• Récit33

    Récit33

    Récit érotique écrit par Minpass.
    Auteur homme      jhsoushotmailcom

    Histoire corrigée par: Streettriple77

    UN GRAND INCONNU


    L’homme se tenait prêt de la porte, le fixant avec une intensité dérangeante. Il était
    grand, la quarantaine, cheveux et barbe de trois jours sel et poivre. Une musculature
    impressionnante se dessinait à travers ses vêtements sobres.

    Mathias passait d’ami en ami, buvant quelques verres et discutant. L’homme continuait
    à le fixer. Il ne parlait à personne, mais semblait parfaitement à l’aise. Mathias se
    dit qu’il devait un ami de Jean, son colocataire.

    La soirée se termina quelques heures plus tard. Tous les invités sauf l’homme étaient
    partis. Son coloc s’était écroulé aux environs de minuit, complètement saoul.

    Mathias s’approcha de l’homme, ne sachant trop quoi dire. Il dépassait Mathias d’une
    tête et arborait toujours ce même regard intense.

    « Bonsoir, excusez moi mais je vais pas tarder à me coucher… Vous êtes un ami de Jean
    ? »

    Le vouvoiement était venu naturellement.

    L’homme rit :

    « On peut dire ça… disons que nous avons un rapport assez intime»

    Jean avait une vie sexuelle mouvementée et Mathias avait parfois du mal à suivre. Ses
    propres aventures se résumaient à quelques soirées décevantes, surtout pour la fille.
    Il lui arrivait parfois d’entendre les ébats masculins de son coloc. Et, malgré le
    fait qu’il se disait fermement hétérosexuel, il ne pouvait s’empêcher de ressentir une
    pointe d’excitation.

    Mathias observa l’homme de plus près. Il était nettement plus costaud que lui.

    « Moi c’est Mathias. J’imagine que vous dormez avec Jean »

    « Non je ne compte pas dormir avec un mec saoul»

    « Bon je vais vous préparer le canapé»

    « Je pense pas, non »

    Mathias ne savait pas trop quoi dire. Il avait conscience que l’homme le draguait. A
    vrai dire ça lui arrivait assez souvent.

    « Ecoutez, je ne suis pas gay»

    « Moi non plus, je suis bi et franchement je m’en fous un peu de ton orientation »

    Mathias sentait la colère monter en lui mais également cette même excitation que
    lorsqu’il écoutait son coloc baiser.

    « Bon je vais te préparer le canapé et me coucher, j’ai pas envie de discuter de ma
    sexualité »

    Il se retourna et se pencha pour déplier le meuble. La fessée fut soudaine et forte,
    résonnant dans le salon. Il se retourna précipitamment.

    « Ecoute bien. Je déteste me répéter. Je me fous de ton avis, on va faire ce dont j’ai
    envie. De plus, tu as arrêté de me vouvoyer, chose que je n’apprécie pas du tout.
    Alors tu vas être gentil et te déshabiller tout de suite, ok ?»

    Mathias se sentit rougir. Il sentait la colère mais surtout la peur monter en lui,
    chose qui ne fit qu’accentuer l’excitation. Il secoua la tête, les mots ne lui venant
    pas.

    Cette fois l’homme lui donna une grande claque sur la joue droite puis le retourna
    brusquement et le plaqua contre la table du salon, le cambrant en avant. Mathias tenta
    de se débattre mais l’homme avait nettement plus de forces que lui. Il lui donna une
    nouvelle fessée, puis une autre. Il se saisit de ses hanches et se plaça derrière lui,
    son bassin collé au sien. Il se frotta contre lui. Mathias sentait une bosse
    durcissant contre son coccyx.

    « Ca ne sert à rien de te débattre. Tu vas faire ce que je te dis »

    Il relâcha Mathias et le tourna par les épaules vers lui. Sans prévenir, l’homme lui
    saisit l’entre jambe et serra. Mathias ne put empêcher un gémissement de douleur. Une
    larme lui coula le long de la joue.

    « Tu vas te déshabiller, ok ? »

    Mathias fit oui de la tête. L’homme relâcha sa prise. Le jeune se dépêcha de se
    déshabiller, enlevant son T-shirt et son jean. Lorsqu’il fut en boxer, l’homme le
    saisit par les hanches, se collant à lui, puis il glissa ses mains en dessous du
    tissu, contre ses fesses. Il sourit de nouveau, puis, d’un coup sec et fort, lui
    arracha le sous vêtement. Mathias se retrouva nu devant cet homme puissant, à sa
    merci.

    « Fais un tour sur toi même »

    Mathias obéit.

    « Tu es imberbe, dis moi. Tu te rases ? »

    Mathias répondit, la voix faible, les yeux baissés :

    « Oui, mais je n’ai jamais eu de poils au niveau du torse ou des fesses »

    Il se sentit rougir encore, sa joue toujours chaude après la claque.

    « Tu as un petit sexe on dirait, tant mieux. Maintenant défait mon pantalon »

    Mathias ne s’en sentait pas capable. Il secoua de nouveau la tête et reçu une nouvelle
    claque, plus forte que la dernière. Soumis, il se mit à défaire la ceinture de
    l’homme, les larmes aux yeux, la main tremblante. Une fois le pantalon relâché,
    l’homme fit pression sur ses épaules, le forçant à se mettre à genoux. Le pantalon
    tomba à ses pieds. Il portait un boxer noir. Une barre dure et longue se peaufinait
    dans le tissu. Mathias ne put s’empêcher de fixer la suggestion nette du sexe de
    l’homme devant lui.

    « Tu l’aimes ? Tant mieux. Touche-la. »

    Fasciné, sa peur presque oublié, Mathias posa sa main sur la bosse épaisse. Il sentait
    la dureté et la chaleur du pénis de l’homme à travers le tissu.

    « Baisse le boxer »

    Mathias leva sa tête vers l’homme.

    « Tu veux encore une claque ?»

    Mathias s’empressa d’obéir. Le sexe de l’homme se trouvait maintenant à quelques
    millimètres de son visage. Il était droit et dur, dépassant largement les vingt
    centimètres, et d’une épaisseur tout aussi impressionnante. Il était couronné d’un
    gland massif mais élégant. L’homme le regardait, un grand sourire aux lèvres.

    « Maintenant, les mains dans le dos et ouvre ta bouche »

    Mathias ne pouvait s’empêcher d’exécuter, sachant ce qui allait suivre, son cœur
    battant à grande vitesse. Il se trouvait à présent nu devant l’homme, à genoux, les
    mains dans le dos et la bouche grande ouverte, les yeux levés vers son nouveau maître.
    L’homme lui sourit, le saisit par la tête et l’approcha de sa queue raide. Le gland
    frotta contres les lèvres de Mathias, le forçant à ouvrir la bouche totalement.

    L’homme continuait de guider sa tête. La queue était enfoncée, toute dure, de quelques
    centimètres dans sa bouche à présent. Elle avait un goût amer mais, à la surprise de
    Mathias, agréable. L’homme commença à donner de petits coups de reins, s’enfonçant de
    plus en plus dans la bouche de Mathias. Celui-ci n’arrivait pas à croire la situation.
    Il gardait ses mains derrière son dos, se laissant limer la bouche. Peu à peu
    l’excitation prit le dessus sur la peur et la colère. Il se sentit durcir
    progressivement.

    « Tu t’es calmé ? »

    L’homme le regardait, de nouveau sérieux. Comme réponse, Mathias saisit timidement la
    verge de l’homme avec une main, et de l’autre, se mit à caresser les boules rasées de
    celui-ci. Il n’attendit pas de coups de reins mais se mit directement à sucer de sa
    propre initiative, donnant parfois de petits coups de langues sur le sexe ou encore
    s’attardant à téter le gland enflé. L’homme sourit de nouveau.

    « Je savais que tu étais une petite salope»

    Mathias suça l’homme pendant ce qui semblait être une éternité, prenant plaisir à
    sentir ce membre dur et luisant au fond de sa gorge et ce malgré la douleur légère qui
    lui venait à la mâchoire, sa bouche se faufilant autour de l’engin. L’homme finit par
    retirer son sexe d’entre les lèvres de son jeune soumis. Il releva Mathias, puis le
    retourna et le cambra de nouveau sur la table. Cette fois Mathias n’avait aucune envie
    de se débattre, même si il se sentait nerveux à l’idée de prendre une telle taille en
    lui.

    L’homme se plaça derrière lui, passa une main entre ses cuisses, sur son trou imberbe.
    Puis il positionna sa verge dure entre ses fesses. Mathias la sentait se frotter
    contre sa peau. Il bandait totalement à présent, mais contrairement à ses expériences
    hétérosexuelles, ne se sentait pas gêné vis à vis de son sexe long de seulement douze
    centimètres. L’homme apprêta son gland, toujours luisant de salive, contre son trou.
    Mathias tendit une main derrière lui, tentant de ralentir l’homme

    « Attendez »

    L’homme se saisit de sa main et la plaqua sur la table.

    « J’attends rien»

    Avec fermeté, il s’enfonça en Mathias. Celui-ci ouvrit grand les yeux et émit un
    gémissement, sentant la queue de l’homme le remplir peu à peu.

    L’homme le saisit par les hanches et commença de nouveau à donner des coups de reins.
    Dans un premier temps, la pénétration lui fit mal mais il se détendu rapidement. Un
    plaisir comme il n’en avait encore jamais connu remontait d’en dessous de son sexe
    jusqu’à son ventre. L’homme le limait puissamment, chaque va-et-vient le plaquant
    contre la table, le faisant gémir de plaisir. Quant à l’homme, il émettait un
    grognement à chaque coup de reins.

    Soudainement, il se retira du soumis, le retourna et le plaqua en arrière, sur le dos,
    contre la table. Il lui écarta les jambes, révélant son trou dilaté et son petit sexe
    raide. Il se plaça de nouveau entre ses cuisses et fit entrer son sexe d’un coup ferme
    dans la chatte de Mathias. Celui-ci écarta encore une fois les yeux de surprise et
    d’extase.

    Tandis que l’homme s’affairait à lui donner de bons coups de reins secs, il dit à
    Mathias :

    « Tu peux te branler salope, moi j’en ai encore pour un moment»

    Mathias se saisit de son sexe, ridicule comparé à celui qui le pénétrait. A peine
    avait il commencé à s’astiquer qu’il sentit le plaisir monter. Les jambes en l’air et
    écartées, après un coup particulièrement fort de la part de l’homme, le soumis se
    laissa jouir, gémissant longuement.

    L’homme cependant était loin d’être satisfait. Il lima Mathias pendant encore de
    longues minutes. Puis, finalement, alors que Mathias se sentait prêt à jouir une
    deuxième fois, l’homme se retira. Il donna une petite tape sur les boules du soumis.
    La combinaison de la douleur et du plaisir latent donna des frissons à celui-ci.

    « Allez, j’ai pas que ça à foutre, avale moi ce que j’ai à te donner »

    Mathias se dépêcha de s’allonger sur la table et prit de nouveau en bouche le
    magnifique sexe de l’homme. Il lui malaxa également les couilles, le branlant avec une
    main pendant que sa bouche s’affairait sur le gland et une partie de la verge. L’homme
    jouit, son corps secoué d’un grand frisson, exhalant un soupir de satisfaction.

    Le soumis sentit sa bouche s’emplir du foutre chaud et épais. Il tenta de se retirer
    mais l’homme lui maintenait la tête. Il gicla en quatre grands à-coups, chacun porteur
    d’une charge de semence copieuse. Mathias fit du mieux qu’il pouvait pour tout avaler,
    mais malgré lui, une partie s’échappa de sa bouche, coulant de sa lèvre sur la verge
    de l’homme, puis gouttant sur la table.

    Pour terminer, l’homme se retira et administra une baffe monumentale au jeune.

    « Laisses tomber les femmes petit, c’est pour les vrais hommes ça. Je reviendrai te
    voir. Je te présenterai même peut-être quelques amis, aussi avides que moi de jeunes
    lopes dans ton genre »

    Sur ce, il se rhabilla et partit, laissant Mathias seul sur la table du salon, dans le
    foutre et la sueur de son nouveau maître.

    Il avait hâte de le revoir.

    Un grand inconnu (Suite)


    Mathias était debout devant la glace. Il était nu. La porte était fermée à clé, il
    voulait être seul. Il contemplait son corps avec un nouveau regard. Jusqu’à ce soir
    son corps lui avait paru indésirable. Il n’était pas laid était même plutôt sportif
    mais n’avait jamais connu de succès avec les femmes. Son sexe était petit, peinait à
    atteindre 12cm. On avait beau lui répéter que la taille ne comptait pas mais il ne
    pouvait pas dire en avoir vu la preuve. Chaque rencard se terminait de la même manière
    – la fille arborant une aire agacée ou même moqueur, se tirant plus tôt que prévu.
    Mais ce soir, il avait satisfait un homme. Il ne s’était montré ni déçu ou insultant.
    Mathias avait senti l’odeur forte du sexe de celui-ci, avait goûté le parfum amère
    mais doux du gland frottant contre son palet et enfin avait avalé sa semence épaisse
    et délectable. Les coups de rein de l’homme l’avaient libéré de sa nervosité et de son
    complexe. Il ne connaissait même pas son nom mais ça rendait le tout encore plus
    excitant. Il se coucha, et, se remémorant les ébats de la soirée, se masturba alors
    que les premières lueurs du matin se pointaient. Une coulée fine mais longue gicla sur
    son ventre en moins d’une minute. Le sommeil lui vint, un sourire aux lèvres.

    Les semaines qui suivirent, il ne pu penser qu’à l’homme, cet être dominant et
    masculin qui lui avait fait découvrir un nouveau monde. Il n’osait pas demander à son
    coloc son nom ou son numéro, Jean aurait su tout de suite ce qui se tramait. Alors
    Mathias attendait, espérant que l’homme reviendrait. Puis, au bout de deux semaines,
    alors qu’il était chez lui, son téléphone vibra –

    Alors, tu y penses toujours j’imagine ? J’en ai pas finit avec toi. Envoi moi ton id
    skype, j’ai envi de voir cette petite bite et ses belles fesses.

    Mathias sentait son cœur battre à toute allure. Les mains tremblantes, il s’empressa
    de répondre à l’homme, lui envoyant comme demandé ses informations. Il s’installa
    devant l’ordinateur, attendant avec impatience l’invitation de son interlocuteur. Elle
    ne tarda à venir. Il reçu un message d’un Domus22. Sa photo était sombre.

    Tu as une webcam j’espère ?

    Oui. Mathias se sentait durcir, son jean le serrant de plus en plus.

    Allume. Il s’exécuta. L’homme répondit au bout de deux sonneries. Sa caméra était
    également allumée, pointée vers son bassin.

    Montre moi ton visage. La voix grave de l’homme ne fit que l’exciter d’avantage. Il ne
    pouvait qu’obéir. Il tourna la caméra vers son visage. L’homme resta silencieux
    quelques instants.

    Mets toi à poil salope. L’air était frais à présent sur sa peau, il sentait ses
    couilles se rétrécir contre le froid. Il fit un tour sur lui même.

    Tu as vraiment un sexe ridicule. Au lieu de le blaiser, les mots le rendirent encore
    plus dure. L’homme le vit et ricana.

    Petite pute va. Montre moi ton cul maintenant. Mathias se cambra devant la caméra.
    L’homme l’ordonna d’écarter les fesses, puis de se doigter. Au début, Mathias ne
    savait pas trop s’y prendre, puis il sentit l’ombre du plaisir de la nuit avec l’homme
    revenir. Le souvenir de sa queue profondément enfouie en lui le fit gémir.

    Jean est là ? La question était impromptue et Mathias ne savait pas où il voulait en
    venir.

    Eu non il est sorti.

    Vas dans sa chambre, prends ce qu’il y a dans le tiroir sous son lit. Perplexe,
    Mathias se dirigea vers la chambre de son colocataire, toujours nu, sa queue raide. Il
    ouvrit comme ordonné le tiroir de Jean. Le gode était gros. Il y avait également du
    lubrifiant. Mathias, sentant l’excitation grimper encore, se saisit des deux et
    retourna dans sa chambre.

    Lèche le gode.

    Mathias posa sa langue contre le plastique. L’homme défit son jean à la caméra et,
    lentement, sorti son sexe. Il était dur et gros, comme dans son souvenir. Mathias se
    mit à sucer le gode, s’imaginant à la place le sexe de l’homme. Celui-ci se mit à se
    branler doucement, chaque mouvement de la main délibéré et fort.

    Mets toi sur ton dos, écartes les jambes et enfonces le dans ta chatte pute.

    Mathias appliqua une lampée de lubri sur le gode, puis s’en étala sur son trou imberbe
    avec un doigt. Il frissonna en plaçant le gland sur son trou. S’était froid mais il
    frémissait à l’idée de se l’enfoncer. Doucement il le fit pénétrer. Il commença les
    vas et viens, le gode le dilatant rapidement. Il accéléra le rythme, regardant l’homme
    se masturbant en même temps. Il gémit puis joui, la giclée lui touchant même le
    visage. L’homme ne joui pas.

    Petit joueur. Je ne t’ai pas autorisé à finir alors je ne te laisse pas me regarder me
    satisfaire. Viens chez moi ce soir – rue des Archives, je t’envoi l’heure par
    téléphone.

    La vidéo coupa, laissant Mathias, le souffle coupé, toujours sur son dos, le gode
    encore en lui. Il reçu le texte peu après – 19h au 57. Il ne savait pas comment
    l’homme avait eu son numéro mais il s’en foutait. L’excitation à l’idée de voir
    l’homme l’emplissait.

    Il sortit du métro très en avance. La place de l’hôtel de Ville était quasiment
    déserte. Il se dirigea rapidement vers l’adresse, s’empressant d’arriver. Il poussa la
    porte du 57, donnant sur un hall d’entrée sombre mais élégant. Il gravit les quatre
    étages comme indiqué par l’homme. La porte de droite au palier était entre ouverte. Il
    la poussa puis la referma derrière lui. Un long couloir le mena vers un grand salon
    sobrement décoré. Il n’y avait personne. Une porte s’ouvrit en face. Une femme sortit,
    le fixa du regard. Elle était grande et belle, très belle. Des jambes longues et nues
    menaient vers de belles hanches et un ventre lisse. Sa chatte était rasée, sa peau
    semblait couverte d’une fine couche de sueur. Elle ne portait rien. Des seins lourds
    et fermes jetaient une ombre douce sur le haut de son ventre. Ses tétons pointaient,
    roses dans la lumière tamisée. Ses cheveux étaient coupés aux épaules, ils étaient
    noirs. Une frange tombait sur un visage magnifique et mince. Ses yeux semblaient le
    transpercer.

    « Il t’attend. » Elle avait une voix douce mais autoritaire.

    Mathias, ne pouvant déroger son regard de la femme, s’avança vers la porte. La femme
    lui barrait le chemin.

    « Enlève tes vêtements. » Mathias s’exécuta, l’excitation montant en flèche.

    Elle le fixait toujours alors qu’il se déshabillait. Une fois nu, elle s’avança d’un
    pas vers lui. Elle se colla à lui, posant une main sur le bas de son ventre, la
    laissant glisser vers son sexe raidissant. Mathias senti un frisson le traverser. Elle
    sourit et plaça son autre main sur ses fesses, parcourant le long de sa raie, puis
    lentement, fit entrer un doigt en lui. Elle continua de sourire, puis, sa main sur son
    sexe, le guida à l’intérieur de la pièce. L’homme était là, nu sur le lit, son sexe
    flasque mais toujours impressionnant. La fille l’amena au lit, se saisit de sa main et
    la plaça sur le sexe de l’homme. Il s’en empara lentement, son cœur battant un tempo
    frénétique. Il regarda la femme, posa une main sur un sein.

    « Elle est pas là pour toi. » L’homme lui donna une petite tape sur la joue. La femme
    sourit, haussa les épaules. Elle se leva.

    « Tiens mets ça. » Elle lui tendit un tanga noir en dentelle. Mathias la fixa. Puis,
    tendis la main. Il prit la lingerie entre ses doigts et l’enfila. Le tissu lui serrait
    les boules, mais le contact était agréable. L’homme plaça une main sur ses fesses. La
    femme le contemplait, un petit sourire aux lèvres. L’homme se leva.

    « Aller à genoux petite lope. » Mathias se mit devant l’homme, la femme assise
    derrière lui sur le lit. Il approcha son visage du sexe de son maitre qui sentait la
    sueur et le parfum de la femme. Il prit le pénis entre ses doigts, le souleva, et
    plaça le bout de sa langue sur les boules de l’homme. Le sexe commençait à durcir. Il
    prit une des testicules en bouche, la malaxant avec ses lèvres. Il se mit ensuite à
    lécher tout du long de la verge de l’homme, remontant vers le gland. La queue n’était
    pas tout à fait dure mais, même ainsi elle dépassait largement la sienne. Il trouva un
    trait fin de liquide argent, luisant au bout du gland. Il frotta la peau contre ses
    lèvres, étalant la semence. Il se mit à téter, le gout salé du sperme se fondant à
    celui du sexe de l’homme. Il était dur à présent, le sexe gros entre les lèvres de son
    soumis. L’homme s’empara de sa tête et se mit à lui baiser la bouche à coups secs, le
    guidant. La femme avait posé ses pieds contre son dos. Elle respirait fortement en se
    caressant. Le petit sexe de Mathias Son était raide dans le tanga. Il suça l’homme
    pendant de longues minutes délicieuses.

    « Debout. » Mathias sortit le sexe de l’homme de sa bouche et se leva. Le maitre le
    retourna et plaça une main sur ses fesses. Il les caressa puis d’un coup sec, lui
    administra une fessée forte et douloureuse. Mathias ne pu empêcher un petit cri.
    L’homme le poussa contre le lit, le plaquant contre son ventre. Il se saisit du tanga
    et le tira vers le bas, le laissant mi-cuisse.

    « Enduit moi. » La femme prit un flacon de lubrifiant sur une table de chevet,
    l’ouvrit et en étala sur le gland de l’homme puis elle fit glisser ses doigts à
    nouveau contre le trou de Mathias. Le liquide était froid mais l’anticipation était
    grande. L’homme se plaça entre ses cuisses, contre sa chatte. Pendant un instant le
    gland peinait à rentrer, puis d’un coup il était en lui. Mathias gémit. L’homme
    s’enfonça lentement mais fermement en lui, le pénétrant. Lentement il se mit à asséner
    de bons coups de reins, comme une puissante machine se mettant en route. Il accéléra
    la cadence, se positionnant au-dessus de Mathias, le dominant totalement. Chaque coup
    était comme une bouffée de plaisir, augmentée d’une touche de douleur pour Mathias. Il
    se mit à gémir, pendant que l’homme laissait entendre un son bas et masculin de
    satisfaction. La femme se plaça assise devant Mathias, écarta les cuisses et, le
    guidant avec une main, amena sa langue contre son clitoris. Il se mit à lécher.
    L’homme le baisait sans retenu à présent, sa queue longue de plus de 20cm, alternant
    entre la pénétration profonde et un titillement du gland au bord de sa rondelle.

    L’homme s’arrêta. Il s’allongea sur le dos. La femme se désengagea de sa position et
    se mit à sucer la verge du maître. L’homme regarda Mathias.

    « Je t’autorise à la baiser. Mais ne t’avise pas de finir en elle. Ta semence ne vaut
    rien. »

    La femme jeta un regard coquin vers Mathias et se mis à quatre pattes, la queue de
    l’homme toujours en bouche. L’excitation au comble, Mathias se positionna derrière
    elle et plaça son sexe entre ses cuisses. Elle le laissa entrer en elle. Il se mit à
    lui donner de petits coups de reins.

    « Tu peux y aller plus fort petit, avec cette blague que t’as entre les jambes je
    doute que qu’elle ne ressente quoi que ce soit. »

    Mathias se fit la réflexion qu’en effet, après le gabarit de l’homme, son sexe devait
    à peine se faire ressentir. Cependant, il se sentait frotter contre les parois chauds
    et trempées de la femme qui se contractait autour de son pénis. Il accéléra le rythme,
    la femme ne se dérogeant en rien de la pipe langoureuse qu’elle effectuait. Elle
    semblait même pas être au courant de se qui se passait derrière elle.

    Au bout de cinq minutes Mathias se sentit au bord de la jouissance. Amère, il se
    retira de la femme. L’homme le regarda –

    « Bien, maintenant regarde un vrai homme faire. »

    Il saisit la femme, et à son tour se plaça là où Mathias s’était tenu quelques
    instants au préalable. La femme sourit, anticipant la suite. D’un mouvement ferme
    l’homme s’enfonça en elle et se mit à la baiser. La femme fixa Mathias du regard
    pendant que l’homme la baisait. Elle jouit plusieurs fois avant que l’homme ne se
    décide de se retirer. Il se rallongea fit signe à Mathias de s’approcher.

    « Aller salope, montre moi comment tu montes. »

    Mathias se plaça au-dessus du sexe de l’homme, toute semblance de virilité abandonnée.
    Il se saisit d’une main du sexe de l’homme et le positionna contre son trou. Il se mit
    à descendre doucement. Il descendit jusqu’au bout, ses fesses se posant contre les
    hanches de l’homme. La position lui fit d’autant plus ressentir la taille de la verge
    qui l’emplissait. Il se mit à monter et descendre doucement, chaque mouvement porteur
    de plaisir et de douleur. Peu à peu cependant, le plaisir prit le dessus. Encore une
    fois, il sentit l’excitation monter en flèche alors qu’un plaisir intense grimpait du
    bas de son ventre. Il chevaucha l’homme pendant un long moment, la femme allongée les
    observant. L’homme lui tenait fermement les hanches, l’enfonçant sur son membre.
    Mathias jouit, un fil fin tombant sur sa cuisse droite.

    « A mon tour. » L’homme souleva Mathias et se leva. Il poussa le soumis qui tomba au
    lit, sa tête se reposant sur les fesses de la femme. Celle-ci tourna la tête pour
    observer. L’homme se positionna au-dessus de leurs deux corps et se mit à se masturber.
    Une giclée épaisse et longue fut projetée sur son visage et la peau de la femme,
    coulant dans sa raie. L’homme exhala un souffle long et fort.

    « Lèche. »

    Mathias obéit, récoltant d’abord la semence sur son visage, puis parcourant avec sa
    langue la raie de la femme qui souleva légèrement son bassin pour lui faciliter
    l’action. Le gout du sperme se mélangea à la sueur de la femme.

    Il se rhabilla et les laissa, l’homme s’apprêtant à pénétrer la femme une nouvelle
    fois.

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