• Récit1

    Récit1

    Récit érotique écrit par Minpass.
    Auteur homme. jhsoushotmailcom

     

    De fantasme à réalité II


    Plusieurs semaines passèrent sans nouvelle de l’homme – il s’appelait Olive. Je lui avais envoyé quelques messages mais sans réponse. Ma frustration se faisait sentir. Je décidais donc de me remettre à chercher. Au bout de deux soirées de dials et cams non fructueuses, je me trouvais en face à face avec un bel homme d’environ la cinquantaine, bien musclé comme Olive et avec un sexe tout aussi impressionnant. Cette fois le contacte virtuel dura plus de temps. Il était plus côté domination que le premier. En effet, il me fit cambrer, masturber, lécher et doigter par cam sur trois appels. Enfin, le troisième jour après une cam longue et franchement épuisante, il me proposa la rencontre – chez lui – le soir même (il était onze heure du matin). J’acquiesçais, anticipant déjà cette nouvelle expérience. Je me préparais vers 17 heures – me re-rasant, passant un nouveau string cette fois, un jean simple et un t-shirt. Il avait précisé qu’il avait déjà tout ce qu’il fallait en lubri et capotes alors je quittais l’appartement sans attendre. Il habitait à environ vingt minutes, prêt de Bastille.

    J’arrivais chez lui, montais au quatrième étage d’un bel immeuble Haussmannien et sonnais à sa porte qui s’ouvrit presque immédiatement. L’homme était vêtu d’un caleçon serré seulement. Il était plus trapu qu’olive, mais plus musclé également. On sentait une réelle puissance dans son mouvement. Il me fit signe d’entrer.

    « Attends moi dans le salon, il y a tout ce qu’il faut, j’en ai pour une minute. » Je m’exécutais, moins sur de moi que lors des appels cam. Je me retrouvais dans une pièce vaste avec une lumière tamisée. Il y avait un grand écran plat sur lequel défilait un porno. Une très belle femme s’affairait à genoux devant un homme très bien membré. Je restais à regarder leurs ébats en attendant l’homme. La vidéo m’aida à me détendre. Je sentis l’excitation monter en moins tandis que la femme suçait ce bel engin. L’homme arriva enfin. Il était nu à présent. Son sexe pendait lourdement entre ses cuisses.

    « Le viagra prendra quelques minutes à avoir effet. On peut mater le porno en attendant. » J’étais un peu surpris. Il semblait ne pas en avoir eu besoin lors de nos appels. Il vit que j’hésitais.

    « Tu n’es pas le premier aujourd’hui… Aller déshabille toi. »

    Je le fis. Il vit le string et souria. « Très bon choix, il sera facile à écarter. Viens. » Il alla s’asseoir sur le canapé en face de l’écran. Je commençais à m’asseoir à côté de lui mais il m’en empêcha.

    « Hé oh, pas là, là. » Il pointait vers le sol. Un peu pris de cour je m’exécutais encore une fois, me plaçant à genoux devant lui, entre ses cuisses.

    Il regardait l’écran et plaça une main sur ma tête, me guidant vers son sexe encore flasque. Ne sachant quoi faire d’autre, je me laissais diriger et me mit à lui lécher le sexe. Peu à peu sa verge se durcissait, d’abord sous ma langue puis dans ma bouche. Je sentais son gland s’élever contre mon palet. Lorsqu’il fut totalement dur il me prit la tête entre ses mains et se mit à me baiser la bouche avec de mouvements forts. Je me laissais faire d’abord mais au fur et mesure avait de plus en plus mal à la mâchoire. Sa queue venait taper au fond de ma gorge. Je me sentais réellement mal à l’aise. Enfin il lâcha prise et me laissa respirer. Il me regardait alors que je reprenais mon souffle. Il tapota son sexe d’une main contre ma joue, le visage impassible.

    « Pas très endurante la petite salope. » Je le regardais d’entre ses cuisses, une larme aux yeux tellement il avait poussé.

    « J’y suis peut-être allé un peu fort, c’est vrai, désolé. Cette fois ça sera plus doux. » Il se mit debout devant moi, et le film en arrière fond, je me rapprochais à nouveau de son sexe. Son approche m’avait gêné mais j’étais toujours excité. Je lui suçais longuement la bite, me caressant par la même occasion. Il finit par me lever, me retourna et me pencha sur le canapé.

    « Tu vois la nana dans le film ? Tu fais pareil. » Je tournais la tête vers l’écran. L’homme limait le cul de la femme qui gémissait debout contre un mur. Je souris. Il s’enduit la queue de lubri et ce ne fut que lorsqu’il m’écarta le string que je réalisais qu’il n’avait pas de capote.

    « Attends, t’as oublié la capote. »

    « J’ai rien t’inquiètes. » Sans attendre il se saisit de ma hanche et fit pression sur mon trou en donnant un coup de bassin. Je n’osais pas me défaire de son étreinte. Il commença les vas et viens. Je ne pouvais m’empêcher de penser que c’était tout de même mieux sans la capote. Il me baisa longuement avant de se retirer. Croyant qu’il souhaitait finir je commençais à m’agenouiller devant lui, un peu réticent à l’idée de devoir le sucer après être passer en moi. Mais il me retint.

    « Vient sur moi. » Il s’assit sur le canapé et me tira vers lui.

    Je me plaçais à califourchon sur lui, le dos face à lui, tourné donc vers l’écran. Je descendis doucement sur son sexe, le sentant entrer dans mon trou déjà bien dilaté. Je montais et descendais, m’appuyant sur ses cuisses. Au bout de quelques minutes je sentis mon plaisir monter à un comble. J’éjaculais sur mes cuisses et mon ventre.

    « A mon tour. » L’homme me souleva, son sexe sortant de mon trou. Je me sentais vide, mon anus complétement dilaté.

    « A genoux. » J’obéis.

    Il se masturba devant mon visage. Sa voix haletante il me dit « Lèche les couilles salope. » J’obéis encore une fois. Puis il me saisit le menton d’une main et souleva mon visage. Un jet chaud fit irruption. Il gicla en plusieurs fois. J’en avais partout – dans les cheveux, les yeux, la bouche et sur mon cou. Une fois fini il s’assit sur le canapé.

    « Tu peux te rincer dans la salle de bain. Après tu peux y aller. »

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