• Récit36

     

    Récit36

    Damien 65 – Pierre (2)


    Le lendemain matin quand je me levai après une longue nuit de sommeil, mon anus bien qu'encore un peu enflé n'était plus du tout douloureux, je pris une bonne douche et partis travailler.
    Les trois jours se passèrent impeccablement et le Mercredi soir j'avoue avoir eu une certaine appréhension, c'était la première fois que j'allais passer une soirée avec un homme sans qu'il soit question de baiser.
    Après le bureau je passai chez moi pour me travestir car Pierre avait une seule exigence, c'était que je sois toujours habillé en femme quand on se rencontrait à ce propos il m'avait donné une valise d'affaires féminines quand j'étais parti le Dimanche précédent.
    Vers huit heures complètement transformé, je l'attendais au métro ETOILE, quand il arriva en voiture il ne me reconnut pas, il s'arrêta et commença à attendre le laissant poireauter un petit peu je m'avançai vers lui et lui fis un petit signe de la main, il vint vers moi, m'enlaça et m'embrassa tendrement sur les lèvres en me disant "tu es superbe, encore une fois je n'en crois pas mes yeux.
    - Je te plais ?
    - Je te l'ai dit, tu es superbe je t'aime
    - Merci chou.
    - Allez viens allons dîner, j'ai réservé une table au FOUQUET'S".
    Après avoir bu l'apéritif, nous dînâmes excellemment tout en parlant de choses et d'autres, à 10 heures nous allâmes au cinéma ou Pierre passa tout son temps à me caresser et m'embrasser.
    A la fin de la séance, il me demanda de venir chez lui, devant mon refus ferme il s'inclina et après avoir été boire un dernier verre dans une brasserie, il me déposa à une station de taxi ou après m'avoir longuement embrassé il me laissa partir.
    Quand je rentrai chez moi, l'excitation que cet homme avait fait naître en moi n'étais pas encore calmée, je me demandai comment j'avais eu la force de ne pas l'accompagner tant j'avais envie de faire l'amour avec lui.
    Après m'être trempé dans un bain d'eau froide, je pris un quart de somnifère et allai me coucher.
    Je me réveillai le lendemain frais et dispos, tout prêt à affronter une nouvelle journée de travail en pensant que je n'avais que deux jours à passer avant de me retrouver entre les bras de mon amant.
    Le Vendredi soir arriva enfin, à 5 heures je quittai le bureau pour rentrer chez moi, après avoir pris une douche et m'être épilé les jambes je pris les fards et les crayons et entrepris ma longue transformation, il me fallut une bonne heure pour arriver à un changement complet de personnalité, j'étais vêtu décontracté c'est à dire d'un sweat-shirt blanc et d'un cuissard noir et chaussé d'une jolie paire de chaussures plates.
    A 8 heures je pris un taxi qui me conduisit chez mon amant, il m'attendait sur le seuil de la porte d'entrée j'entrai, il me prit dans ses bras et m'embrassa tendrement sur les lèvres tout en me caressant le dos, une douce chaleur inonda mon bas-ventre et quand Pierre abandonna ma bouche j'avais les joues en feu et le souffle court.
    Nous allâmes dans le salon et mon homme me servit l'apéritif, s'asseyant à mes cotés il me demanda "As-tu passé une bonne semaine ?
    - Oui, mais il me tardait d'être aujourd'hui.
    - C'est gentil ce que tu dis là.
    - C'est la pure vérité, tu m'as manqué.
    - Merci, bon pour ce soir j'ai prévu d'aller au restaurant puis après d'aller au cinéma voir un film, quand à demain je pense qu'il serait sympa si nous faisions un tour à la campagne. Qu'en dis-tu ?
    - Ce serait chouette.
    - Bien dans ce cas, laisse-moi une demi-heure pour me préparer.
    - O.K, à tout à l'heure".
    Quand mon ami revint, nous partîmes en voiture pour un restaurant russe situé à une vingtaine de kilomètres de la maison ou nous dînâmes très bien, au moment de notre sortie nous nous aperçûmes qu'il était trop tard pour le cinéma alors nous décidâmes d'aller en boite.
    Nous dansâmes jusqu'à 2 heures du matin.
    A peine étions-nous montés dans sa voiture que Pierre me dit "Je ne crois pas que je pourrais attendre qu'on arrive à la maison, je suis trop excité, fais-moi une pipe maintenant.
    - Ici ?
    - Oui, pourquoi pas, touche tu verras la trique que j'ai.
    - D'accord mais si on nous surprend ?
    - On ne va pas rester ici, pendant que tu me suceras, nous roulerons vers la maison, mais vite fais quelque chose, j'ai l'impression que je vais exploser dans mon slip, il faut dire que c'est de ma faute, j'ai fantasmé comme un fou toute la journée, et aussi il faut dire que mercredi tu as été dur avec moi, pendant toute la séance de ciné je me suis excité, et à la fin tu m'as planté là comme un idiot avec une trique pas possible, j'ai eu beau me branler le soir même, rien à faire.
    - Tu n'avais qu'à pas t'exciter, je t'ai dit que je ne voulais pas qu'on ne se voie que pour baiser.
    - Je sais, mais maintenant, il faut que tu me libères
    - Mais avec plaisir".
    Je descendis le zip de sa fermeture éclair et dégrafai son pantalon, son slip blanc était trempé, je tirai sur le devant et le gland imposant de mon amant sortit tel un diable de sa boite, Pierre se souleva légèrement et je fis glisser sa culotte ainsi que son pantalon jusqu'à ses genoux.
    Mon homme démarra tandis que je descendais vers son sexe brillant de sève qui pointait vers moi.
    Quand mes lèvres entrèrent en contact avec sa chair turgescente, mon mec poussa un petit gémissement, je me mis à lécher consciencieusement son bout durci, ce qui eu pour effet de faire grandir encore le fabuleux phallus, je pris ses bourses gonflées dans mes mains et ouvris tout grand la bouche et engloutis l'objet de ma dévotion.
    J'entamai une lente fellation tout en mordillant la tige qui palpitait en moi, dans l'état où était Pierre cela ne dura pas, il pesa sur ma nuque et dans un feulement déversa longuement de puissants jets crémeux au fond de ma gorge que j'avalai avec délice.
    Quand il me libéra je me redressai et vis qu'on était presque arrivé, je glissai une main entre les cuisses de mon amant et appliquai une caresse sur sa pine qui bien qu'ayant déchargée n'avait pas débandé pour autant, Pierre me sourit et me dit "Ne t'inquiètes pas, il y en a encore beaucoup pour toi.
    - Je l'espère bien, car après m'avoir mis l'eau à la bouche, il faut maintenant me donner ma pâtée.
    - Promis, tu vas voir, cette nuit va être inoubliable pour toi, tu vas jouir comme jamais.
    - Si tu le dis, je te crois, car à chaque fois ce fut très bien et jamais tu ne m'avais fait de telles promesses".
    Après avoir mis la voiture au garage, nous entrâmes dans la maison, arrivés dans le salon, Pierre nous servit un verre que nous bûmes en silence puis mon homme se leva et me prenant dans ses bras, écrasa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris la bouche, nos dents s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné, quand mon amant abandonna mes lèvres, j'avais les joues en feu.
    Il fit passer mon sweet shirt au dessus de ma tête et s'agenouillant devant moi, ôta mes chaussures et baissa mon cuissard, je restai en petite culotte, il se releva et me serrant contre lui entreprit de me caresser tendrement, sous ses attouchements manuels, une chaleur m'envahit et je me collai encore plus contre mon doux tourmenteur, contre ma cuisse nue je sentais palpiter son membre tendu, Pierre arrêta et me dit "déshabille-moi".
    Je le débarrassai de sa chemise et après lui avoir enlever ses chaussures, je baissai d'un seul coup son pantalon et son slip sur lequel une tache pas encore tout à fait sèche rappelait sa jouissance de tout à l'heure, son pénis libéré pointa vers le ciel, je voulus le prendre en bouche mais mon mec me fit relever et m'enlaçant m'embrassa une fois encore avec fougue tout en posant ses mains sur mes fesses brûlantes.
    Je m'abandonnai totalement, lentement Pierre fit glisser mon string le long de mes cuisses fuselées puis me penchant en avant, il écarta mes deux lobes charnus et sa langue râpeuse vint titiller mon anus qui ne tarda pas à s'ouvrir sous ce baiser lingué, je devais me tenir au mur pour ne pas tomber tant ce que me faisait mon amant était bon, j'avais la raie trempée de salive et je tendais mon fessier vers cette langue inquisitrice pour m'offrit encore plus, soudain un doigt me déflora me faisant gémir et se mit à aller et venir en moi, un deuxième puis un troisième doigt rejoignirent le premier, j'étais complètement parti, je planais sous les poussées de cette main qui, à chaque fois, m'ouvrait un peu plus le sphincter, j'avais envie que le formidable phallus de mon mec me transperce et je le suppliai de le faire mais lui sourd à mes cris et gémissements continuait à m'astiquer la pastille, j'avais perdu entièrement le sens des réalités, de sourds râles de bonheur sortait de ma gorge chaque fois que les doigts m'empalaient.
    Soudain mon homme m'abandonna et revint face à moi, il me prit à la taille et me souleva, je mis mes bras autour de sa nuque et nouai mes jambes autour de sa taille, me maintenant d'une seule main, Pierre guida son fabuleux sexe entre mes miches en feu et le positionna contre mon antre béante, puis s'appuyant le dos au mur, il me pénétra d'un violent coup de reins qui bien que fus ouvert me fit hurler de douleur, une fois totalement en moi, il s'immobilisa me laissant m'habituer à sa monstrueuse présence, je sentais palpiter au fond de mon cul l'énorme pine roide.
    Peu à peu la douleur fit place à une étrange langueur, et mon canal se décontracta, lovant ma tête dans le creux de son épaule, je lui dis "Vas-y défonce-moi".
    Mon amant commença à me soulever et à me faire descendre son pieu érigé m'arrachant à chaque fois de petits cris, puis au bout de quelques minutes le plaisir prit possession de mon être et mon tunnel céda complètement et le membre turgescent coulissa en moi sans gêne aucune.
    Dans l'état de manque où je me trouvai, je ne fus pas long à sombrer dans la jouissance sous les coups de boutoir répétés que mon homme m'assenait, je lui mordais les épaules pour ne pas crier, chaque fois qu'il m'enfilait jusqu'à la garde, j'avais l'impression que des torrents de lave coulait en moi, une boule s'était formé dans ma poitrine et explosait en mille étoiles vers mon visage, j'étais arrivé au point de non retour et je me mis à délirer.
    C'est à cet instant que m'empalant jusqu'à la garde, Pierre éjacula en râlant, ses épais jets de foutre crémeux m'inondèrent le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur, la tête rejetée en arrière je hurlai mon plaisir et battit des jambes ce qui eu pour effet de me faire tomber à terre entraînant dans ma chute celui qui m'enfessait, je restai sur le tapis les yeux clos, cuisses écartées savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
    Mon amant me décula et se leva, quelques minutes passèrent où je restai étendu sentant encore les légers soubresauts que produisait mon anus quand soudain une chose chaude vint caresser ma joue, j'ouvris les yeux et vis Pierre à genoux à mes côtés qui promenait sa verge à demi flaccide contre mon visage, je pris le sexe dans mes mains et le décalottant je me mis à le branler lentement, l'effet ne fut pas long à se produire, le pénis s'érigea en de lentes saccades et finit par pointer fièrement vers le plafond, je forçai mon homme à se coucher et me mettant sur le ventre en travers de son corps, j'entrepris de lécher le phallus qui avait retrouvé ses fabuleuses dimensions.
    Ma langue courrait le long de la tige turgescente, descendant parfois vers les bourses gonflées de sève pour les gober, les poils follets de ses testicules étaient humide car comme toujours, après une sodomie, Pierre s'était lavé le membre avant de me demander de le sucer, mes attouchements buccaux avait fait grossir la hampe, une goutte de sperme translucide perlait au bout de son méat, dans le creux de mes reins commençait à s'insinuer un désir langoureux, j'abandonnai un instant l'objet de ma dévotion, le priape était luisent de salive, mon mec posa sa main sur ma nuque et appuyant légèrement dessus me montra ce qu'il voulait, j'ouvris tout grand la bouche et entamai une lente fellation.
    Au bout de quelques instants de ce traitement, mon amant commença à donner quelques coups de reins chaque fois que ma tête remontait le long de sa pine dressée, je continuai à la titiller tout en enroulant ma langue autour de sa colonne de chair et en la mordillant.
    Soudain, Pierre stoppa ma pipe et se leva, il prit mes jambes et le posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida sa bite entre elles contre mon antre béante, quand je sentis son gland contre mon sphincter affamé, je lui dis "Vas y défonce moi".
    il pesa sur ma corolle toujours ouverte par notre étreinte précédente et entra en moi comme dans du beurre me faisant gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.
    Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir sous les assauts répétés de mon homme, le sexe coulissait en moi sans aucune gène, chaque poussée m'ouvrait un peu plus le cul, j'avais du mal à respirer tant le plaisir qui affluait en moi était grand, j'avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe vers ce fabuleux pénis qui me cassait la pastille chaque fois qu'il plongeait en moi jusqu'à la garde.
    Mes gémissements s'étaient depuis longtemps mués en profonds râles de bonheur, mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon mec m'assenait, le cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai l'épais tapis, chaque fois que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de plaisir, je voulais que mon homme entre chaque fois plus profondément en moi, repliant encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant ressortir plus mon anneau et accentuant l'angle de pénétration, Pierre se coucha sur moi et se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis, sous ses coups de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
    Un spasme foudroyant traversa mon être, je me cambrais sous mon amant et un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.
    Quand je repris conscience, Pierre était toujours en train de me besogner avec une régularité de métronome, voyant que j'étais revenu à moi, il se retira de mon cul et me fit mettre à quatre pattes puis me pénétra d'un violent coup de reins et me prenant aux hanches, se remit à me sodomiser me faisant aller et venir sur toute la longueur de son phallus.
    Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon mec toujours d'un calme olympien m'éclatait de plus en plus la pastille, j'avais l'impression qu'il était en moi depuis une éternité, j'étais secoué de frissons de désir, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel enflammé, lâchant mes hanches Pierre me prit par les épaules et se mit à me pilonner l'arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à me faire mal, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes poussées de mon amant, tout mon corps tremblait tant j'étais excité chaque fois que mon homme m'enfilait jusqu'à la garde, j'étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir, je n'étais plus que jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, je me sentais partir un peu plus, je suppliais Pierre de décharger car seule sa semence pouvait éteindre l'incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris continuait à me défoncer la raie avec une régularité de métronome, le traitement que mon mec m'affligeait me faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien le cul pour accentuer la pénétration, des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, jamais je n'avais autant joui au cours d'une enculade, je voulais qu'il me démolisse complètement le fion, qu'il me déchire pour qu'il puisse entrer entier en moi, sous les virils coups de queue je tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l'air entièrement écartelé, Pierre m'ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des "HANS" de bûcheron, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
    Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur tout en tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes cuisses se dérobèrent sous moi et je m'affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l'univers cotonneux du plaisir physique, je sentis l'immense verge sortir de mon canal et mon amant s'allongeant à mes côtés se mit à me caresser, quand je rouvris les yeux mon anus palpitait toujours, la première chose que je vis fut le sexe toujours dressé de mon homme, ça là que je m'aperçus qu'il n'avait pas encore joui, s'étendant sur le dos Pierre me dit "viens t'asseoir sur moi en me présentant ton dos".
    Je m'exécutai, il guida son membre en moi et me prenant sous les cuisses me fit monter et descendre sur sa pine érigée.
    Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon être, j'étais comme un fétu de paille entre les bras de mon homme, ma tête ballottait de droite à gauche au rythme de l'enculade que je subissais et je me remis à râler tout en enserrant la taille de mon mec de mes pieds, je posais mes mains sur ses jambes pour imprimer une cadence plus soutenue, le membre coulissait en moi merveilleusement, en dehors de mes râles entrecoupés de petits cris on entendait les bruits de succion que faisaient mon cul chaque fois que la verge turgescente s'enfonçait jusqu'à la garde.
    Soudain Pierre me prit par la taille et m'immobilisa contre son pubis, puis il se mit à donner de violents coups de reins qui malgré qu'il me tienne me faisaient sauter chaque qu'il m'enfessait totalement, tel un pantin désarticulé, mon corps ballottait sous les furieux assauts que m'affligeait mon amant survolté, mes râles s'étaient mués en cris de jouissance, j'avais le cul en feu, tout mon être ravagé réclamait sa pitance, je voulais son sperme, tout en ondulant des hanches je le suppliais de m'inonder de sa crémeuse liqueur, mais lui sourd à mes cris continuait à me piner de toute la longueur de sa formidable bite, je planais littéralement le plaisir que je recevais était fabuleux, j'avais atteint la plénitude rectale, seule pour moi comptait l'extraordinaire phallus qui me forait les reins, j'avais rejeté la tête en arrière et je hurlai sans discontinuer, je sentais monter en moi les prémices d'un orgasme dévastateur, tout en moi appelait le mâle, je vivais plus que pour et par le priape qui me défonçait un peu plus à chaque fois qu'il m'enfilait.
    Je bramais des obscénités pour exciter encore plus celui qui me prenait tant ce que je ressentais était grand, perdant toute notion des réalités je me mis à délirer.
    Soudain une vague déferlante me balaya, je battis l'air de mes bras et jambes ouvrant tout grand la bouche pour chercher l'air qui me manquait, la jouissance explosa dans tout mon corps torturé, un strident hurlement pulsa de ma gorge, mon corps se tendit comme un arc et je tombai à terre sombrant dans l'inconscience.
    Quand je recouvrais mes esprits, Pierre assis à côté de moi me regardai en fumant, son sexe était toujours en érection, il n'avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me dit "Alors
    c'est bon ?
    - Oh oui chéri, jamais je n'ai pris un tel pied, mais toi mon pauvre amour, tu ne veux pas jouir ?
    - Si mais après t'avoir vu toi jouir ma chérie, tu es si belle quand le plaisir ravage ton visage.
    - C'est gentil ce que tu dis, mais moi je voudrais avoir ton sperme en moi.
    - Je vais te le donner cette fois-ci, tu l'as bien mérité ma puce, allez viens te mettre contre le mur en appui sur les bras et les jambes bien écartées".
    J'obéis, Pierre se positionna derrière moi en m'encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.
    Sous les longs coups de boutoirs de mon homme je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais me tenir au mur pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.
    Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l'arrière-train, mais je voulais qu'il continue indéfiniment, les coups de reins de Pierre étaient si violents qu'à chaque fois qu'il se fichait au creux de mes reins, mes pieds décollaient du sol, s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue, j'étais dans un brouillard où seule comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
    Soudain se plaquant contre mon fessier Pierre éjacula en râlant, ses épais jets de semence crémeuse m'inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d'une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé, la tête rejetée en arrière je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m'écroulais contre le mur où je me couchais en chien de fusil essayant de retrouver ma respiration.
    Quand je rouvris les yeux, Pierre me regardait en souriant assis sur un des tabourets du bar, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait enfin apaisé et gluant sur sa cuisse droite, levant la tête vers mon homme je lui dis "Qu'est ce que tu m'as mis, jamais je n'ai ressenti un tel plaisir, j'ai cru devenir fou.
    - J'en suis heureux, car si on ne ressent pas de plaisir en faisant l'amour autant ne pas le faire.
    - Tu as raison mais là c'était divin, tu m'as déjà fait bien jouir mais ça n'avait rien à voir avec tout à l'heure.
    - Je te l'avais promis.
    - On peut dire que tu as été au delà de toutes mes espérances.
    - Tu sais, ça faisait une semaine que je ne pensais qu'à ton petit cul, j'en rêvais même la nuit donc je me suis promis de te faire monter au septième ciel.
    - Crois-moi, tu as réussi, je me demande même si je suis redescendu, j'ai l'impression que tu es encore en moi, tu es vraiment un baiseur fantastique.
    - Merci ma chatte.
    - De rien chéri, c'est la vérité.
    - Veux-tu boire quelque chose ma biche ?
    - Un petit whisky s'il te plaît mon amour.
    - Ça arrive".
    Quelques instants après il m'amena mon verre et nous bûmes en silence en fumant une cigarette puis mon amant me dit "Allons prendre une douche avant de nous mettre au lit.
    - Oui, c'est une excellente idée".
    Nous passâmes dans la salle de bains, après avoir pendant de longues minutes livrés nos corps à un jet d'eau chaude, nous nous savonnâmes abondamment pour éliminer les toxines de nos ébats, je décalottai bien le gland de Pierre en tirant sur le prépuce pour lui rendre une propreté tout suédoise, le membre se tendit aussitôt pour reprendre sa taille phénoménale mais mon mec me fit tourner et entreprit à son tour de me nettoyer le fessier.
    Quand il arrêta, j'étais de nouveau dans un état d'excitation extrême mais Pierre actionna un robinet qui propulsa sur nous une pluie d'eau fraîche qui me calma instantanément.
    Quand nous sortîmes de sous la douche, j'étais bien reposé, je ne ressentais plus du tout la fatigue causée par la dépense d'énergie ayant eu lieu quelque temps plus tôt, nous nous séchâmes et je vis que le pénis de mon homme, si il n'était plus aussi tendu que tout à l'heure, n'était pas flaccide, je me baissai et déposai un baiser sur son bout durci puis j'allai dans l'armoire prendre une nuisette dont je me vêtis et partis me coucher.
    Pierre me rejoignit quelques instants après et s'allongea à mes côtés, il éteignit la lampe de chevet et se tourna vers moi pour m'embrasser, quand ses lèvres se posèrent sur les miennes j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
    Quand mon amant abandonna mes lèvres, j'avais le souffle court et une étrange langueur prenait naissance dans le creux de mes reins embrasant tout mon corps, je sentais contre ma hanche palpiter le phallus érigé de mon homme, je le caressai quelques minutes puis ouvrant largement les cuisses je dis à Pierre "Viens, prends-moi".
    Il ralluma la lumière, prit des coussins qu'il glissa sous mes reins de sorte à relever mon postérieur puis s'agenouilla entre mes jambes.
    Il humecta son gland de salive et du bout de son membre turgescent se mit à me caresser la raie, s'arrêtant de temps à autre contre ma corolle affamée, tandis que de l'autre main il excitait mes tétons à travers l'étoffe de mon vêtement de nuit. Je ne sais combien de temps dura ces attouchements mais je me mis à râler, ma peau était si sensible que le moindre contact me faisait frémir, j'avais pris mes cuisses sous les genoux et le relevai écartant mes fesses pour offrir plus encore mon oeillet à ces caresses, j'avais fermé les yeux et savourais le plaisir qui montait en moi par vagues successives.
    Trouvant à mon attitude que les prémices avaient assez duré, Pierre positionna son priape contre mon anus et se mit à peser dessus, La bite lubrifiée par la salive et la transpiration émanant de mon corps entra dans mon cul comme dans du beurre, l'intromission fut très longue et quand je sentis les bourses pleines de sève de mon mec contre ma croups, je sus qu'il m'avait enfessé totalement, je nouai mes jambes dans son dos et mes mains courraient amoureusement sur ses flancs.
    Je sentais dans mon fondement palpiter l'énorme pine, prenant appui sur ses avant-bras mon amant commença à aller et venir en moi lentement m'arrachant à chaque va et viens de lourds râles de bonheur, la fabuleuse verge coulissait sans aucune gène dans mon fourreau entièrement dilaté me portant au summum du plaisir, je planais littéralement sous les coups de boutoir que m'assenaient mon homme, mes râles s'étaient mués en cris de bonheur et je roulai des hanches en cadence tendant mon derrière vers cette magnifique queue qui me forait les reins, Pierre avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me pilonnait le cul de toute la longueur de sa hampe tuméfiée.
    Chaque fois que son pieu de chair plongeait au tréfonds de mon intimité je me sentais perdre pied un peu plus, je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, je ne vivais plus sue pour et par cette merveilleuse pine qui me bourrait si bien, mon homme me tringlait maintenant à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes fesses bouillantes à me faire mal, j'avais le trou complètement éclaté et je bramais sous les assauts répétés qui me faisaient décoller sur la couche chaque fois que le monstrueux vit se plantait au fond de mon sphincter démoli, je ne savais plus depuis combien de temps cette biroute roide me limait mais je voulais que ça dure indéfiniment tant le plaisir que me procurait ce sexe était grand, j'avais l'impression que de la lave coulait de mon canal dévasté, mon mec me possédait avec des "HAN" de bûcheron m'amenant au paroxysme de la jouissance, j'avais atteint la plénitude rectale et je hurlai sans discontinuer, mon amant avait pris mes jambes et les avait relevé jusqu'à ce que mes genoux touchent presque mon visage de manière à faire ressortir plus encore mon anneau pour accentuer l'angle de pénétration et me besognait avec une violence inouïe, s'il continuait comme ça il allait me déchirer le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il le fasse, ma tête ballottait de droite à gauche la bouche grande ouverte.
    Sans que nos corps ne se séparent, Pierre me fit tourner sur sa hampe et se leva de telle sorte que je me retrouvai sur les mains, les cuisses autour de la taille de mon mec, celui-ci bien planté sur ses jambes commença à me ramoner le prose violemment, chaque fois que sa grosse pine se fichait au plus profond de mes entrailles je mordais les draps pour ne pas hurler, j'avais atteint le point de non-retour et sous les assauts répétés, le plaisir embrasa mon être et je me mis à délirer.
    C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de ma grotte et me plaquant contre lui que Pierre éjacula en râlant, ses épais flots de foutre crémeux giclèrent le long de mes parois surchauffées me provoquant un spasme foudroyant, l'air me manqua, mes mains se dérobèrent et je tombai lourdement sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me chevauchait, mon corps se tendit comme un arc et un puissant hurlement pulsa de ma gorge, je griffai les draps puis sombrai dans l'inconscience.
    Quand je revins à moi, mon mec était toujours planter entre mes fesses, il se retira et me dit "Ça t'a plu ?
    - Ce fut merveilleux, tu m'as baisé comme un dieu.
    - Merci chérie, mais il faut dire que tu as un cul de rêve.
    - C'est possible, mais se faire enculer par un morceau de choix comme ta bite comme la tienne mérite qu'on y mette du sien mon amour.
    - Oui, je pense que je ne baise pas mal.
    - Pas mal ! Mais tu plaisante, jamais on ne m'a baisé comme toi, et pourtant je sais de quoi je parle, tu es le meilleur.
    - Si tu le dis, je veux bien te croire, mais disons que toi non plus tu n'es pas mal comme baiseuse, je dirais même que tu es extra.
    - Merci mon chou.
    - Bien maintenant je crois que nous devrions dormir.
    - Oui, je t'avoue que je suis vanné.
    - Bonne nuit ma biche.
    - Bonne nuit chéri".
    Pierre éteignit la lampe et nous nous endormîmes enlacés

    Damien 66 – Pierre (3)


    Je fus réveillé par une odeur de café frais qui flottait dans la maison, je me levai et allai devant la glace de l'armoire examiner mon anus, il était encore très gonflé et un peu ouvert, ce qui n'était pas étonnant vu ce que Pierre m'avait mis cette nuit, je passai dans la salle de bains et prit une bonne douche.
    Quand j'arrivai dans la cuisine, vêtu d'un déshabillé blanc, Pierre était en train de faire griller des toast, il me sourit et me dit "Ah tu es levé, je m'apprêtai à venir te réveiller.
    - C'est l'odeur du café qui m'a réveillé.
    - As-tu bien dormi ma puce ?
    - Oui chéri, très bien et toi ?
    - Très bien aussi".
    Je m'approchai de lui et lui offris mes lèvres, nous nous embrassâmes tendrement puis nous nous assîmes à table pour prendre notre petit déjeuner, pendant que nous mangions nous parlâmes de choses et d'autres, puis mon amant me demanda "Que veux-tu faire aujourd'hui ?
    - J'aimerai bien faire une balade en forêt.
    - Pourquoi pas, il fait beau, as-tu une forêt préférée ?
    - Non pas vraiment, il faut dire que je ne connais pas énormément la région.
    - Alors si tu le veux, je servirais de guide, je connais un endroit très sympa, c'est pas très loin d'ici, c'est dans l'EURE, à Lyons la Forêt, il y a une belle forêt et de très bons restaurants.
    - Super, je crois qu'on va passer une bonne journée.
    - Bien je te donne une heure pour te préparer, ça ira ?
    - Sans problème".
    Je retournai dans la chambre et ouvrit l'armoire, je choisis un sweet blanc, un jean ainsi qu'un soutien-gorge et un slip de dentelle noire, puis prenant la paire de faux seins et le perruque blonde je partis me maquiller et m'habiller.
    Quand je sortis Pierre était déjà vêtu, il me regarda de la tête aux pieds et me dit "Tu es très belle ma biche".
    Je lui souris et quand je passai devant lui, il me caressa les fesses d'une main légère, nous sortîmes et montâmes dans la voiture.
    La région que nous visitâmes était très jolie, les forêts étaient bien entretenues et les petits villages étaient mignons, à midi nous mangeâmes dans un château où la cuisine était très fine et le service comme au siècle dernier, l'après-midi nous partîmes voir des ruines magnifiques et vers six heures nous repartîmes.
    Le grand air m'avait un peu saoulé mais de cette journée j'avais appris deux choses, sur beaucoup de points Pierre et moi avions les mêmes goûts et ce bol d'air me faisait le plus grand bien, pour la première fois depuis des mois l'idée de laisser tomber la vie que je menais me vint à l'esprit.
    Une fois revenus à PONTOISE, nous nous reposâmes puis vers huit et demi nous partîmes dans un restaurant que nous avions repéré et où nous avions réservé au retour de notre sortie, c'était un restaurant chic et pour la circonstance je m'étais vêtu avec classe, j'avais mis un fourreau blanc fendu jusqu'à mi cuisse, des escarpins vernis, et je m'étais fardé avec soin, mon entrée fit sensation, beaucoup d'hommes se retournèrent sur mon passage et quand je m'assis, je vis non sans plaisir que les femmes me lançaient des regards meurtriers, Pierre s'en était aperçu aussi, il me dit "Tu vois que tu es la plus belle.
    - Ce qui me fait surtout rire, c'est qu’à part toi, personne ne sait que je ne suis pas une femme.
    - Oui c'est vrai, mais il faut dire qu'il y a de quoi se tromper, sans compter le lit.
    - Cochon, tu ne pense qu'à ça.
    - Parce que toi non ?
    - Non, je ne pense qu'à ça quand je suis au lit, mais sinon j'ai heureusement d'autres pôles d'intérêts.
    - Et si jamais tu voyais un homme qui te fasse flasher ?
    - Mais il y en a déjà un et il est en face de moi, pourtant je ne pense pas à autre chose que de faire un bon dîner.
    - C'est gentil ce que tu viens de dire.
    - Non c'est le vérité, je t'aime c'est tout et pas simplement parce que tu baises comme un dieu, je t'aime pour toi, pas simplement pour ta queue.
    - Vulgaire, dans le monde on ne dit pas queue mais pénis.
    - Et en finalité qu'est-ce que ça change ?
    - Rien si ce n'est que dans le monde c'est souvent moins dur que chez les autres.
    - Tu peux dire que je suis vulgaire.
    - Ce n'est pas de la vulgarité, c'est la réalité, celui qui parle cul avec dédain est très souvent pas très fringuant de ce côté là.
    - Si tu le dis, en fin si nous parlions d'autre chose
    - Pourquoi, ça te fait des choses ?
    - Non quand même, il m'en faut plus que ça pour m'exciter.
    - Heureusement, sinon je croirai que tu es une nymphomane.
    - Non j'adore faire l'amour, mais ça ne me monte pas à la tête.
    - Au fait que veux-tu prendre comme apéritif, car j'ai l'impression que le maître d'hôtel s'impatiente".
    Le souper fut exquis, un service hors pair et une cuisine hautement raffinée, nous sortîmes du restaurant à minuit et demie, avant de monter dans la voiture nous vîmes une affiche disant que le lendemain se disputait un motocross dans la forêt adjacente, je demandai à Pierre si nous pourrions y aller, il me dit qu'il aimait ça et qu'il n'y avait aucun problème, content je montai dans l'auto et nous rentrâmes lentement jusqu'à la maison.
    Une fois arrivé, j'allais dans la salle de bains et me déshabillais puis partis me mettre au lit, mon amant ne fut pas long à me rejoindre, quand il entra dans la pièce je vis que son phallus était à demi érigé, quand mon homme arriva au bord du lit, je me mis à genoux et prenant son sexe dans les mains, du bout de ma langue, je me mis à lécher son gland vermillon, il fallut peu de temps pour que le membre s'érige et retrouve ses phénoménales dimensions, délaissant la hampe qui pointait vers le plafond, je glissai dessous et suçai les bourses gorgées de liqueur, cette caresse eut pour effet de faire grandir et grossir la verge turgescente, alors Pierre me prenant la tête ramena ma bouche à l'endroit où il voulait c'est à dire sa bite, je l'embouchais et enroulant ma langue autour de la colonne de chair tout en la mordillant j'entrepris une lente fellation.
    Ma tête remontait et redescendait lentement le long de l'énorme pine, à force d'avoir la bouche grande ouverte j'avais mal aux mâchoires, alors me dégageant je pris le pénis à deux mains et me mis à le lécher comme s'il s'agissait d'un esquimau, l'attouchement eu l'air de plaire à mon homme qui poussa un soupir langoureux.
    Au bout d'une demi-heure de ce traitement, la respiration de mon mec s'était accélérée, il posa ses mains sur ma nuque et bloquant mon visage déflora ma bouche de son gros priape et se mit à aller et venir se servant de ma bouche comme de mon cul, je pensais qu'il voulait éjaculer comme ça, mais au bout de plusieurs va et viens, il retira sa biroute elle était brillante de salive, Pierre me prit dans ses bras et me roula une pelle magistrale puis me prenant dans ses bras il m'emmena au sous-sol de sa maison.
    Le sous-sol avait été aménagé comme une immense salle de bains dont les murs étaient tous habillés de glaces.
    Au milieu de la pièce trônait un bassin où il fallait descendre trois marches pour entrer, le bassin était plein d'une eau claire et tourbillonnante, mon homme me tenant toujours dans ses bras puissants descendit au fond de cette petite piscine et me déposa au bord, ce n'était pas profond, en étant à genoux mes bras reposaient sur le bord, Pierre se mit derrière moi et je sentis son volumineux bout durci se positionner contre mon antre affamée, à ce contact je tendis ma croupe vers le vit qui cherchait à entrer en moi, posant ses mains sur mes épaules, mon homme se mit à peser sur ma corolle, le sexe bien lubrifié commença à pénétrer mon anus encore légèrement ouvert par la nuit précédente, l'eau qui butait contre mes fesses brûlantes me causait une agréable sensation inconnue, pendant ce temps là Pierre continuait à me pénétrer lentement, l'intromission fut interminable, mais quand je sentis les poils follets du pubis de mon amant contre mon fessier je sus qu'il m'avait enfilé complètement, je n'avais absolument rien senti, pas la moindre petite douleur.
    Je sentais au fond de mes entrailles le monstrueux phallus palpiter, Pierre restait immobile me laissant m'habituer à la formidable présence qui m'obstruait le fondement, sous les ondes de chaleur qui naissaient dans le creux de mes reins et qui explosaient dans tout mon être, mon sphincter se décontracta et céda complètement, je dis à mon mec "Vas-y défonce-moi".
    Pierre se mit à me posséder lentement m'arrachant à chaque passage de lourds gémissements, entre le ventre musclé de mon homme et ma croupe bouillante l'eau du bassin formait un matelas protecteur fluctuant qui me donnait l'impression de se gonfler et se dégonfler au gré des mouvements de mon homme.
    Pendant ce temps, ayant posé ses mains sur mes hanches, Pierre me besognait de toute la longueur de son énorme phallus, le sortant presque entièrement de moi pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante, mon cul totalement ouvert laissait coulisser sans gène aucune la pine roide qui me forait les reins, mes gémissements s'étaient mués en râles de bonheur et je tendais mon arrière-train vers ce membre qui commençait à me faire basculer dans le plaisir sous les coups de boutoir répétés que mon amant m'assenait.
    Je planais littéralement, en dehors de mes râles le seul bruit qu'on entendait dans la pièce était le clapotis de l'eau chaque fois que mon homme m'empalait, dans toutes les glaces se reflétait notre image, je me voyais la bouche tordue par le désir hoqueter chaque que Pierre s'enfonçait au fond de mon cul en fusion, cette vision avait pour effet d'accentuer mon désir, je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me pilonnait le derrière mais je voulais qu'il continue tant le plaisir que je ressentais était grand, j'avais perdu notion de la réalité, pour moi seul comptait cette magnifique verge qui me ramonait le prose, le corps tétanisé j'étais tout à mon bonheur, je ne vivais plus que pour et par la hampe turgescente qui m'ouvrait un peu plus le sphincter chaque fois qu'elle plongeait au tréfonds de mon être, j'avais l'impression que de la lave coulait de mon anus dévasté, le cul complètement éclaté je bramais sous les va et viens de plus en plus rapides que m'assenait mon doux tourmenteur, une boule de feu avait pris naissance dans le creux de mes reins et éclatait par multitude vers mon visage, Pierre me possédait maintenant avec des "HAN" de bûcheron, ses violents coups de reins me faisait décoller du sol à chaque assaut, le fade que je prenais était sublime, j'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais l'extraordinaire plaisir qui me submergeait tel un raz de marée, mon amant m'avais pris aux cuisses me défonçait avec une violence inouïe en de larges coups de reins, s'il continuait comme ça, il allait me déchirer le cul mais je voulais qu'il continue car le traitement qu'il me faisait subir était géant, sous les coups de boutoir répétés, je me mis à hurler sans discontinuer.
    Sans que nos corps se désunissent, Pierre se leva, ce qui eut pour effet que je me retrouve au dessus de l'eau reposant sur les mains, mon amant se mit à marcher pour sortir du bassin, tout en me tenant aux cuisses, cette brouette improvisée me fit monter d'un cran dans le plaisir, mon mec ne bougeait plus mais le balancement de ses pas derrière moi faisait entrer et sortir légèrement le priape de mon fondement, il m'amena comme ça jusque devant une table de massage, là il se retira de moi et me fit monter sur la table, reposant sur la pointe des pieds, les mains de l'autre côté pour m'accrocher à la poignée de la table, j'avais le cul tendu, mon homme se posta derrière moi et m'enfila d'un violent coup de reins qui me fit râler puis se mit à me tringler violemment de toute la longueur de sa bite roide, ce brusque assaut fit monter de plusieurs degrés le désir qui me ravageait et je me remis à hurler, Pierre se ruait maintenant dans mon cul à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes fesses humides et brûlantes à me faire mal, je me sentis perdre complètement pied, je voulais que la pine roide qui me forait me casse entièrement le cul, que mon homme puisse entrer entier dans ma grotte enfiévrée et je me mis à délirer.
    Mais sourd à mes supplications, Pierre continuai à me posséder avec une régularité de métronome, je sentis une boule monter vers ma gorge, l'air me manqua et un sublime orgasme me balaya, j'ouvris la bouche et un hurlement strident pulsa de ma gorge "aaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh", mon corps se tendit comme un arc, je griffai les draps et tendis mon cul vers cette merveilleuse pine roide qui me donnai autant de plaisir me ramonant le rectum et je perdis connaissance.
    Quand je revins à moi, Pierre me besognai toujours en de larges coups de bite, des gouttes de sueur perlaient de son front, le plaisir qu'il prenait devait être grand vu les grimaces qu'il faisait pour ne pas exploser.
    Peu à peu, sous les assauts répétés de cette hampe virile, le désir remonta en moi, mon amant se baissa et me prenant à la taille me ramena vers son torse, il me décula et me mettant face à lui me prit dans ses bras.
    Il se leva et je nouai mes bras autour de son cou ainsi que mes jambes autour de sa taille.
    S'appuyant contre le mur, mon homme se mit à me pilonner l'anus à grands coups de reins tout en me faisant monter et descendre sur son phallus gorgé de sang.
    J'avais le trou complètement éclaté, j'avais l'impression que s'il continuait à me tringler de la sorte, il allait me déchirer le cul mais que c'était bon, dans les bras de mon mec, j'étais tel un pantin désarticulé, jamais je n'avais subi une telle enculade, mes ongles plantés dans ses épaules musclées, je hurlai mon plaisir sans discontinuer "aaaaaahhhhh ahhhhhhh aaaaaaahhh aaaaaahhh ahhhhhhhhhh aaaaaahhhhhhhhh".
    Pierre allai me reposer au bord de la table et me ramena les jambes vers la tête, de la sorte à faire ressortir plus encore mon sphincter de manière à avoir un angle de pénétration encore plus grand, là il se mit à me défoncer à une vitesse folle.
    Mon intimité s'était encore agrandie, je voyais entre mes jambes le priape sortir et se planter au plus profond de mes entrailles, le ventre musclé de Pierre claquait contre mon arrière-train en fusion à me faire mal, sous ses coups de boutoirs violents, je me tordais comme un damné sous mon amant la tête ballottant de droite à gauche, en cet instant seul comptait pour moi cette bite roide qui me démolissait la corolle, j'avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer.
    Pierre s'enfonçant au fond de mon cul éjacula en feulant, une formidable giclée de foutre crémeux m'inonda le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur, je hurlai de jouissance et sombrai dans l'univers cotonneux du plaisir, je sentis le pénis encore dur de Pierre quitter mon antre et je restai allongé sur la table les yeux clos, cuisses écartées, écoutant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
    Quand je rouvris les yeux, Pierre était dans le bassin, son phallus était toujours dressé, je lui dis "Mais c'est incroyable, tu as joui et tu es encore dur !
    - Eh oui, tu vois ce qu'est ton homme.
    - Oui, mais il va falloir le faire redescendre ce zob.
    - J'ai ma petite idée, viens me rejoindre dans l'eau, après nous irons au lit, et là ma petite reine, tu vas me faire la pipe de ta vie.
    - Avec plaisir".
    Le contact de l'eau sur mon corps couvert de sueur me fit un bien énorme, après nous être rincés, nous nous essuyâmes et prîmes le chemin de la chambre, arrivé dans la pièce Pierre s'allongea sur le dos au milieu du lit et écarta les jambes, son pénis tendu touchait son ventre, je m'étendis en travers du corps de mon mec et entamai une lente fellation.
    Une demi-heure après, Pierre m'abreuva longuement de son épaisse semence que je bus avec délice, puis nous nous couchâmes et nous nous endormîmes enlacés.
    Quand je me réveillai, Pierre était déjà debout, je me levai et le trouvai en slip dans la cuisine, nous nous embrassâmes et après avoir déjeuner, je partis dans la salle de bains pour me laver, je me vêtis d'un tee-shirt et d'une minijupe et me chaussai de chaussures plates et sortis, mon amant me complimenta sur ma tenue puis nous prîmes la voiture et partîmes pour le moto cross.
    A midi nous nous arrêtâmes dans une auberge pour manger, pendant le repas, qui soit dit en passant était très bon, Pierre me dit "Ça va, ça se passe comme tu veux ?
    - Oui chou, je m'amuse bien.
    - J'en suis content ma poupée.
    - Ce qui est super, c'est que tu sois près de moi.
    - Merci, tu es très gentille.
    - Non, c'est la vérité, je me sens bien avec toi mon amour, j'ai l'impression d'être aimé pour moi, au lieu d'être qu'un corps juste bon à se faire baiser et à sucer. Avec toi je sens que j'existe, que je ne suis pas une marchandise.
    - Tu sais moi aussi je suis bien avec toi, et je ne te considère absolument pas comme une marchandise, pour moi tu es ma petite femme c'est tout, d'ailleurs tu connais mon vœux le plus cher.
    - Oui chéri, mais c'est encore un peu tôt, je veux encore attendre avant de prendre une décision, c'est vrai que quand je suis avec toi comme en ce moment, je me dis que ce serait bien de vivre avec toi mais en même temps je me dis que cela veut dire devenir complètement dépendant de toi et ça je n'arrive pas encore à le concevoir, laisse-moi encore quelque temps mon amour, mais je t'assure tu auras ma réponse.
    - Je serai patient ma chatte, j'attendrai.
    - Merci chou, mais en attendant profitons de ce bon déjeuner et savourons le plaisir d'être ensemble".
    Pierre m'embrassa tendrement et nous continuâmes notre repas.
    L'après-midi se passa merveilleusement et vers sept heures, nous rentrâmes à la maison, nous ressortîmes pour aller dîner dans un petit restaurant près de chez Pierre où on nous servit un délicieux pot au feu, vers neuf heures trente nous étions de retour, assis dans le salon devant un digestif nous commençâmes à discuter, Pierre me dit "Est-ce vrai ce que tu m'as dis cet après-midi ?
    - A quel sujet ?
    - De nous deux.
    - Oui c'est vrai, avec toi je me sens quelqu'un, pas simplement un cul et une bouche. Depuis que je suis avec toi, j'ai réappris la douceur, le bonheur de se donner sans
    aucune retenue, la jouissance est très importante et avec toi je peux te dire que je suis servi mais ce n’est pas tout, il y a les sentiments et maintenant je sais ce que c'estd'aimer et d'être aimé.
    - Alors pourquoi refuses-tu ma proposition ?
    - Je te l'ai dit tout à l'heure, à cause de la dépendance.
    - Mais que crains-tu ?
    - On ne sait jamais, aujourd'hui tu m'aimes, peut-être demain en aimeras-tu un autre et que deviendrais-je ?
    - D'accord ce que tu dis est possible mais peu probable, car je n'ai jamais trouvé une personne avec qui je m'entend aussi bien que ce soit dans la vie de tous les jours ainsi qu'au lit.
    - Je sais mais admets que le risque existe.
    - Oui bien sur.
    - C'est pourquoi je te demande un peu de temps, apprenons plus encore à nous connaître.
    - Comme je te l'ai dit, je serai patient.
    - Merci, tu sais j'ai besoin de toi, je t'aime.
    - Moi aussi je t'aime.
    - Crois-moi, bientôt je te donnerai ma réponse et je pense qu'elle sera positive.
    - J’attendrai.
    - Bien, maintenant si nous allions nous coucher car demain il faut aller au boulot".
    Nous allâmes dans la chambre et nous nous couchâmes, nous avions décidé d'être sage cette nuit car, vu les dimensions de la verge de mon amant, si nous avions fait l'amour je n'aurais pu aller travailler le lendemain, je fis donc une longue et douce fellation à mon mec qui au bout de trois quart d'heure d'attouchements buccaux éjacula, son épaisse semence abondante m'inonda la gorge et je la dégustais avec un plaisir évident puis nous nous endormîmes profondément.
    Le lendemain matin Pierre m'accompagna jusqu'à la DEFENSE, nous nous dîmes au revoir et prîmes rendez-vous pour le mercredi suivant.

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