• Récit57

    Récit57

    Récit érotique écrit par Fuckit87.
    Auteur homme    

    Quand tout semble impossible


    Le réveil sonne. Il est 7h du matin et, comme à son habitude, je repousse le réveil à
    07h20. Pendant ce court laps de temps, je me tourne, je me retourne en songeant à ce
    qui pourrait bien m'arriver aujourd'hui. La vérité c'est que cela fait quelques mois
    qu'aucun évènement bouleversant n'a croisé sur mon chemin…
    Il est 7h20 et je me lève sans aucune envie, sans force. Les yeux encore refermés, je
    marche vers mon tiroir afin de m'habiller. Je cherche encore une fois une combinaison
    qui pourrait attirer son regard, qui ferait que, pour une fois, il se dirait : "Mon
    dieu, quel putain de beau gosse". C'est un rituel sans fin, un véritable cercle
    vicieux qui me pèse dessus.
    Cela fait un an que chaque jour, chaque nuit que je ne cesse de l'avoir en tête, que
    je rêve de lui entrain de m'enlacer et, dans une étreinte frénétique, il m'asphyxie
    avec tant de passion, je rêve de lui entrain de m'embrasser avec toute la douceur du
    monde et me faire l'amour comme un amant fou. Hélas, chaque matin je quitte
    brutalement le monde des songes afin de regagner la réalité, en espérant qu'un jour,
    ces deux mondes puissent ne faire qu'un.

    Sur le chemin du lycée, je traverse la route, bordée par une sorte de jardin sans
    clôture dans lequel l'herbe brille d'un vert éclatant, d'une part, et bordée par des
    immeubles universitaires dont les briques grises foncées semblent s'effriter au fur et
    à mesure que le temps passe. Ce gazon si bien soigné se couple parfaitement au bleu
    océanique de ce resplendissant ciel dégagé. Il y a du soleil, il fait beau et je
    marche en savourant ces quelques rayons de soleil qui s'échouent chaleureusement sur
    mon visage en réchauffant ce dernier. Pendant ce court temps de marché, je replonge un
    instant dans mes rêves dans lesquels je m'imagine à nouveau, à ces cotés, assis sur
    l'herbe sous un soleil brûlant tout en s'échangeant des mots tendres. Soudain,
    j'arrive sur petite pente qui donne accès au lycée et reprends conscience lorsque je
    suis confronté à celui qui me fait chavirer depuis bientôt un an. Il était là, entouré
    de sa bande d'amis, du haut de ses 1m80, des yeux dont les couleurs vacillent entre le
    brun et le vert et un corps de sportif, doté d'une paire de fesse à faire fondre un
    radiateur. Je ne peux m'empêcher de le regarder, de le fixer, de le mater… Je me
    demande d'ailleurs, comment est-ce que ne s'est jamais remarqué. J'ai cette sensation
    que mes yeux se métamorphosent en un ciel couvert d'étoiles à chaque fois que je pose
    un regard sur lui.
    Au moment où je le regarde, j'ai la malchance qu'il détourne lui aussi son regard vers
    moi. Ce petit jeu me frustre au plus haut point car je ne sais jamais ce que cela veut
    dire. Aime-t-il ce qu'il voit ? Se demande-t-il plutôt : qu'est-ce qu'il me veut
    celui-là ?
    C'est toujours le même assaut de questions qui me taraude l'esprit et qui torture ce
    dernier à en souffrir de migraines interminables.

    Quoiqu'il en soit, suite à ce petit moment d'égarement, j'ai détourné le regard le
    plus que possible afin d'éviter le moindre soupçon, surtout venant de sa part.
    C'est ainsi que se passe mes journées au quotidien : à chaque pause, il faut que je
    croise son regard et lui le mien, sans savoir finalement la moindre significations de
    ceux-ci. À la sortie des cours, nous empruntons le même chemin jusqu'à ce qu'il prenne
    le métro dans un sens et moi le métro sur le quai juste en face. De nouveau, nos
    regards se croisent et là, bien plus souvent car il y a rarement autre chose à faire
    en attendant les transports. Ce petit jeu de regard me fatigue de plus en plus,
    surtout lorsque cela ne mène à aucune réponse. "C'est peine perdue", me disais-je. En
    rentrant, c'est un calvaire des plus déplorables. Ma seule envie est de me coucher,
    mettre en marche quelques petites mélodies bien tristes afin de me plonger dans mes
    songes, seul endroit où je me sens bien et heureux, finalement.

    Le jour suivant, je remercierai ce que l'on appelle "la distraction". En effet, le
    lendemain, je me devais absolument d'avancer dans certains de mes travaux de groupe.
    Pour ce faire, nous restâmes dans la cafétéria jusqu'à la fermeture du lycée pour
    ainsi dire. Curieusement, le destin a voulu que je jette un œil sur quelques tables
    plus loin. J'y découvris un bouquin qui trainait sur la table. Je me rapprocha de la
    table et je vis ce livre vert, légèrement poussiéreux mais tout de même soigné avec
    écrit en grand "English Book", ayant une tête l'air de dire : "s'il te plait, rends
    moi à son propriétaire". Chose faite. Par chance, une étiquette reluisante dont la
    parfaite couleur blanche était sabotée par une jolie calligraphie mentionnant un
    prénom : Marco (accompagné du nom de famille, bien sur). Je resta perplexe un instant.
    J'observais et analysais ce nom dont les origines slaves semblaient ressurgir. "Peu
    importe" pensais-je, maintenant que tu as trouvé ce livre, il faudra le rendre à son
    propriétaire, par qui de droit.

    Le soir, en rentrant chez moi, je fis un tour sur Internet et plus particulièrement
    sur un célèbre réseau social dans le but de trouver ce chanceux propriétaire. En
    utilisant le moteur de recherche du réseau, quelle ne fût pas ma surprise lorsque je
    découvris que ce livre appartenait à ce bel homme qui m'a toujours rendu ivre de
    désire. Je me précipita sur mon clavier pour lui laisser un court message en
    l'avertissant que j'étais en possession de son livre. Ce dernier me remerciait et me
    donnait un point de rendez-vous au lycée afin que l'échange puisse avoir lieu.
    Le lendemain, j'ai eu le plaisir de le trouver afin de lui rendre son livre. On s'est
    serré la main, et je n'ai pas pu m'empêcher de me sentir heureux dans mon fort
    intérieur. Geste anodin, certes, mais pour la première fois de ma vie, j'ai pu lui
    serrer la main et même plus, entretenir une conversation avec lui.
    -"Merci beaucoup d'avoir récupéré mon livre. Où l'as-tu trouvé ?", me dit-il avec une
    voix assez grave.
    -"Oh ben, je travaillais, hier, à la cafet' et je l'ai aperçu au loin sur une table",
    lui dis-je.
    -"En tout cas, je voudrai te remercier pour ce petit geste", me dit-il avec un petit
    sourire malicieux.
    -"Je t'en prie. Je suppose que tu aurais fait la même chose pour moi".
    -"Oui, probablement".
    Ne voulant pas laisser la conversation à ce stade, j'ai décidé de pousser un peu plus
    loin.
    -"Je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un coup d'œil à ton bouquin. J'ai pu comprendre
    que c'est un livre d'anglais. Ca m'a l'air d'être d'un niveau plutôt élevé.", lui ai-
    je dit.
    -"Oui c'est bien cela. Je dois avouer que j'éprouve quelques difficultés en anglais",
    m'avoua-t-il.
    On a tendance à dire que le malheur des uns fait le bonheur des autres. Ce n'est pas
    ici que j'allais contredire le célèbre dicton :
    -"Ah bon ? Tu sais, je suis plutôt balaize en langues, sans prétention aucune. Si tu
    as besoin d'aide, je n'hésiterais pas à t'aider"
    -" Oh pas besoin, tu sais. Je n'ai pas envie de te déranger juste pour ça".
    -"Mais ce n'est pas un problème, je suis à ta disposition, si tu le désires", lui dis-
    je.
    Après cette conversation, quelques semaines se sont écoulées et nous parlions de temps
    en temps, de banalités, de tout et de rien, quoi. Au plus j'apprenais à le connaître,
    au plus ces sentiments se développaient au plus profond de mes entrailles. À vrai
    dire, j'étais plus que comblé de pouvoir partager quelques discussions, quelques
    rires, des moments d'amitié avec lui. Cependant, cette relation fut la plus
    douloureuse car elle n'a jamais abouti sur quelque chose de concret car je savais que
    c'était un hétéro, un vrai macho.

    Quelques jours avant les examens, alors que j'étais tranquillement posé sur mon lit
    entrain d'étudier, je fus dérangé par ce petit son parasite qu'est le vibreur de mon
    portable. Je feins de ne pas voir le message, je ne voulais pas qu'on me dérange.
    Néanmoins, quelque chose me poussait à aller voir de qui il s'agissait et pour
    quelle(s) raison(s). À ma grande surprise, je vis un message de Marco. Il me disait
    qu'il était entrain de réviser son anglais et qu'il éprouvait quelques difficultés
    avec la conjugaison. Il me demandait gentiment si j'étais disponible afin de passer
    chez lui pour l'aider. Je n'eus le temps de finir le message que mon cœur sautillait
    dans tous le sens. Je sentais une sensation de chaleur, de stress. J'étais surexcité à
    l'idée de mettre les pieds chez lui pour l'aider. L'espace d'un instant, je me suis
    imaginé mille scénarios, les plus excitants les uns que les autres. M'appelle-t-il
    vraiment pour l'aider ? Va-t-il m'annoncer quelque chose ? A-t-il compris ce que je
    ressens pour lui ? Bref, des millions de scénarios me traversaient l'esprit.
    Je repris mon calme après quelques minutes. La tristesse et la déception
    s'esquissaient sur mon visage.
    - " Qu'est-ce que tu peux être con, Anthony, quand même !! Il est clair qu'il ne se
    passera rien…"

    C'est ainsi que je me suis vite calmé et préparé à partir chez Marco. Je suis parti
    avec un peu d'appréhension mais au final, ce n'était que pour l'aider.
    Une vingtaine de minutes plus tard j'étais arrivé en face de chez lui. Je sonna et il
    m'ouvrit la porte. Pendant mon ascension dans ces escaliers d'un marbre gris glacé,
    mon cœur palpita dans tous les sens. Je voulais me cacher ou bien m'enfuir tellement
    je ne voulais me trouver seul avec lui, uniquement lui.
    Lorsque je suis arrivé devant sa porte :
    -" Ah salut ! Comment ça va ? Merci d'être venu en tout cas"
    -"Oui, ça va bien, merci. Et toi ? Je t'en prie, c'est normal", lui dis-je.
    -"Oui, ça va ! Allez, rentre !".
    Aussitôt dit, aussitôt fait ! En passant le pallier de son appartement, je découvris
    un endroit plutôt moderne, des meubles en bois, quelques tableaux et photos de famille
    accrochés au mur mais une peinture bleu/grise rendant l'endroit un peu froid.
    Nous nous dirigeâmes vers sa chambre afin que l'on puisse commencer à travailler. Je
    découvris une belle petite chambre, plutôt ordonnée, un lit spacieux et une grande
    garde-robe. Nous nous sommes assis et pendant qu'il cherchait ses affaires, il me
    raconta une de ces mésaventures du matin. Il me dit qu'il avait été accosté par un gay
    au supermarché du coin. Il me dit que cela l'avait mis en colère :
    -"Ces PD me répugnent !!", dit-il avec un (faux) air de dégoût.
    En entendant ces quelques mots, je me suis comme effondré dans mon profond intérieur.
    Je n'étais pas capable de le voir mais je sentais mon cœur saigner abondamment, se
    briser en plusieurs minuscules morceaux que l'on piétinait en plus de ça. Je me suis
    rendu à l'évidence : jamais rien n'allait se passer entre nous. À force de prendre sur
    moi, j'ai réussi à ne rien laisser transparaître et nous nous sommes mis au travail
    petit à petit.

    Après plusieurs minutes de travail, nous faisions une petit pause et Marco me posa une
    question à laquelle je ne m'attendais pas et qui aura eu pour conséquence un
    renversement sans précédent au plus profond de mes entrailles :
    -"Dis-moi, Anthony"
    -"Oui ?!"
    -"Bon ok, ça va paraître bizarre et je me fais surement des films mais il y a toujours
    quelque chose que j'ai trouvé louche chez toi", me lança-t-il.
    -"Ah bon ? Bah vas-y, dis-moi !"
    -"Tu sais, parfois, au lycée ou même en attendant les transports, je remarquais que tu
    me regardais toujours, et, d'une façon peu spéciale…"
    À ce moment-là, je commençai à sentir une chaleur s'emparer violemment de moi. Je ne
    sais pas comment il me percevait mais j'avais l'impression de devenir rouge écarlate
    face à lui. Mon cœur recommençait à palpiter et plus la conversation se prolongeait,
    plus mes palpitations se faisaient plus fortes.
    -" Ah bon ? Non, je ne pense pas tu dois faire erreur !", lui ai-je dis avec si peu
    d'assurance que je me trahissais.
    -"Et puis, dis-moi, si tu sais que je te regarde tellement, je suppose que c'est parce
    que toi non plus, tu ne me lâches pas du regard", rétorquais-je de sorte à le mettre
    mal à l'aise.
    Une fois ces paroles sorties de ma bouche, un long silence se fit entendre. Avais-je
    fini de découvrir quelque chose que je n'avais jamais soupçonné ? Avais-je touché un
    point sensible ? Non, pensais-je.
    Mais il me regarda, les yeux écarquillés au possible, ne bougeait pas comme si la
    paralysie s'était emparée de lui. Le silence était si bruyant que même nos
    respirations ne semblaient pas briser ce cycle inaudible. À vrai dire, je ne sentais
    même plus une respiration, comme si la détresse fit en sorte que l'oxygène de ses
    poumons s'évapore. Je suppliais le Ciel pour que ce martyr s'achève.
    Nos visages étaient près l'un de l'autre, et là, je remarquai que son visage
    s'approchait tout doucement. Plus la distance se réduisait, plus mon cœur sautait dans
    tous les sens. À force de se rapprocher, il finit par m'embrasser. Ce fut un baiser
    d'une douceur inexplicable et cela s'est suivi par un baiser fougueux, interminable.
    Au même moment, une sensation de picotement me titillait le ventre. Ce picotement
    s'apparentait plus à une sorte de douleur, une douleur qui en fait, me faisait un bien
    fou, une sensation d'extase. Au fur et à mesure que ce baiser se prolongeait, je
    sentais mon cœur qui allait exploser. Je posa mes mains doucement sur ses joues pour
    continuer ce baiser magique. Il posa les siennes sur ma nuque. Rien que le contact de
    sa peau sur ma nuque fit en sorte que des frissons me parcouru le corps. Ce simple et
    interminable baiser s'est poursuivi avec la langue. Il embrassait tellement bien. Tout
    à coup, nous nous sommes levés, toujours en s'embrassant et il me bouscula jusqu'à son
    lit. Je me suis couché et il s'est posé sur moi. J'enroulais mes bras autour de sa
    tête et mes jambes autour du bas du dos. Il arrêta de m'embrasser un instant et me
    fixa longuement avec ses yeux si étincelants :
    -"La vérité c'est que… j'ai toujours ressenti quelque chose pour toi"
    -"Tais-toi et embrasse-moi", lui ai-je répondu à voix basse.
    Ainsi, nous avons continué nos bisous et jamais je ne m'étais senti aussi bien. Tout
    doucement, une de mes mains quitta sa nuque pour se balader un peu plus bas. Je
    caressais délicatement le tissu de son pantalon et j'ai constaté que ces baisers
    l'avaient mis dans un état bien particulier. Il fit de même et a également du
    remarquer que mon érection était déjà bien forte. Petit à petit, je lui retirais ses
    vêtements et lui les miens afin de se retrouver uniquement en slip l'un sur l'autre.
    Je découvris de belles formes, des muscles plutôt bien dessinés qui ont eu le don de
    m'exciter encore plus.
    J'ai décidé de me mettre sur lui à mon tour et progressivement ma bouche quittait la
    sienne et commença son périple sur sa peau douce et imberbe. Je lui embrassais et
    léchais tout doucement son cou, ce qui avait l'air de lui plaire. Je me suis ensuite
    déplacé vers ses pectoraux que j'embrassais tout en lui caressant les abdominaux. Ma
    bouche descendit jusqu'à son bas ventre et je décidai de lui enlever son slip. Je
    découvris un beau sexe, plutôt long et d'une épaisseur d'environ 5cm. Je lui fis
    quelques petits baisers avant qu'il ne disparaisse entièrement dans la bouche.
    J'entrepris ma toute première fellation et il n'avait pas l'air de s'en plaindre. Il
    poussa quelques gémissements qui témoignaient du plaisir que j'étais entrain de lui
    procurer.
    -"C'est la première fois qu'un homme me fait ça. Qu'est-ce que tu fais ça bien…", me
    disait-il d'une voix assommée par le plaisir.
    Au bout de quelques minutes, il me demanda d'arrêté avant d'atteindre le point de
    non retour. Il ne voulait pas que cela s'arrête comme ça, m'a-t-il dit, qu'il voulait
    partager ce moment avec moi sans merder. J'en étais presque ému et ainsi nous nous
    sommes replongés dans des baisers fougueux. On s'arrêta à nouveau et il décida de me
    rendre la pareille en entamant une fellation également. J'ai senti sa bouche
    l'engloutir d'une traite. Je pouvais sentir la chaleur et l'humidité de sa bouche
    entreprendre des va-et-vient sur mon sexe. Qu'est-ce que c'était bon, tellement bon
    que mes gémissement s'apparentaient à des orgasmes :
    -"Tu fais ça tellement bien toi aussi. Oh P*TAIN, vas-y continue…"
    Au bout de quelques minutes, je me sentais venir petit à petit et je lui suppliai donc
    d'arrêter pour qu'on puisse faire durer la plaisir pour cette première fois.
    Ensuite, il alla chercher un préservatif et l'enfila. Il me souleva les jambes et
    utilisa sa salive afin de lubrifier mon petit trou bien serré. Il commença par y
    enfiler un doigt, et puis deux. J'ai lâché quelques cris tellement c'était bon.
    C'était la première fois qu'on me faisait cela, et j'adorais. Il prit ensuite son sexe
    en main et le poussa très doucement dans ma cavité. Il y allait vraiment doucement et
    pris quelques petites pauses à chaque fois que je ressentais un peu de douleur. Après
    quelques instants, il était complètement en moi et débuta ses va-et-vient. Ses coups
    de butoir se faisaient vraiment doucement, en même temps que l'on s'embrassait
    passionnément. Une fois en moi, je ne voulais plus me séparer de lui, c'était la
    première fois que je faisais l'amour et je ne m'étais jamais senti aussi bien, aussi
    libre, comme si le temps s'était arrêté. Au fur et à mesure que le temps passait, il y
    allait de plus en plus vite. Il me limait de plus en plus fort et je poussais de
    terribles gémissements. Je le suppliais d'aller plus vite, plus fort et c'est ce qu'il
    fit. Le plaisir était si intense que je m'agrippais aux draps de son lit. Après trente
    minutes, je vis l'expression de son visage changé et j'ai compris qu'il était sur le
    point d'éjaculer. Son sexe frottait si fort contre ma prostate qu'en même temps nous
    avons partagé un orgasme si intense que je ne sais pas si les voisins ont entendu.
    Sans me branler, j’éjaculai et plusieurs jets se sont échoués sur mon torse tandis que
    Marco s'abandonnait en moi. Après cet exercice physique intense, il s'échoua sur moi,
    entièrement repu.
    Après quelques minutes de silence, il me regarda droit dans les yeux et j'ai vu que
    ses yeux brillait, comme s'il allait lâcher une petit larme. Il me dit tout doucement
    : Je t'aime.
    Ému, ayant une petite larme au coin de l'œil je lui répondis que je l'aimais aussi…

    [À suivre]Récit56

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