez vite, il me fait comprendre qu'il veut me baiser. Faut que je retourne chercher des capotes discrètement... Chose faîte, je reviens dans la petite salle, il me prend ma fine serviette et l'étale par terre, m'invite à m'assoir, je ne comprends pas trop comment, alors que plusieurs mecs me matent et se touchent. Je comprends finalement qu'il veut me mettre sur le dos et me baiser avec les jambes contre lui... Il entre d'un coup, super douloureux... Mais on est pas en lune de miel, je finis par m'habituer. Les mecs à coté n'en perdent pas une miette, il me défonce ainsi pendant 10-15min et me dis déjà qu'il m'aime (ça vient toujours très vite dans les pays arabes!) Un autre grand sec que j'avais repéré viens pour se faire sucer, il a une belle longue queue d'au moins 22cm le pied!

    Finalement après 15-20 min de baise j'ai besoin d'une pause. Je pars vers les douches, après quelques minutes, un jeune (20-25 ans) que j'avais aussi vu me matter, me fait comprendre qu'il a envie... On remets ça, très belle queue plus brune, 20cm aussi au moins, qui finis aussi par me baiser debout dans les douches alors qu'à nouveau 4 ou 5 mecs s'agglutinent pour voir la démonstration.

    Pour finir, je me suis fais encore deux autres mecs, au look bien hétéro avec encore une fois plein de spectateur... Ils semblaient enchanter de mon passage... et moi aussi! Pour vu que ces lieux, où l'on voit que dans les pays arabes, il n'y a pas de gays mais que des mecs qui se font du bien, perdurent encore.

    Je sors du Hammam, dehors les passants sont nombreux, la musique à fond, c'est la nuit de l'Eid El Khebir... Que j'aurais bien fêter!

    Une raison de plus pour revenir au Caire!

    skd

    skdx1980@gmail.com

    Récit 99

    Plage, surprise, découverte…

    Il est 17 heures et pour être franc je suis d'une humeur morose depuis que je suis arrivé dans mon club de vacances, c'est à dire depuis trois ou quatre jours… Je suis pourtant loin d'être à plaindre, je suis en Espagne, il fait un temps magnifique et je n'ai pas à me soucier de quoi que ce soit. Et pourtant mon humeur est massacrante (croyez moi c'est bien peu dire !). Je ne tire plus aucune satisfaction à m'exhiber sur la plage. Je ne suis pas un "canon", mais on va dire que je laisse rarement les filles indifférentes. Jusque là cela m'a toujours flatté, mais cet été tout est différent. Je me sens assailli et harcelé par toutes ces jeunes filles aux hormones incontrôlables. Si bien qu'il n'a pas fallu plus de dix minutes pour que deux d'entre elles viennent poser leurs serviettes à côté de la mienne à la plage et bien qu'elles soient charmantes elles me répugnent. Chacune me fait du charme et tente de me séduire mais aucune n'y parvient. C'est très étrange je ne sais pas pourquoi mais leur compagnie me gène, je voudrais qu'elles s'en aillent, qu'elles me laissent tranquille, mais d'un autre côté je ne vois pas pourquoi je passerai mes nerfs sur elles, je prends donc mon mal en patience. Je ne passe pas non plus de temps avec mon ami d'enfance qui est parti avec moi, en fait nous faisons chacun notre vie. C'est à peine si on se croise le matin et le soir.

    Je me rends compte que je ne me suis même pas présenté. Je m'appelle Jules, j'ai 27 ans et je suis originaires de Lyon. Je suis plutôt du genre populaire et je ne compte plus les petites amourettes que j'ai vécu ces dernières années. Mais je ne dis pas ça pour me vanter, je dis ça parce que c'est la réalité, j'ai toujours eu de nombreuses propositions et déclarations amoureuses sans que je ne le cherche vraiment. Et cela me va très bien. Mais retournons à mes vacances.

    Après cette journée, durant laquelle je n'ai pourtant rien fait, je suis vidé de toute mon énergie. Je vais donc directement me coucher et je m'endors immédiatement sans même m'en rendre compte. Dans la nuit je me réveille soudainement, je suis en sueur. J'ai l'impression que quelque chose m'échappe, que quelque chose ne va pas. Mais quoi ? Impossible de le savoir. Je me rendors donc, non sans mal. Nous voilà le matin, je suis réveillé par un courant d'air frais et là je sais ! J'ai trouvé ce qui m'échappais à deux heures et demie. La fenêtre était fermée quand je me suis endormi et ma porte est restée fermée à clef. Il n'y a qu'une explication. On s'est introduit dans ma chambre. Je vérifie en vitesse que toutes mes affaires sont là et à ma grande surprise on ne m'a rien volé. J'ai pourtant le sentiment que quelque chose est différent et juste avant que je ne sorte un petit morceau de papier attire mon attention, il n'est pas à moi. Dessus il y a écrit "Ouvre moi si tu l'oses !". Bien sur je ne peux résister à la tentation, j'avais visiblement une admiratrice secrète (les coeurs à la place des "o" ne trompent pas) et malgré mon humeur toujours aussi morose, j'ouvre tout de même la lettre avec une pointe d'excitation. Il y est écrit "Retrouve moi dans le vieux port quai 16 ce soir à 22 heures". Vais-je m'y rendre ? Je n'en sais rien à vrai dire, j'ai envie d'y aller mais le fait qu'on se soit introduit dans ma chambre m'inquiète un peu.

    Après une journée identique à la précédente (plage, plage et encore plage) je me décide finalement à aller à ce rendez-vous.

    Il est 22 heures, je suis au quai 16, un petit mot y est scotché : "Retourne toi". Je m'exécute et je vois un jeune homme qui me parait familier mais sur qui il m'est impossible de mettre un nom. Il me tends la main et me lance : "Salut moi c'est Romain." et je lui réponds "Euh… salut, moi c'est Jules. On… on se connait ?". Je suis un peu troublé, je ne m'attendais pas à ça et je n'arrive toujours pas à retrouver d'où je le connais. Il parait surpris de ma réponse et là ça me reviens : c'est le beau garçon qui était là tous les jours sur la plage et à la réflexion peut-être qu'il me regardait un peu beaucoup. Alors je reprends
    "- Ah mais oui ! C'était toi sur la plage.
    Oui, c'est ça. (il sourit, il doit être content que je me souvienne de lui)
    Alors c'est toi, qui est entré dans ma chambre, cette nuit ?
    Oui… (il parait un peu honteux) Désolé mais je n'ai pas réussi à trouver de moyen plus discret et j'étais incapable de venir te voir sur la plage.
    Tu ne pouvais pas me voir dans la rue ou autre part ?
    Je sais que c'est ridicule mais non je n'ai pas réussi, il y avait toujours toutes ces filles qui te tournaient autour…
    Ah oui…
    Et franchement du coup j'avais peur que tu ne viennes pas ce soir, parce que j'avais cru voir de la lassitude avec toutes ces filles qui t'encerclaient mais je n'étais sur de rien.
    Eh bien me voilà. Et tu as raison, je n'en peut plus de toutes ces idiotes. Mais, j'ai peur de ne pas bien comprendre."

    Et sans prévenir il me dépose un baiser sur les lèvres, me glisse un papier dans la main et disparaît. Je reste là de longues minutes, bouche bée. Puis je finis pas reprendre mes esprits et j'ouvre son petit papier. Le message est clair, il m'as passé son numéro. Cette journée est vraiment bizarre. S'il y a bien quelque chose à laquelle je ne m'attendais pas c'était ça.

    Le lendemain je ne le rappelle pas, sur la plage il me regarde mais plus de la même manière, il paraît fatigué, il à des cernes énormes et me dévisage comme si il était nerveux, presque comme si il avait peur. Résultat des courses, le soir je suis d'une humeur encore plus massacrante que le jour précédent, je n'arrête pas de revoir la tête fatiguée et anxieuse de Romain. Je me décide finalement à l'appeler. Il ne lui faut pas plus d'une seconde pour décrocher et tout de suite il commence "Pardon, je suis désolé, s'il te plait…" je le coupe "Arrête Romain, il faut qu'on parle, on se retrouve dans le parc dans 10 minutes, OK ?" ce à quoi il répond un petit "Ok". Je ressort et me dirige vers le parc. Lorsque j'y arrive il y est déjà, en m'approchant j'ai l'impression qu'il tremble, ses cernes sont encore plus creusées. Je m'assieds à côté de lui sur le banc. Je prends une de ses mains, il tremble comme une feuille, ce n'était pas une impression. Il me regardes alors dans les yeux. À ce moment je remarque ses magnifiques yeux et surtout sa jeunesse, il à 18 ou 19 ans tout au plus. Je ne sais pas si c'est son âge ou quelque chose d'autre mais je me sens complètement attendri pour lui, on aurait dit qu'un rien aurait pu le briser en petit morceaux malgré sa carrure de beau garçon musclé. Voyant qu'il n'en peut plus je lance la discussion. "Bon…" mais j'ai à peine dit un mot qu'il m'interrompt "Je suis tellement désolé, je n'aurais pas du faire ça. Je suis vraiment une merde. Tu n'as pas de raison de me pardonner, je ne sais même pas pourquoi tu es venu après ça. J'ai merdé. Je m'en veux tellement, j'aurais du rester timide comme d'habitude. Jamais je n'aurais fais ça avant… M'introduire chez quelqu'un, et faire ce que j'ai fais… J'ai tellement honte…". Il a de plus ne plus de mal à parler, il est complètement anéanti et ça se voit. Il commence même à en sangloter. Je supporte très mal de voir les gens pleurer, ça me mets mal à l'aise, mais heureusement pour moi il ne lui faut pas beaucoup de temps pour se res!
     saisir. Quelques minutes plus tard, je lui demande son âge, et calmement il me répond qu'il a 18 ans, comme je m'y attendais. Puis il me regarde dans les yeux et c'est à ce moment précis que j'ai perçu toute sa détresse. En me disant son âge des larmes recommencent à couler sur ses joues et après sa réponse il éclate en sanglot. Je suis perdu, je ne sais pas comment réagir, c'est vraiment perturbant et totalement inédit pour moi comme situation. Mais j'ai trop mal au coeur, ce garçon pleure à n'en plus finir devant moi. D'un coup je me lance presque inconsciemment ; je l'embrasse. Ce n'est pas un baiser fougueux ni passionné, c'est un baisé de consolation et je sens que cela porte ses fruits. Ses sanglots s'arrêtent progressivement. Je reprends alors la parole "Romain, tu es tout sauf une merde ! Tu as osé ce que beaucoup n'aurait jamais tenté, tu as été audacieux alors ne pleure plus s'il te plait". Cela le calme plutôt bien, il ne tremble pratiquement plus et me prends dans ses bras. Je me surprends à aimer ça mais je ne calcule pas plus que cela. Après cette embrassade nous allons chez moi. Je ne me sens pas de le laisser seul, encore. Arrivés dans ma chambre, étant donné que je dors en caleçon, j'enlève mes vêtements à l'exception de mon caleçon et de mon t-shirt, à mon grand étonnement il m'imite et vient s'allonger. Je ferme la porte à clef puis je rejoins Romain qui est allongé sur mon lit. Et c'est à ce moment que je réalise ce qui est en train de se passer, il y a un mec dans mon lit. Cela me fige, et Romain le voit alors je l'entends me susurrer à l'oreille : "Je sais ce que tu ressens, ça ne m'est jamais arrivé non plus. Mais tu es encore plus beau que quand je t'ai observé après avoir déposé le papier.". Bizarrement cela me détends un peu, mais pas suffisamment pour que je me lance dans quoi que ce soit. C'est alors lui qui fait le premier pas. Il me caresse la joue et descends sur mon torse, découvrant avec bonheur chaque relief de mon corps. Moi, après quelques secondes de stupeur, je m'abandonne e!
     t passe une main dans ses cheveux, c'est fou ce qu'ils sont doux. Plus le temps passe et plus il promène ses mains sur mon corps, à mon plus grand plaisir bien que cela reste très perturbant pour moi… En ce qui me concerne, mes mains restent timides et se limitent au torse. Les siennes, par contre, se sont petit à petit dirigées vers mes fesses, et dans son élan il me caresse la queue au travers de mon caleçon, au premier contact je me raidit un peu mais il repart de plus belle. Il me tâte sous le t-shirt et en profite d'ailleurs pour enlever nos deux t-shirts. Je est terriblement raide, Il plonge sa main dans mon caleçon et il commence à me branler. J'aime ça et et je lui fais comprendre en émettant quelques légers gémissements. Il ne cesse de me complimenter sur ma queue qu'il trouve "magnifique" ou encore "incroyable", à vrai dire, ma queue est la plus grande de nous deux avec 20 cm alors qu'il ne doit être qu'aux alentours de 14 cm. À ce moment il nous retire nos boxer déjà presque trempés de sueur. Je constate par la même occasion qu'il est bien raide aussi. Toujours en étant hésitant un peu il prends ma bite en main et commences à me branler. C'est une sensation totalement nouvelle, je gémis sans retenue (en fait pour être précis je n'arrive plus à me retenir. Puis il arrête, je suis d'abord déçu mais la déception est bien petite comparée au traitement qu'il me réservait. Il lèche mon gland, puis le prends en bouche. enfin, il commence les allers retours et je gémis comme ce n'est pas permis. Il continue ce jeu délicieux pendant quelques minutes. J'éjacule avant même d'avoir pu le prévenir. Il avale  donc ma semence goulument. C'est à l'expression de son visage à ce moment que je réalise bien qu'il n'en est pas à son coup d'essai. Il ne me laisse pas le temps de bouger pour lui rendre la pareille. Il me regarde d'un regard de défi et me lance "défonce moi". Je suis comme possédé. Je le met sur le dos et lui écarte les jambes. Ma queue est déjà lubrifiée grâce à sa salive mais j'ai peur de lui faire mal alo!
     rs je joue, un peu maladroitement, avec son anus jusqu'à ce qu'il se dilate un peu. Je finis par entrer mon gland, très doucement. Il commence à crier et à lancer des "Oooooooh" ou des "Hmmmmmmm". Il m'excite tellement… Je rentre centimètre par centimètre, son cul est super serré mais je continue jusqu'à avoir entré entièrement ma queue dans son petit cul. Je commence alors les allers retours. Il en hurle de douleur mais me supplie de continuer. Au fur et à mesure je prends de l'assurance, je varie les rythmes et la force jusqu'à éjaculer une seconde fois, au plus profond de mon délicieux nouvel ami. Il m'embrasse de bonheur et nous sommes exténués. Il se roule plus ou moins en boule et vient se loger dans mes bras. On aurait dit qu'il avait besoin d'une "protection". Nous nous endormons ainsi…

    Le lendemain je suis réveillé avant lui et je décide que ce coup ci c'est de sa queue dont on va se servir, en plus il a une érection matinale, je commence donc à le sucer, j'ai du mal à mettre toute sa queue dans ma bouche mais je joue beaucoup avec son gland, tout cela fait qu'il se réveille dans un gémissement de bonheur, j'utilise vraiment sa bite comme une sucette et j'adore ça jusqu'à ce que je reçoive son jus dans la bouche, cette substance chaude et un peu amer est délicieuse en réalité ! Mais je n'en ai pas fini maintenant qu'il a joui ! Je me place sur lui et je m'empale sur sa queue toujours bien bandée et je commence à jouer du bassin. Je monte, je descends, je roule des hanches, je serre ma rondelle, je desserre. Il veut que je continue jusqu'au bout et moi aussi je le veux. Je le veux même si ça me déchire littéralement l'anus, sa queue est vraiment large. C'est très étrange comme sensation, d'avoir un pénis dans le cul. Alors qu'hier même je n'aurais pas envisagé avoir de relations avec un homme. Mais la douleur devient très vite un doux plaisir donc on ne veut plus se passer. Il finit par jouir dans mon cul et je prends aussi conscience de la violence d'une éjaculation. Lorsqu'il a éjaculé, la contraction de sa bite m'as encore plus élargi le cul que je ne le pensais et lui, tout son corps s'est contracté pour libérer ce liquide chaud qui m'inonde l'intérieur. Ce sont pas moins de dix jets qu'il m'a envoyé. Nous nous embrassons et nous jugeons que nous avons bien besoin d'une douche.

    Nous nous dirigeons donc tous les deux vers la salle de bain et entrons ensemble dans la cabine de douche. Nous nous savonnons l'un l'autre, je sens même les doigts de Romain rentrer dans mon cul déjà très dilaté et moi je m'active sur sa queue avec du savon tout en le doigtant. Nous nous embrassons une fois de plus après ce doux moment et nous nous séchons. Quand tout à coup mon ami Alexandre avec qui j'étais parti en Espagne et que j'avais complètement oublié cette nuit entre dans la salle de bain. Il s'arrête net, me voyant en train de caresser la queue de Romain et nous dévisage…

    A SUIVRE…Récit 100

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