• Récit39

    Récit39

    Récit érotique écrit par Katy.
    Auteur transexuel      lineenchasseyahoofr

    Damien 62 - Claude


    Je suis resté près d’un mois sans baiser, je voulais laisser le temps à mon cul de se reconstituer, mon anneau était de nouveau ferme et il commençait à me démanger, bref je commençais à être en manque.
    Ce vendredi soir, je suis allé prendre un verre dans un café de ma rue.
    J'étais en train de boire quand un ami est entré, il s’appelait Claude et possédait un vidéo club près de chez moi.
    M'ayant vu au comptoir il est venu près de moi, après m'avoir fait la bise il me demanda "Ca va Damien ?
    - Très bien et toi ?
    - Ca va.
    - Tu prends quelque chose ?
    - Oui une bière".
    Tout en parlant de choses et d'autres nous avons bu nos verres, Claude regarda sa montre et me dit "Bon dans une demi-
    heure c'est l'heure d'ouvrir la boutique.
    - Et oui il faut travailler.
    - Oui mais si tu veux, passe au bureau j'ai une bouteille, on
    pourra boire quelques verres tranquille.
    - D'accord.
    - Bon à tout à l'heure".
    Claude s'est levé et est parti, en le regardant je me suis dit que ça devait être mon jour de chance, si Claude, dont je connaissais les penchants était partant pour une partie de jambes en l’air, je n’allais pas laisser passer l’occasion de me faire un plan cul.
    Après avoir commandé une autre bière je me suis mis à réfléchir à la meilleure façon de parvenir à mes fins.
    Dix minutes après j'ai réglé mes consommations et je suis parti en direction du vidéo club sans avoir trouvé la manière de faire comprendre à cet homme que je voulais coucher avec lui.
    Tout en marchant mon cerveau travaillait, je savais que Claude couchait aussi bien avec des femmes que des hommes mais quel prétexte trouver pour l'amener là où je voulais.
    Je suis arrivé au vidéo club sans avoir de solution, à peine ai-je frappé à la porte que Claude m'a ouvert en disant "Entre
    Damien, j'étais justement en train de me servir un whisky.
    - J'en prendrais bien un aussi".
    Je me suis assis dans un fauteuil et vu qu'il n'y avait pas encore de clients nous avons commencé à discuter.
    Claude me dit "C'est mort ce soir.
    - C'est vrai qu'il n'y a pas l'air d'avoir grand monde.
    - Tu sais il y a un match de foot à la télé et dans ce cas
    les gens ne viennent pas louer des films.
    - C'est vrai.
    - Enfin si dans une demi-heure il n'y a encore personne je
    ferme.
    - Je crois que tu as raison.
    - Allez pendant ce temps buvons ce verre.
    - Oui".
    La demi-heure passée et toujours pas le moindre client.
    Pendant ce temps je n'étais toujours pas parvenu à trouver un moyen.
    J'avais peur que Claude s'en aille et ça je ne le voulais pas car il faut dire que je commençais à avoir drôlement envie de baiser avec lui.
    Rien que d'y penser je sentais mon petit trou palpiter et une douce chaleur embraser mes reins.
    Claude a rempli les verres de nouveau et s'est assis tout en se grattant l'entrejambe, j'aurais tellement voulu que ce soit ma main qui soit à la place de la sienne.
    Claude me dit "Bon je vais partir.
    - Veux-tu venir prendre un verre à la maison ?
    - Non je vais rentrer directement chez moi.
    - Bon.
    - Tu es fâché ?
    - Mais non….
    - Alors pourquoi fais-tu la tête.
    - Je ne fais pas la tête.
    - Ecoute Damien je te connais bien et je vois bien que tu
    fais la tête.
    - Mais non
    - Bon d'accord je n'ai rien dit.
    - Bon et bien je ne vais pas te déranger plus longtemps.
    - Mais tu ne me déranges pas et puis finis ton verre.
    - Bien sur.
    - Tu sais quand j'ai dit que j'allais rentrer ça ne veut pas
    dire dans la minute qui suit, on peut prendre encore un
    verre.
    - Oui….
    - Mais qu'est-ce que tu as ?
    - Rien je t'ai dit.
    - Allons je vois bien que quelque chose ne va pas.
    - Mais non.
    - Ah ! Je comprends tu croyais pouvoir passer la soirée ici.
    - C'est ça.
    - Moi aussi j'aurais bien aimé mais comme tu vois pas de
    client alors je rentre.
    - Eh oui.
    - Comme je t'ai dit on peut encore prendre un verre ou deux.
    - Je sais….
    - Bon écoute on va boire encore deux verres et après salut
    salut, on ne va quand même passer la soirée dans ce bureau.
    - Tu as raison.
    - Bon sers-nous à boire je vais aller pisser.
    - D'accord".
    Dès que Claude est sorti je me suis dit qu'il fallait à tout prix que je trente quelque chose.
    Je ne pouvais pas le laisser partir avant qu'il m'ait bien baisé mais je n'étais pas capable de lui dire ouvertement.
    Mon ami est revenu quelques minutes près en râlant, je lui ai demandé "Qu'est ce qui t'arrive ?
    - Rien de grave mais cette putain braguette s'est coincée et
    je n'arrive plus à la remonter et comme je ne mets jamais
    de slip.
    - AH AH AH !! Tant pis pour toi il va falloir que tu te
    promènes le zizi à l'air.
    - C'est malin de dire ça.
    - Excuse-moi je ne voulais pas te vexer.
    - Je ne suis pas vexé mais je suis dans la merde car je ne
    peux même pas baisser mon pantalon et je n'ai pas envie de
    le déchirer et à la maison je ne peux quand même demander à
    ma fille d'essayer de décoincer cette fermeture éclair".
    Je me suis dit que c'était là l'occasion que je cherchais et j'ai dit à Claude "Veux-tu que j'essaye de décoincer ce truc.
    - Je n'osais pas te le demander.
    - Mais pourquoi.
    - Ecoute c'est difficile étant donné l'endroit.
    - Tu as peur que je touche ta bite.
    - Je n'ai pas peur, c'est peut-être toi qui auras peur.
    - Et pourquoi ?
    - Parce qu'elle est grosse.
    - AH, AH, AH !!
    - Ah tu ris, et bien vas-y débloque ça et après je vais te
    montrer.
    - Et pourquoi pas.
    - Ah parce que tu veux me voir.
    - Oui.
    - Fais attention.
    - A quoi ?
    - On ne sait jamais.
    - Mais quoi ?
    - Rien c'est des conneries.
    - J'ai compris tu n'as que de la gueule.
    - Comment ?
    - Et oui tu parles et c'est tout.
    - D'accord ouvre ce machin et après on verra".
    Claude s'est levé, je me suis approché et j'ai commencé à essayer de descendre la fermeture, celle-ci était prise dans le tissu.
    Pour parvenir à faire bouger j'ai été obligé de mettre un main à l'intérieur, mes doigts ont de suite rencontré quelque chose de doux, c'était le sexe de Claude.
    Mon ami m'a dit "Attention il peut te mordre.
    - Ne t'en fais pas je sais me défendre avec ça".
    Au bout de quelques instants j'ai enfin réussi à réparer le problème mais maintenant c'est moi qui avais un problème.
    A force d'effleurer le pénis de Claude, celui-ci s'était dressé et me semblait de taille conséquente.
    Avant j'étais déjà très excité mais à présent je savais qu'il fallait que j'aille jusqu'au bout c'est à dire jusqu'à prendre cette bite dans la bouche et dans le cul.
    Je me suis redressé et j'ai dit à Claude "Voilà ça y est,
    c'est fait.
    - Merci et maintenant tu vas voir si je n'ai que de la
    gueule.
    - Que veux-tu dire ?
    - Tout à l'heure tu t'es moqué de moi en disant que je ne
    savais que parler et c'est tout alors je vais te montrer si
    c'est vrai.
    - Mais..
    - Alors maintenant tu as peur. Hein ?
    - Mais pas du tout.
    - Alors pourquoi me regardes-tu comme ça ?
    - Pour rien.
    - Alors puisque c'est rien regarde la bite que j'ai".
    Claude a laissé tomber son pantalon sur ses chevilles, il arborait un magnifique sexe érigé qui, sans faire les gigantesques dimensions de celle de Désiré, était quand même très gros et long.
    Le pénis circoncis était terminé par un large gland vermillon au bout duquel perlait une larme de foutre translucide.
    Sous ce magnifique membre pendaient deux grosses boules duveteuses gorgées de sève.
    Cette vision m'avait donné chaud, je sentais en moi naître un doux émoi.
    Claude m'a dit "Alors elle est belle ma bite.
    - Oui très belle.
    - Tu as vu elle est bien grosse et longue.
    - Oui.
    - Et tu n'as pas peur.
    - De quoi veux-tu que j'ai peur ?
    - Je ne sais pas, tu n'as pas peur que je te saute dessus.
    - Non.
    - Tu dis ça parce que tu sais que je ne le ferais pas.
    - Ce n'est pas ça.
    - Comment !!
    - Rien".
    Pendant cette discussion je ne pouvais pas détacher mon regard du bas-ventre de Claude.
    S'en étant aperçu celui-ci m'a dit "Mais ma parole on dirait
    que ça te plaît de me mater.
    - Oui.
    - Ca alors et moi qui croyait te faire peur.
    - Je ne vois pas pourquoi j'aurais peur de regarder une belle
    bite.
    - D'accord mais tu sais que cette bite elle en a vu des
    trous.
    - Ah bon.
    - Oui elle a vu presque tous les trous de la ville.
    - Presque mais pas tous.
    - Non bien sur je n'ai quand même pas baisé tout le monde.
    - Ca c'est vrai.
    - Pourquoi dis-tu ça ?
    - Pour rien, comme ça.
    - Donc ça te plaît de me regarder.
    - Oui et….
    - Et quoi ?
    - Rien.
    - Mais si dis-moi.
    - Non.
    - Tu voudrais peut-être me toucher ?
    - Peut-être.
    - Aussi me…. Oh non !
    - Te quoi ?
    - J'allais dire une connerie.
    - Dis-la quand même.
    - Me sucer ?
    - Peut-être.
    - AH, AH, AH !! Tu ne réponds pas.
    - Tu ne m'as rien demandé.
    - Mais….
    - Quoi mais ?
    - Euh….
    - C'est tout, je te l'ai dit, tu n'as rien que de la gueule.
    - Et ça c'est rien que de la gueule, ça c'est une bite qui
    baise.
    - Ah oui ?
    - Bien sur et elle baise tout le monde filles et garçons.
    - Ca alors !!
    - Tu te moques de moi.
    - Mais non.
    - Alors c'est vrai que tu aimerais me toucher et me sucer ?
    - C'est tout ?
    - Comment c'est tout !!
    - Ta bite tu ne la fais que toucher et sucer ?
    - Mais non je t'ai dit que je baise tout.
    - Alors pourquoi m'as tu simplement demandé si je voulais te
    toucher et te sucer ?
    - Tu veux peut-être que je te baise ?
    - Peut-être.
    - Tu vois encore tu ne réponds pas.
    - Mais tu ne demandes rien.
    - Salaud tu me racontes des histoires alors voilà je te
    demande. Est-ce que tu veux me toucher, me sucer et….
    - Et quoi ?
    - Euh….
    - Vas-y. et quoi ?
    - Tu veux que je te baise ?
    - Enfin tu as dit la phrase.
    - Alors ?
    - Alors oui je veux te toucher la bite, la caresser, la sucer
    et la prendre dans mon cul.
    - Ce n'est pas vrai !! Tu es une tarlouze ?
    - Eh oui.
    - Ce n'est pas possible !!
    - Pourquoi ?
    - Je ne savais pas.
    - Maintenant tu le sais.
    - C'est vrai que tu veux baiser avec moi.
    - Oui j'en ai très envie.
    - C'est pour ça que tout à l'heure tu faisais la tête ?
    - Oui car je ne savais pas comment faire pour te faire
    comprendre que j'avais envie de ta bite.
    - Bon eh bien finissons notre verre et après tu vas me faire
    une pipe et ensuite je vais te baiser.
    - Super.
    - Je te préviens moi quand je baise, je baise beaucoup et
    longtemps, il ne faudra pas me dire que tu es fatigué car
    je ne lâcherai pas ton cul avant que ma bite soit vide.
    - Ne t'inquiète pas, tous ceux avec qui j'ai baisé m'ont dit
    ça et finalement on a arrêté quand leurs couilles étaient
    vides.
    - Bien alors il ne faut pas perdre de temps".
    Nous avons bu nos whiskies très vite et une fois les verres vides Claude m'a dit "Bon maintenant déshabille-toi à moins
    que tu veuilles baiser ailleurs ?
    - Non ici c'est très bien, je n'ai jamais baisé dans un
    bureau.
    - Alors déshabille-toi que je vois ton cul.
    - Tout de suite.
    - Allez enlève tes habits".
    Tournant le dos à mon amant je me livrai à un strip-tease lascif, quand le seul rempart devant la nudité fut mon slip je le fit glisser lentement le long de mes cuisses tout en ondulant des hanches.
    Quand mon cache sexe arriva en bas de mes chevilles je l'envoyai vers Claude d'un coup de talon.
    Après l'avoir récupéré et l'avoir senti mon homme me dit "Je
    crois que nous allons passer une bonne nuit, tu as un cul
    superbe.
    - Merci mais tu sais toi aussi tu as une très belle bite.
    - Bien et si tu t'occupais un peu de ma bite avec ta bouche.
    - Avec plaisir".
    Claude s'assit dans un fauteuil et écarta les jambes, sa grosse hampe dressée semblait m'implorer de m'occuper d'elle.
    Je me mis à genoux entre les jambes de mon mec et posant une main sur ses testicules je me penchai vers la verge turgescente et du bout de la langue je commençai à exciter le gland tuméfié recueillant la larme de sperme qui suintait du méat.
    Cette douce caresse eut pour effet de faire se tendre plus encore le membre érigé et Claude m'a dit "Ca me fait des
    chatouilles, vas-y suce-moi, prends-moi dans ta bouche".
    Sans tenir compte de ce que mon amant venait de dire, je pris d'une main le phallus à la base et je me mis à le lécher sur toute sa longueur.
    A ce contact mon homme gémit et se cambra pour s'offrir totalement à la gâterie que je pratiquais sur son sexe érigé.
    Je continuai mes tendres attouchements jusqu'à ce que le pénis de mon mec soit luisant de salive, Claude avait rejeté sa tête en arrière et savourait la caresse que je lui prodiguais en râlant de plaisir.
    Quand je stoppai mes mouvements mon homme me demanda dans un souffle "C'est si bon, pourquoi t'arrêtes tu ?
    - Parce que je crois qu'il est temps que je te suces
    vraiment.
    - Oh oui prends-moi dans ta bouche je n'en peux plus, il faut
    que je tire mon coup, j'ai la bite en feu.
    - Un peu de patience je vais bien te sucer et tu vas me
    donner ton sirop.
    - Oui vas-y suce".
    Tout en flattant légèrement les bourses gorgées de sève de mon amant je me penchai sur la verge turgescente et je l'embouchai.
    Je restai quelque temps sans bouger, excitant le bout durci de ma langue puis lentement je me mis à monter et descendre sur la pine raide tout en la câlinant de ma langue et en la mordillant.
    Au bout de quelques instants de ce traitement Claude s'est mis à râler tout en se tortillant sur le fauteuil, son ventre venait à ma rencontre chaque fois que mon visage plongeait sur le pénis en érection.
    Soudain je sentis le priape tressauter sur ma langue, il me sembla que le gland tuméfié doublait de volume et mon homme plaquant ma figure contre son pubis éjacula en feulant.
    Un flot de sperme crémeux gicla contre ma gorge et je l'avalai avec délice tout en cajolant la bite qui continuait à se vider dans ma bouche.
    Quand le calme fut revenu mon mec me relâcha et je me retirai.
    Je levai ma tête vers l'homme que je venais de faire jouir et lui sourit, il me regarda et me dit "Tu suces superbement, ta
    bouche est très douce, je ne crois pas qu'un jour quelqu'un
    m'a sucé comme tu viens de le faire.
    - Merci mais tu sais ta bite est très bonne et ta jute a un
    très bon goût, il est un peu salé.
    - C'est vrai tu as aimé me boire ?
    - Oui beaucoup et j'espère te boire encore souvent.
    - C'est gentil mais….
    - Mais quoi ?
    - Je me demande si….
    - Si quoi ?
    - Si c'est vrai que….
    - Mais enfin que veux-tu dire ?
    - Tu sais ta bouche est très bonne comme je te l'ai dit mais
    est-ce que c'est vrai que comme tu l'as dit tout à l'heure
    tu acceptes aussi que je te baise.
    - AH, AH, AH !! Mais bien sur cochon, tu ne crois quand même
    pas que maintenant que toi tu as joui tu vas pouvoir
    remettre ton pantalon et t'en aller, alors que moi je vais
    rester le cul en feu. Je te signale que c'est vrai que
    j'aime sucer une bite mais moi ça ne me fait pas jouir. Au
    contraire si j'éprouve beaucoup de plaisir à faire une pipe
    ça ne fait que m'exciter encore plus. Tu peux me croire en
    ce moment la seule chose dont j'ai envie c'est que ta queue
    m'éclate bien le cul, je suis comme une chatte en chaleur.
    - Mais tu sais moi aussi j'ai envie de te baiser. Depuis que
    j'ai vu ton cul j'ai envie de le niquer.
    - Il ne suffit pas de le dire il faut le faire.
    - Eh bien je vais le faire, d'ailleurs regarde ma bite bande
    déjà, mais tu sais je ne croyais pas que tu voudrais que
    je t'encule, je croyais que tu voulais simplement me faire
    une pipe.
    - Je vois que ta bite et de nouveau en forme. Mais pourquoi
    pensais-tu que je ne voudrais pas que tu me baises ?
    - Parce que ma bite est grosse et….
    - Et que mon trou du cul est tout petit. AH, AH, AH !! Mais
    qu'est ce que tu crois, mon trou du cul a déjà pris
    d'autres bites. Crois-moi sans vouloir te vexer, même si ta
    bite est belle et c'est vrai qu'elle est belle, mon cul a
    déjà accepté des bites bien plus grosses que la tienne. Et
    je m’en suis envoyé des mecs
    - C'est vrai ?
    - Tu peux me croire, je me suis fait monter par des dizaines
    de mecs tous mieux montés que les autres, des blancs, des
    jaunes, de arabes, des blacks.
    - Ça alors !!
    - Eh oui.
    - D'accord j'ai été bête.
    - Mais non tu ne pouvais pas savoir et c'est gentil de ta
    part d’avoir pensé que peut-être mon cul ne pourrait pas
    accepter ta bite.
    - Oui je me suis dit tant pis je demanderais à Damien de me
    sucer encore une fois car je ne veux pas lui déchirer le
    cul.
    - Alors ne t'inquiète tu ne vas pas me déchirer le cul mais
    ce que tu vas faire, c'est bien le casser. La seule chose
    que je te demande c'est faire doucement au début car il
    faut à mon cul le temps de s'ouvrir.
    - Bien sur mais tu sais que quand même au début….
    - Oui bien sur je sais bien que je vais avoir mal mais si tu
    es doux alors la douleur ne restera pas longtemps et après
    que mon cul sera ouvert, alors là je vais prendre mon pied.
    - Bien sur je vais bien te baiser ma petite poupée tu vas
    voir quand Claude baise jamais celui ou celle qui se fait
    baiser n'est déçu.
    - Je l'espère car mon cul a très envie.
    - Alors viens buvons un verre et après en avant la baise".
    Tout en se caressant la virilité, Claude servit deux whiskies et en me tendant le mien dit "Buvons à ce cul que je vais
    exploser".
    Quand les verres ont été vides, mon homme se leva et s'approcha de moi.
    Il me prit sous les aisselles et me mit debout, il me regarda dans les yeux et me dit "maintenant petite poupée c'est le
    grand moment, tu vas connaître la bite de Claude, elle est
    peut-être moins grosse et longue que d’autre mais c’est une
    sacrée bite. Est-ce que tu es prête ?
    - Je suis prête".
    Mon amant baissa son visage vers le mien, ses lèvres se posèrent délicatement sur les miennes et je fermai les yeux.
    Une langue pointue força mes lèvres, j'ouvris la bouche, nos dents se s'entre choquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé qui me laissa pantelant.
    Pendant que mon mec me butinait la bouche, ses doigts agiles courraient sur mon corps enfiévré et je sentais palpiter contre mon ventre le phallus dressé.
    Quand ses mains baladeuses empaumèrent mes fesses brûlantes je ne pus empêcher un gémissement de pulser de ma gorge.
    Tout en me flattant la croupe Claude me léchait le visage en de petits coups de langue tout en répétant "Oh que tu es bonne
    ma petite poupée, je sais qu'avec toi je vais passer une
    très bonne nuit, je sens tes fesses bien chaudes, elles
    attendent ma bite".
    J'avais rejeté la tête en arrière et tout à mon plaisir je ronronnais sous les caresses que mon amant me prodiguait, mon être était excité à l'extrême et chaque fois que mon mec me touchait de ses caresses expertes je frémissais.
    Mon homme avait glissé un doigt dans la raie de mon cul et le faisait aller et venir s'arrêtant de temps en temps à l'orée de mon œillet affamé pour le titiller.
    Je ne sais combien de temps dura cette douce torture mais quand Claude se détacha de moi j'étais ivre de désir.
    Mon amant me poussa vers son bureau et me fit m'allonger sur le ventre les jambes pendantes le long du meuble.
    Il écarta mes fesses bouillantes et enfouit son visage entre elles.
    Sa langue inquisitrice vint aussitôt effleurer mon anus en feu, échangeant avec lui un baiser lingué, le tendre contact me fit frissonner et je tendis ma croupe vers cette source qui me faisait du bien.
    Longtemps mon homme suçota mon antre en fusion, sous ces exquises attention je ne pus m'empêcher de râler tout en me cambrant au maximum et creusant les reins pour m'offrir plus encore à cette délicieuse sensation.
    J'avais la raie pleine de salive quand mon mec remplaça sa langue par un de ses doigts qu'il m'enfonça lentement dans le tunnel, cette introduction me fit hoqueté et un "ouuiii" voluptueux s'échappa de mes lèvres.
    Avec une patience extrême Claude fit coulisser son doigt entre mes miches offertes.
    Quand il jugea que mon anneau était assez distendu mon amant enfila un deuxième doigt dans mon canal puis un troisième et enfin un quatrième.
    Ce que me faisait subir mon mec était si bon que la bouche grande ouverte je griffais le bois du bureau.
    Longtemps mon homme m'assouplit la rondelle de ses quatre doigts, tout mon corps était en feu, je ne voulais qu'une chose c'est qu'il me baise jusqu'à plus jouir et je me mis alors à le supplier en râlant "Ahhhh je t'en prie ahhhh
    prends-moi, je veux ahhhhhhhh sentir ta bite me casser le
    cul, ahhhhhh j'ai envie c'est trop ahhhhhh baise-moi,
    prends-moi défonce-moi ahhhhh ouuiii viens, monte-moi
    dessus oouuuiiii ahhhhh".
    Jugeant que j'étais à point Claude me retourna, il prit mes jambes, les posa sur ses épaules puis glissa son pénis érigé entre mes lobes charnus.
    Il positionna son gland tuméfié contre ma grotte avide puis commença à peser dessus.
    Quand la tête du priape écarta mes chairs je poussai un petit cri de souffrance et tentai de me dérober.
    Me maintenant solidement aux hanches mon amant continua à s'enfoncer en de petits coups de reins, quand je sentis contre mon fessier brûlant les poils follets de son pubis je sus que Claude était en moi complètement.
    J'avais le sphincter distendu et un peu mal, me regardant dans les yeux mon mec m'a dit "Tu vois ma petite chatte je suis
    rentré entièrement dans ton petit cul. Tu sens ma bite en
    toi ?
    - Ouuiii mais….
    - Je sais tu as un peu mal mais tu sais bien que tout à
    l'heure ton trou va se relâcher et après tu auras du
    plaisir, beaucoup de plaisir. Tu sais ma petite poupée tu
    as essayé de te sauver mais là c'était trop tard, j'avais
    trop envie de te niquer, je ne pouvais plus te laisser, il
    fallait que je rentre ma bite dans ton trou de baise.
    - Je ne voulais pas me sauver mais à chaque fois que je me
    fais enculer la première fois j'ai toujours un peu peur et
    j'ai toujours ce réflexe mais tu as eu raison il fallait
    continuer à me pénétrer. Tu vois j'ai déjà un peu moins mal
    et je suis très contente que tu sois dans mon cul. Ce que
    je veux maintenant c'est que tu me baises bien, que tu me
    fasses bien jouir.
    - Mais je vais bien te baiser ma petite femme et tu vas bien
    jouir tu vas voir. Tu sais ton cul est très chaud et très
    doux.
    - Merci.
    - Allez n'aie pas peur je vais commencer doucement jusqu'à
    que ton cul soit bien ouvert.
    - Vas-y fais moi du bien".
    Lentement Claude se mit à aller et venir en moi m'arrachant de petits couinements de douleur à chaque passage.
    Peu à peu mon anneau se détendit et mes petits cris se muèrent en gémissement de bonheur.
    Mon amant avait posé ses mains sur mes cuisses et me possédait de toute la longueur de sa pine raide la ressortant presque entièrement de moi pour m'assouplir la pastille de son bout durci.
    Au bout de quelques instants de ce traitement je sentis mon anus céder complètement et la puissante queue pu coulisser en moi sans gène aucune, je dis à mon mec "Ca y est je suis
    ouvert, vas-y défonce-moi fort".
    Sans tenir compte de ma remarque Claude continua à me besogner à son rythme, son ventre claquait contre mon postérieur porté au rouge.
    Je sentais la verge démesurée sortir de mon antre pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
    Sous les lents mais non moins virils coups de bite que mon homme m'assénait je me sentais partir, chaque fois que la virilité se plantait au plus profond de mon cul dilaté je sentais le plaisir monter d'un cran dans mon être embrasé.
    Mes gémissement s'étaient changés et lourds râles de bien-être, j'avais les yeux clos et la tête rejetée en arrière.
    Longtemps mon amant me lima avec une régularité de métronome, le bonheur que je sentais monter en moi était grandiose, une boule avait pris naissance dans mon bas ventre et remontait vers mon visage pour exploser en mille lueur colorées.
    Je ne vivais plus que pour et par la bite merveilleuse qui me ramonait le prose et je m'étais mis à pousser de petits cris de joie chaque fois que le pal de mon amant s'enfonçait au tréfonds de mes entrailles.
    J'avais le cul totalement éclaté et sous l'emprise du plaisir je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant ma croupe insatiable vers la fabuleuse biroute qui me cassait le fion.
    Claude me travaillait le derrière plus violemment, chaque coup de boutoir qu'il m'assénait me faisait faire un bond sur le bureau.
    Je planais littéralement sous les violents coups de queue que je recevais, tout en moi appelait le mâle, seul comptait pour moi la merveilleuse bite qui me fouillait le rectum.
    J'avais atteint la plénitude rectale et de ma bouche ne sortait plus qu'un râle continu, je sentais une puissante jouissance prendre possession de moi.
    Je sentais un brasier énorme me consumer et je savais que seule la verge qui me pilonnait l'arrière train pouvait l'éteindre.
    Perdant le sens de toute réalité je me mis à délirer.
    Un spasme foudroyant me balaya, mon corps se tendit comme un arc, de ma gorge pulsa, un hurlement strident puis je retombai
    lourdement sur le bureau perdant connaissance.
    Quand je repris mes esprits mon amant était toujours fiché entre mes fesses, je sentais son phallus palpiter en moi.
    Voyant que j'étais revenu à moi mon homme m'a dit "Alors c'est
    bon ce que je fais à ton petit cul tout chaud".
    Encore trop marqué, pour répondre, par le fade que je venais de prendre j'ai esquissé un faible sourire et j'ai hoché de la tête.
    Mon mec me lança "Mais ne t'inquiète pas ce n'est pas fini,
    ma bite est toujours dans ton trou et elle bande bien, je
    vais encore beaucoup te niquer ma petite femme. Je t'assure
    pour moi tu es comme une femme, tu cries comme les femmes,
    tu tends ton cul comme les femmes. C'est vraiment bien de
    te baiser, je suis sur que ma bite et ton cul vont passer
    une très bonne nuit. Je crois que je ne suis pas prêt de
    descendre de sur toi, je t'assure ton cul est mieux qu'une
    chatte. Je crois que je vais rester sur toi jusqu'à ce que
    le jour revienne. Je vais te faire le trou comme une
    pastèque mais d'abord il faut que je termine car là j'ai la
    bite en ébullition, il faut que je tire mon coup dans ton
    cul. Ah tu voulais de la bite et bien je vais te donner de
    la bite ma petite pute et je te le jure je vais rester sur
    ton cul jusqu'à que plus une goutte coule de ma bite".
    Soudain Claude me décula, il me retourna sur le ventre, il me fit plier les jambes sur le corps de telle sorte à ce que je me retrouve à genoux la tête reposant sur le bureau.
    Dans cette position mon postérieur en l'air était tendu, mon mec se remit derrière moi et me pénétra d'un violent coup de reins me faisant gémir puis me prenant aux épaules il se mit à me posséder à une vitesse folle.
    Le désir, un instant retombé après le pied que je venais de prendre, se remit à s'insinuer en moi.
    Sous les coups de boutoir redoublées que je recevais je recommençai à râler la bouche grande ouverte.
    J'avais le trou complètement éclaté, dans la pièce en dehors de mes râles on entendait les bruits de succion que faisait mon fondement ravagé chaque fois qu'il avalait la biroute démesurée qui m'élargissait un peu plus le cul chaque fois qu'elle se plantait au fond de mes entrailles bouillonnantes.
    Claude me besognait en de rudes coups de reins me faisant avancer sur le bureau chaque fois qu'il m'emmanchait à fond.
    J'avais l'impression que jamais on ne m'avait baisé de la sorte, ce que je ressentais était divin.
    Sous les violents assauts que mon amant m'assénait je perdais pied de plus en plus, je ne vivais plus que pour et par le pal qui me forait les reins.
    Le ventre de mon mec claquait contre mes miches portées au rouge à me faire mal, chaque fois que la pine turgescente s'enfonçait en moi je poussais des hurlements de bonheur.
    Le corps tendu à extrême je bramais sous les virils coup de reins que j'essuyais.
    Mon homme, les mains crispées sur mes épaules, me travaillait le cul en poussant des "HANS" de bûcheron, je n'étais plus que jouissance et de ma bouche toute grande ouverte ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaahhhhhh" continu.
    Je ne savais plus depuis combien de temps Claude me sodomisait de la sorte mais je voulais qu'il continue tant ce qu'il me faisait subir était bon.
    J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
    C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon rectum en fusion Claude éjacula, ses abondants jets de foutre crémeux fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur.
    Mes ongles griffèrent le bois du bureau, mon corps s'arqua et un hurlement strident de plaisir pulsa de ma gorge.
    Je tendis ma croupe vers le phallus qui se déversait en moi puis je tombai lourdement sur le théâtre de nos ébats.
    Dans l'univers cotonneux de la jouissance où je me trouvais, je sentis le pénis sortir de mon antre et je restai immobile, yeux clos et cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
    Quand je repris conscience je vis Claude assis dans le fauteuil savourant un verre de whisky, son sexe à demi flaccide, maculé de sécrétion séminales et marbré de traînées brunes, reposait sur sa cuisse tel un gros ver.
    Je souris à mon amant et il me dit "Ca y est tu es réveillée
    ma petite poupée, je devrais plutôt ma petite pute si ça ne
    te vexe pas.
    - Non ça ne me vexe pas, tu as raison je suis vraiment une
    pute, j'adore me faire baiser par une bite bien dure.
    - J'ai vu, comme je te l'ai dit tout à l'heure, tu es une
    femme, tu baises même mieux qu'une femme, ton cul est
    extraordinaire, je n'ai jamais vu ça.
    - Merci mais tu sais toi aussi tu es extraordinaire, tu m'as
    baisé comme un dieu, j'ai cru que j'allais mourir de
    plaisir.
    - J'ai bien vu que tu as pris beaucoup de plaisir, tu
    gueulais comme une vraie pute et plus je te baisais fort
    plus tu tendais ton cul vers ma bite. Vraiment quelle
    salope tu es mais je crois que finalement je t'ai bien
    donné ton compte.
    - C'est vrai j'ai joui comme une fou.
    - Tu veux dire comme une folle.
    - Oui si tu veux.
    - Je te l'avais bien dit que Claude était un super baiseur,
    tu vois je n'ai pas menti, d'ailleurs ton cul est
    complètement démoli.
    - C'est vrai que tu m'as bien cassé le cul.
    - Je t'assure moi je vois ton trou il est tout ouvert.
    - Je ne le vois pas mais je le sens tu sais.
    - Bien. Veux-tu un verre ?
    - Oui s'il te plaît mais tu sais aussi ce que je voudrais ?
    - Non !!
    - Je voudrais que tu me baises dans la salle où tu vérifie si
    les films sont OK.
    - Quoi ?
    - Qu'est ce qu'il y a ? J'ai dit quelque chose de mal ?
    - Mais tu viens de me dire que tu avais eu ton compte !!
    - Oui j'ai eu mon compte pour cette fois-ci mais ça a été
    tellement bon que j'ai envie de recommencer.
    - Tu veux encore que je te baise ce soir.
    - Mais bien sur. Qu'est ce que tu crois ? Ah je vois tu
    pensais que j'en avais assez pour aujourd'hui et bien non
    j'en veux encore. Tu ne crois quand même qu'un seul coup
    même si il a été très bon me suffisait.
    - Ca alors !
    - Je t'ai bien dit tout à l'heure qu'il me fallait beaucoup
    de bite pour mon cul.
    - Je n'aurais jamais cru que ce soit possible.
    - Ça te pose un problème ?
    - Pas du tout, j'ai encore envie de baiser mais je croyais
    que dans l'état où est ton cul ça suffisait.
    - Et bien non, tu sais même si demain je ne peux pas marcher
    je veux encore sentir ton zob me défoncer le trou.
    - Bien alors dans ce cas on va aller dans la salle.
    - Super mais sers moi un verre d'abord et j'ai envie de fumer
    une cigarette".
    Après avoir bu et fumé je suis allé aux toilettes pour uriner, pour marcher je devais quand même rester les jambes assez écartées.
    Quand je rejoins Claude et nous allâmes dans la salle, je sentais le sperme couler le long de mes cuisses.
    Mon mec s'assit dans un fauteuil, son sexe était de nouveau dressé, je le soupçonnais de s'être excité pendant mon absence.
    Me regardant mon homme me dit "Viens assieds-toi face à moi".
    J'obéis, je mis mes jambes de chaque côté de celles de mon amant et je m'assis sur lui.
    Quand son priape roide buta contre ma raie trempée de sève, Claude glissa une main entre nous et guida sa virilité contre mon tunnel intime.
    Dans l'état où était mon orifice le pénis entra dans mon fondement comme dans du beurre.
    Sentir le membre érigé me pénétrer me fit soupirer d'aise.
    Une fois bien en moi mon mec prit mes bras et les posa sur ses épaules puis il me saisit à la nuque et approcha mon visage du sien.
    Ses lèvres écrasèrent les miennes, nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
    Pendant que sa langue fouillait ma bouche mon amant commença à donner de petits coups de reins.
    L'œuvre combinée de sa bouche explorant la mienne et de sa bite coulissant dans mon canal firent renaître en moi un fort désir et je commençai à onduler en cadence.
    Tout en continuant à me butiner la bouche mon mec plaça ses main autour de ma taille et commença à me faire monter et descendre lentement sur sa bite turgescente.
    Ces lents mouvements de va et viens me firent monter d'un cran dans le plaisir, je sentis le rouge gagner mes joues et un langoureux gémissement s'échappa de ma gorge.
    Longtemps Claude me posséda de la sorte, sentir la superbe hampe me pistonner était un délice, je sentais le désir envahir tout mon être.
    Soudain mon homme commença à donner des coups de reins plus violents chaque fois qu'il m'empalait totalement, ses coups de boutoir brutaux se répercutaient dans tout mon corps.
    J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais le bien-être qui montait en moi par vagues successives.
    Mon amant avait lové son visage dans le creux de mon épaule et, les mains crispées dans la chair tendre de mes hanches, me bourrait de plus en plus violemment.
    Tout à ma félicité je tanguais tel un pantin désarticulé entre les bras de mon mec.
    Chaque fois que le fabuleux membre plongeait au plus profond de mon anus en fusion, m'ouvrant un peu plus le cul à chaque poussée, je me sentais partir.
    Les assauts que je subissais était si vigoureux que mes pieds décollaient de terre à chaque enfilade, mon cul élargi au maximum faisait des bruits de succion chaque fois qu'il happait la merveilleuse pine qui m'amenait au septième ciel.
    Je ne savais pas depuis combien de temps Claude me baisait de la sorte, je planais littéralement sous ses coups de bite redoublés et la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer.
    Soudain mon amant se leva me portant à bout de bras, sans que nos corps ne se dessoudent, il me déposa dans le fauteuil.
    J'avais le dos reposant sur le siège, mon homme replia mes jambes vers mon torse de telle sorte à ce que mon trou de balles ressorte puis il se mit à me pilonner l'arrière-train à une vitesse folle de toute la longueur de son phallus démesuré.
    Le résultat ne se fit pas attendre, sous les rudes bourrades que j'endurais je me mis à rouler des hanches tout en tendant ma croupe enfiévré vers le magnifique priape que me démolissait le derche me portant au paroxysme du bonheur.
    J'avais atteint l’épanouissement, rectal, seul comptait pour moi le splendide sexe qui me perforait m'alésant de plus en plus le tunnel.
    Perdant toute retenue je me mis à hurler tous les stades de la volupté par lesquels mon doux tourmenteur me faisait passer.
    A cet instant se plaquant contre mes fesses embrasées, Claude déchargea au fond de mon cul en feulant.
    Un abondant flot de semence épaisse m'inonda le rectum me déclenchant un somptueux orgasme, mon corps s'arqua, je tendis mon postérieur vers la bite qui continuait de couler en moi, un hurlement aigu pulsa de ma gorge puis je retombai lourdement dans le fauteuil.
    Je sentis la hampe sortir de mon tunnel intime et je restai immobile, yeux clos et cuisses écartées savourant l'excellent moment qui venait de se passer.
    Quand je revins à la réalité Claude me regardait en souriant, son membre flaccide maculé de sécrétions anales et séminales pendait entre ses cuisses.
    Je sentais entre mes fesses le sperme couler sur le fauteuil et je dis à mon amant "Je crois que je suis en train de salir
    ton fauteuil.
    - C'est pas grave, je le ferai nettoyer, mais putain qu'est
    ce que tu es bonne ma salope, quelle baiseuse tu es.
    - Merci mais si je suis une bonne salope, toi tu es aussi un
    super baiseur.
    - Ca je le sais mais je te jure que jamais je n'ai vu une
    pute comme toi, plus on te baise et plus tu en demandes. On
    dirait que ton cul n'est jamais fatigué.
    - Et non comme tu vois.
    - Pourtant crois moi je t'ai défoncé à fond.
    - Je le sais je l'ai senti.
    - Je m'en doute que tu l'as senti avec la manière dont je
    t'ai bourré dans ce fauteuil. Mais dis-moi au fait est ce
    que ça t'a plu ?
    - Oh oui ça a été super, j'ai joui comme une folle.
    - Alors je suis content, mais alors cette fois ça y est tu as
    eu ton compte ?
    - Comment ça ?
    - Tu en veux encore ?
    - bien sur si tu en es encore capable.
    - Quelle salope tu viens de te prendre deux coups dans le cul
    et tu en veux encore.
    - Ben oui pourquoi ?
    - Rien je te dis simplement que tu es une vraie salope. Par
    contre pour savoir si je suis encore capable de te baiser,
    ce n'est même pas la peine de le demander. Ma bite est
    encore en forme et il y a encore beaucoup de jute dans mes
    couilles.
    - Alors c'est parfait on va pouvoir continuer.
    - Oui mais tu ne préfère pas qu'on aille dans un endroit
    mieux pour baiser ?
    - C'est à dire ?
    - Je crois qu'on serait mieux dans une chambre.
    - D'accord, on va où, chez toi ou chez moi ?
    - Comme tu veux.
    - Bon alors on va chez moi.
    - D'accord si tu veux.
    - Oui je préfère, en plus j'habite tout près d'ici.
    - Bon ce n'est pas la peine de rester ici, retournons dans le
    bureau pour se rhabiller et prendre la bouteille et
    partons.
    - D'accord".
    Nous sommes retournés dans la pièce et nous avons remis nos vêtements puis après avoir fermé la boutique nous sommes montés dans ma voiture et nous avons pris la direction de chez moi.
    Pendant le court trajet je sentais le foutre de Claude couler de mon anus boursouflé et tremper mon slip.
    Après avoir rentré la voiture dans le garage, nous sommes entrés dans la maison, je dis à mon homme "Je me déshabille
    tout de suite car je suis en train de tout mouiller avec
    toute ta jute qui coule de mon cul.
    - Moi aussi je vais me déshabiller car avant de recommencer
    je veux prendre une douche et j'aimerais bien que tu en
    prennes une aussi.
    - Mais bien sur que je vais prendre une douche, après on sera
    mieux pour baiser.
    - Oui surtout qu'une fois que je serai propre tu vas me faire
    une bonne pipe et ensuite je vais m'occuper de ton cul
    toute la nuit.
    - Chouette.
    - Au fait la douche on pourrait la prendre ensemble.
    - Pourquoi pas".
    Nous avons ôté nos affaires puis nous sommes allés dans la salle de bains, une fois sous l'eau Claude a insisté pour me laver.
    Il a rendu à mon corps une propreté toute suédoise n'épargnant aucune parcelle de peau, je dois dire que de sentir ses mains courir sur moi m'a plus qu'excité et quand enfin mon homme a arrêté j'avais la respiration saccadée et les joues en feu.
    Claude s'en est aperçu et m'a dit "On dirait que tu es en
    chaleur.
    - Bien sur c'est toi qui m'a mis dans cet état à force de me
    caresser partout.
    - Je ne t'ai pas caressé, je t'ai simplement lavé.
    - Je sais bien mais moi dès que je sens des mains d'homme sur
    moi ça me met tout de suite dans un état pas possible, j'ai
    déjà le cul en feu.
    - D'accord ma petite chérie ton cul je vais m'en occuper mais
    pour l'instant tu vas me laver et ensuite tu vas me faire
    une superbe pipe.
    - Bien sur mon amour".
    Après avoir complètement savonné mon amant je l'ai entièrement nettoyé insistant sur les parties génitales.
    Quand j'ai jugé qu'il était propre, j'ai fait couler la douche pour le rincer.
    Si moi j'étais tout excité lui ne pouvait pas non plus cacher que ce que je lui avais fait n'était pas sans résultat, le priape de mon homme était de nouveau dressé et pointait vers mon visage comme si il l'implorait.
    Claude m'a dit "Tu sais que j'aimerais bien que tu me suces
    sous la douche.
    - C'est vrai ?
    - Oui.
    - D'accord alors tourne toi dans le sens de la longueur de la
    baignoire pour que j'ai la place de me mettre devant toi.
    - A tes ordres ma petite puce".
    Je m'agenouillai devant mon mec et sous l'eau qui giclait j'embouchai l'objet de ma dévotion que je me mis à pomper vigoureusement.
    Ce traitement eut l'air de plaire à mon amant, au bout de quelques instants Claude s'est mis à donner de légers coups de reins pour s'enfoncer au fond de ma bouche amoureuse.
    Je continuai à monter et descendre sur le membre érigé tout en le mordillant et en le caressant de ma langue quand mon homme, bloquant mon visage entre ses mains, se mit à aller et venir entre mes lèvres en de rudes coups de boutoir.
    Claude se servait de ma bouche comme de mon cul, il était tout simplement en train de me piner la bouche, son gland tuméfié buttait contre ma gorge.
    A ce rythme là le plaisir ne fut pas long à venir, je sentis la bite tressauter sur ma langue, mon amant colla ma figure contre son pubis et un abondant flot de liqueur crémeuse, que je bus avec délectation, arrosa ma gorge.
    Je cajolai, de ma langue, le sexe qui continuait à s'écouler dans ma bouche jusqu'à ce le calme soit revenu.
    Quand mon homme libéra mon visage je m'écartai de lui, le phallus luisant de salive et de foutre était à demi flaccide.
    Claude me prit par les aisselles et me mit debout, il me sourit et me dit "Ma salope, qu'est ce que tu suces bien,
    quand je pense que ton cul est encore meilleur que ta
    bouche, quelle nuit je vais passer.
    Allez viens séchons-nous, on va prendre un verre et ensuite
    je vais bien te baiser.
    - Tu as intérêt car si toi tu as tiré ton coup moi je suis en
    feu.
    - Ne t'inquiète pas ma petite poupée il y a encore de la jute
    pour bien arroser ton petit cul, tu vas voir dès que je
    vais entrer dans ton cul tout à l'heure je ne vais plus en
    sortir jusqu'à ce que je sois à sec.
    - C'est vrai ?
    - Oui tu vas voir quel baiseur est Claude, jusqu'à présent tu
    n'as rien vu. C'est maintenant que la nuit commence et
    quand je commence je rentre quelque part et je ne sors plus
    avant d'être complètement vide. Tu vas voir pendant
    plusieurs heures tu vas voir ma bite dans ton cul et je te
    le dis ce n'est pas la peine de me demander de sortir mais
    je suis sur que tu ne me le demanderas pas car tu es
    vraiment une belle salope.
    - Ça tu peux le dire.
    - Je ne vais pas te faire mal, je vais simplement rester
    toujours dans ton trou du cul, je vais tirer des coups et
    des coups c'est tout. La seule chose qui est sure c'est que
    demain tu ne pourras pas marcher car ton cul sera
    complètement cassé.
    - Je sais bien que tu ne vas pas me faire de mal, ce que je
    sais c’est que tu vas me faire jouir comme une folle.
    - Bien allez viens allons prendre le dernier verre et si tu
    as envie de pisser c'est aussi le moment car après ce sera
    fini".
    J'ai été uriné puis j'ai rejoint mon amant dans le salon.
    Après avoir bu et fumé une cigarette nous sommes partis vers ma chambre.
    Alors que nous étions dans le couloir Claude a glissé un doigt entre mes fesses et le positionnant contre l'orée de mon anus m'a dit "Ton trou du cul est encore bien mou, je vais rentrer
    là dedans comme dans du beurre.
    - Il est peut-être encore mou mais il a surtout envie qu'une
    bite bien dure l'enfile.
    - Pour ça ne t'inquiète pas ma bite est bien dure et elle va
    bien niquer ton petit cul ma petite poupée.
    - c'est tout ce que je demande car depuis que je t'ai sucé
    tout à l'heure je suis en feu.
    - Alors viens pressons-nous et allons baiser".
    Nous sommes arrivés dans la pièce, j'ai défait le lit et Claude m'a dit "Bien maintenant on va baiser, allonge toi à
    plat ventre et écarte bien les cuisses".
    Je pris la position demandée, mon homme s'agenouilla entre mes jambes puis se pencha vers moi tout en guidant son phallus érigé entre mes lobes charnus.
    Une fois le membre contre mon antre affamé mon mec donna un petit coup de reins, dans l'état où était mon sphincter le gland entra en moi sans aucune difficulté.
    Mon amant se coucha alors sur moi me pénétrant entièrement jusqu'à la garde.
    Cette douce intromission me fit gémir, une fois complètement en moi Claude glissa ses mains autour de ma taille et ses reins entamèrent une légère houle.
    Dans l'état d'excitation où je me trouvais, ces lents mouvements de va et vient libérèrent tout le désir contenu en moi, je sentais des bouffées de chaleur envahir mon visage.
    Sous les coup de boutoir répétés je me sentais perdre pied, tout en moi appelait le mâle, j'avais l'impression que toutes mes terminaisons nerveuses se trouvaient autour de ma grotte béante.
    Sentir le puissant pénis coulisser en moi me provoquait des montées de plaisir et je me mis à râler.
    Je ne sais combien de temps Claude m'a pris de la sorte, j'avais perdu notion de toute réalités et dans la pièce on entendait mes lourds râles de bonheur.
    Je sentais sur ma nuque le souffle chaud de mon homme et je planais littéralement sous les assauts virils que je recevais.
    Le plaisir qui prenait possession de mon être enfiévré était tel que je mordais les draps pour ne pas hurler, pour moi seul comptait la magnifique verge raide qui me forait les reins et je tendais mon cul pour accentuer la pénétration.
    Le rythme de mon amant changea, il me besognait maintenant plus rapidement, son priape sortait presque entièrement de mon trou dilaté pour replonger au fond la seconde suivante.
    Sous les rudes assauts que je subissais je me sentais fondre, je n'étais plus que jouissance et la bouche grande ouverte je criais sans discontinuer.
    Chaque fois que mon mec se plantait au fond de mon cul en feu son ventre claquait contre mes fesses portées au rouge à me faire mal et je me cambrais au maximum pour m'offrir totalement.
    Un plaisir immense s'insinuait par tous les pores de ma peau et perdant toute retenue je me mis à hurler toutes les phases par lesquelles je passais.
    A cet instant que plaquant contre mon postérieur en ébullition Claude explosa en feulant, ses abondants jets de sperme fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un spasme foudroyant, mon corps se tendis comme un arc sous mon amant, de ma gorge sortit un hurlement de bonheur puis je retombai lourdement sur la couche.
    Au bout de quelques instants je repris conscience des réalités, mon mec était encore couché sur moi et je sentais palpiter entre mes reins la pine toujours dure, mon homme, m'embrassant dans le cou, me demanda "Alors ma petite chérie
    tu as aimé ?
    - Oh oui beaucoup tu m'as encore fait bien jouir.
    - Et tu vois ma bite est toujours dans ton cul et elle est
    bien dressée.
    - Oui je le sens.
    - Je le sais tu vois je ne vais plus sortir de ton cul avant
    d'avoir complètement vidé ma jute dedans.
    - D'accord surtout si tu me baises aussi bien que tu l'as
    fait jusqu'à présent.
    - Au contraire plus ça va aller et mieux je vais te baiser
    car plus je vais tirer de coups plus je vais être long à
    juter alors toi tu vas bien prendre du plaisir.
    - C'est vrai.
    - Bon allez on va recommencer".
    Sans que nos corps ne se désunissent Claude se redressa et je me retrouvai à quatre pattes, me prenant par les hanches il me fit pivoter sur son pénis et me reposa sur le dos.
    Mon amant me sourit, s'étendit sur moi et me dit "Lève tes
    jambes et mets-les autour de mes reins".
    Je m'exécutai et je nouai mes chevilles dans le dos de mon homme, prenant appui sur ses avant-bras mon mec se mit à aller et venir lentement en moi.
    Le désir un instant retombé après le pied que je venais de prendre recommença à glisser en moi, je fermai les yeux et je laissai ce merveilleux sentiment me gagner.
    Sous les réguliers coups de boutoir que m'infligeait Claude je suis remis à soupirer de contentement
    Le phallus raide coulissait en moi de toute la longueur, mon baiseur le faisait presque sortir entièrement de mon cul en fusion pour le replonger à fond la seconde suivante.
    Je sentais, sous les assauts de mon amant, le plaisir reprendre possession de mon être par vagues successives naissant dans le creux de mes reins et venant exploser vers mon visage.
    La merveilleuse bite qui me tringlait toujours régulièrement me faisait un peu plus chaque fois que le membre plongeait au tréfonds de mon puits d’amour.
    Claude, lovant sa tête dans le creux de mon épaule me dit "Alors petite femme, tu aimes ce que mon gros sexe fait à ton
    petit cul ?
    - Oh oui, continue, tu me rends folle de plaisir.
    - Mais bien sur ma petite salope, je vais continuer et tu
    vois tu parles de toi comme d’une pute, tu as dit folle de
    plaisir et pas fou de plaisir
    - Mais quand je baise….
    - Non quand tu te fais baiser.
    - Oui tu as raison, quand je me fais baiser, je suis une
    vraie femme, je ne me sens pas comme un pédé mais comme une
    vraie femme.
    - Et pourtant tu es un pédé car tu as une bite et tu donnes
    ton cul à des mecs.
    - Oui je le sais, mais je me sens femme.
    - En tout cas pédé ou femme, ce qui compte c’est que ton cul
    est bon à baiser.
    - Ta bite me baise bien.
    - Bien ma chérie, je vais encore te baiser longtemps"
    Cette discussion avait encore fait monter d’un cran le plaisir qui me minait et je me mis à ronronner tout en roulant des hanches en cadence.
    Claude s’aperçut de mes mouvements de reins, il me dit "Oui
    c’est bien ma petite chérie, bouge ton cul sur mon gros
    membre, c’est bon".
    Les vas et viens de Claude étaient de plus en plus brutaux, chaque fois que son pénis tuméfié s’enfonçait jusqu’à la garde, m’ouvrant un peu plus le trou de balle, je poussais un petit cri.
    Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me possédait, je perdais de plus en plus le sens des réalités et seul comptait pour moi, la superbe pine qui me défonçait le fion en de grands et violents coups de reins.
    Claude m’avait pris aux épaules et me pilonnait le cul avec des "HAN" de bûcheron.
    Mes cris s’étaient mués en hurlement, j’avais la bouche grande ouverte et je bramais sans discontinuer tout en me tordant sous mon mec comme un pantin désarticulé.
    Je ne vivais plus que pour et par la fabuleuse hampe fendait alésant mon trou du cul à chaque poussée.
    J’avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
    une boule de feu se forma dans ma gorge, l’air me manqua, mon corps s’arqua son mon amant et un formidable orgasme m’envahit, je hurlai de jouissance tout en serrant mes jambes dans les dos de celui qui me montait puis je retombai sur la couche perdant connaissance.
    Quand je revins à moi, Claude était toujours sur moi, je sentis sa pine toujours plantée au fond de mon cul dévasté.
    Mon homme me sourit et me dit "Tu as bien joui ma petite
    chérie.
    - Oh oui, tu m’as fait prendre un plaisir extraordinaire.
    - C’est bien mais comme tu dois le sentir, ma queue est
    toujours en forme dans le fond de ton petit cul tout chaud.
    - Oui je sens ton sexe.
    - Tu veux que je te baise encore ?
    - Oh oui j’ai encore envie de jouir sous tes coups de bite.
    - C’est bien salope, tu vas en avoir encore beaucoup, quand
    je vais te laisser ton petit cul sera ouvert pour au moins
    un mois tellement je vais le casser.
    - Humm !
    - Tu aimes te faire baiser salope, tu es la reine des putes.
    - Merci.
    - Mais de rien, allez retourne toi, mets-toi à genoux, ton
    cul bien en l’air et ta tête sur le lit".
    Claude me décula, je sentis un appel d’air frais tellement je devais être ouvert et je sentis de la semence couler le long de mes cuisses.
    Je pris la position demandée, Claude s’agenouilla derrière moi et d’un puissant coup de reins m’enfila jusqu’à la garde me faisant pousser un gémissement.
    Durant cette nuit Claude, infatigable, me prit un nombre incalculable de fois me faisant jouir somptueusement à chaque fois.
    Quand il abandonna mon cul, je jour pointait, j’étais rempli de sperme de la tête aux pieds, j’avais l’anus complètement éclaté mais j’étais comblé.
    Quand je me réveillai, il flottait dans la chambre une odeur de merde et de sperme mêlé.
    Je me levai avec précaution car je sentais que mon anneau était encore bien ouvert et très enflé.
    Dans le salon je trouvai un mot de Claude disant "Ma petite
    chérie, je t’ai bien baisé cette nuit, je t’ai baisé
    jusqu’à ce que mes couilles soient vides, tu as un très bon
    cul et tu es une super baiseuse et le jour où tu as envie
    de te faire bien limer ton petit cul, n’oublie appelle
    Claude. Bisous ma petite pute"
    Je souris en lisant ces quelques lignes, tu penses que je penserai à lui, je ne laisserai pas sur la route un baiseur de cette trempe.
    Pour l’instant l’heure n’était pas à la baise, il fallait que je prenne un bon bain et que je m’occupe de mon trou du cul.

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