Récit érotique écrit par Toutnu18.
Auteur homme.  

Un bon début

J'ai rencontré Denis sur un site, il avait 63 ans, moi quelques années de moins. Bi et actif, il me semblait être celui que j'avais envie de rencontrer.
Nous avons décidé de nous rencontrer dans la nature, il est marié et moi je ne suis pas libre, c'était une première de mon coté, je n'avais jamais osé le faire en dehors du cocon protecteur de quatre murs.

J'arrivais juste à l'heure au rendez-vous, une voiture était déjà garée mais personne ne l'occupait. J'ai fait quelques pas et j'ai vu quelqu'un qui resemblait à la description de Denis. Je me suis approché, gardant le silence pour éviter toute méprise mais très vite il m'a regardé, souri et m'a dit "Alors, pas trop dur à trouver ?". Il s'est levé, nous nous sommes serré la main puis avons fait quelques pas. C'est lui ui menait la conversation.
- Pas trop ému ?
- Un peu tout de même, répondis-je.
- Pas déçu du spécimen ?
- Pas du tout au contraire...

Nous avons continué ainsi, nous enfonçant un peu plus dans la forêt. La conversation était agréable et nous en sommes vite arrivés à des questions plus intimes. Je lui expliquais que j'étais très troublé par cette situation.
- Excité, demanda-t-il ?
- Oui... osais-je répondre.

Nous étions dans une petite clairière. Il s'est tourné vers moi, s'est approché et à posé ses mains sur moi. Ces mains parcouraient mon corps faisant naitre une tension trouble. Il faisait bon, je n'étais vêtu que d'un T-shirt et d'un pantalon de toile. Ses mains se sont glissées sous le T-shirt, me faisant gémir. Puis elles se sont posées sur le haut de mon pantalon, les pouces passant à l'intérieur. Un mouvement très doux fit descendre un peu la ceinture puis, d'un coup, d'un mouvement plus vif, il attrapa en meêm temps la ceinture de mon slip et baissa le tout jusqu'aux genoux sans que je puisse faire quoi que ce soit. Je me retrouvais queue dressée et fesses à l'air dehors, devant un homme que je ne connaissais pas une heure avant. Tout de suite je ressentis une sensation de honte mais aussi une accélération de ma respiration et de mon coeur. Déjà ses mains s'emparaient de ma queue et jouaient avec.

Après quelques minutes de ce traitement il s'arrêta et me dit fièrement : " Tu sembles apprécier !". Je regardais autour de moi pour voir si queqlu'un arrivait. "Ne t'inquiète pas, on ne risque rien, tout juste quelques voyeurs..". Il me fit pivoter pour toucher mes fesses, je me cambrais instinctivement pour les tendre vers lui. Ces doigts passaient maintenant dans la raie, jouant parfois avec le bouton. Il continua ainsi un moment puis me dit "Et moi, on m'oublie ?".

Il se recula, je compris que c'était à moi de lui faire plaisir. Il retira sa ceinture, baissa son pantalon et sortit une verge déjà de bonne taille. Je commençais à la caresser, décalottant doucement le gland, puis je posais mes lèvres pour un baiser. Il poussa un soupir. Mes lèvres commencèrent à enserrer le gland puis le prendre en bouche. Cela dura quelques minutes mais il décida d'y mettre fin. "Ce n'est pas de ta bouche dont j'ai envie !".

Il attrapa un tube de lubrifiant et une capote dans sa poche, me retourna et me fit pencher en avant, appuyé sur un arbre. Je tendais mes fesses du mieux possible. Je sentis ses mains me pétrir les fesses puis les écarter et une sensation de frois sur la rondelle. Son doigt se mit à tourner, pénétrant petit à petit dans mes entrailles, suivi d'un second puis un troisième. Il ressortit, reprit du gel et recommença, m'ouvrant de plus en plus. Satisfait sans doute, il arrêta, enfila la capote et se présenta sur ma rondelle. D'une poussée douce mais ferme, il pénétra, me laissant le temps de m'habituer à sa présence. Une bonne partie était déjà rentrée quand il poussa d'un coup, me faisant gémir. Il commença ses vas et vients, lents d'abord, puis plus rapides, ressortant parfois pour rentrer à nouveau d'un coup. J'entandais son ventre claquer contre mon derrière. Il poussa un petit cri, se raidit puis s'arrêta : il avait joui en moi.

Il s'est retiré, a enlevé la capote et s'est essuyé le membre tout gluant. Moi j'en faisais de même avec ma rondelle toute dilatée. Quelques miniutes plus tard, nous étions de nouveau présentables.
- T as aimé ?
- Oui, répondis-je.
- Moi aussi et j'ai très envie de recommencer à prendre ton petit cul...

Nous nous sommes quittés avec l'intention partagée de nous revoir plus tard.