• Récit6

    Récit6

    Récit érotique écrit par Minpass.
    Auteur homme. jhsoushotmailcom

     

    Un grand inconnu IV


    Quelques instants de bonheur

    L’homme était debout prêt de la fenêtre, la lumière de l’après midi filtrait finement sur son corps nu. Il Le jeune homme était allongé sur son ventre dans le lit défait, nu également. Les deux étaient de corpulences opposées. L’homme avait une musculature impressionnante, une mâchoire et un visage fort, une barbe de trois jours et des cheveux courts. Ses fesses étaient musclées, l’ombre jetée par la lumière dorée, se dessinant parfaitement contre sa peau ferme. Il était de profil et le jeune homme le contemplait depuis le lit. Son regard parcourait ce corps puissant, s’arrêtant sur le sexe long et épais qui pendait à demi dur entre ses cuisses. Il luisait encore d’un mélange de salive et de lubrifiant. Le jeune homme, quant à lui, était fin. Ses reins étaient légèrement surélevés, son bassin posé sur l’amas de draps souillés par leur sueur. La position accentuait la courbure forte de ses fesses bombées. A vraie dire, dans cette position, le jeune homme ressemblait plus à une jeune femme. Il était imberbe. Ses fesses et sa peau luisaient également à la lumière du jour, des traces de sperme encore visibles sur le bas du dos. Il avait les cheveux bruns et courts. Sa peau était blanche, crémeuse presque. Il s’enfoui le visage dans le tissu de l’oreiller.

    L’homme tourna la tête vers le minet. Il contempla le fessier qu’il avait si bien plaqué contre le matelas, seulement quelques minutes auparavant, ses mouvements de hanches assénant un rythme puissant. De la fenêtre il avait une vue parfaite sur le croupier du jeune homme. Il apercevait les petites boules de celui-ci, appuyées contre le tissu du drap. Il les avait prises en main alors qu’il prenait le jeune homme en levrette, les malaxant avec une poigne de fer. Le sexe du jeune homme, ridiculement petit en comparaison, s’était raidis alors que sa propre verge esquissait des vas et viens athlétiques. Il se sentait durcir à nouveau, la peau de sa verge déjà décalottée. Il s’approcha du jeune homme, monta sur le lit et se plaça à califourchon sur le bassin surélevé de son amant qui gémit d’anticipation. L’homme lui écarta les fesses, plaça son gland contre son trou, et sans plus attendre poussa. Il fit glisser son sexe entre la paroi serrée mais encore lubrifié. Le jeune homme, cependant, ne put empêcher un petit cri de douleur et de plaisir mélangé. Il resta en lui un instant, une main plaquant le bassin du minet vers le bas, l’autre placé sur l’arrière de son cou, son sexe au plus profond de sa chatte. Il entama les vas et viens, arrivant rapidement à un rythme convenable. Le minet laissait à présent échapper de petits gémissements de plaisir. L’homme se fit la réflexion, tout en lui limant le cul, que certaines personnes avaient besoin de se sentir ainsi – totalement dominées. L’idée le fit durcir encore. Il sentait l’excitation monter en lui. Cependant il ne souhaitait pas finir ainsi. Lors de leur dernier ébat l’homme s’était lâché sur les reins du minet. Cette fois il comptait lui faire avaler sa semence. Il continua les mouvements de reins. Les cris du jeune homme s’accélérèrent. Il allait jouir. L’homme accentua le mouvement. Le jeune homme gémis puis soupira fortement. Il avait lâché sa semence fine contre les draps. Au tour de son maitre à présent. Il se retira et retourna le minet qui avait les traces de sa propre semence sur son ventre. Il se plaça prêt du visage et lui tendit sa verge. Le minet n’hésita pas. Il se mit à lui lécher le sexe goulument, prenant également ses boules en main et accompagnant le mouvement avec ses doigts. Il le prit en bouche et le suça longuement. Et dire qu’il y a deux semaines seulement ce soumis se disait hétéro et avait tenté de lui refuser satisfaction lors d’une soirée. A présent la situation était bien différente. L’homme était à genoux devant le jeune, son sexe se faisant pomper par celui-ci, ses couilles prêtes à se vider. Elles le firent, la semence emplissant la bouche puis la gorge du minet qui n’en laissa échapper aucune goute.

    Mathias sourit. Il admira le sexe de l’homme qui restait dur devant lui. Il le caressa d’une main.

    « Continues à le lécher petit. » L’homme plaça une main derrière sa tête pour l’encourager.

    Mathias fit courir sa langue le long de l’engin, sentant les veines qui l’alimentaient, le gland énorme qu’il peinait parfois à prendre en bouche et s’attardant sur les deux boules toujours lourdes. L’homme écarta les cuisses. Le minet sourit avant de s’avancer encore, cette fois faisant jouer sa langue sur l’anus de son maitre. Il branla le sexe de l’homme qui, il en était certain, ne tarderait pas à vouloir le prendre une troisième fois.

    En effet, M le regardait de haut, contemplant la courbure de ses reins, sentant de nouveau l’excitation monter en lui. Cette fois cependant, Mathias le chevaucha, s’aidant de ses mains qu’il appuyait contre les cuisses de l’homme au plus profond de lui. Parfois il s’attardait sur le gland, à la limite de la pénétration. L’homme le guida, ses mains le serrant fermement par la taille. Il s’enfonça totalement dans le jeune et Mathias sentit un jet chaud et puissant se propager en lui. Ils restèrent ainsi quelques instants. Puis l’homme se leva. Il sortit un gode vibreur d’un tiroir et le tendis vers Mathias,

    « Tiens petit, j’ai du travail, tu peux finir avec ça. »

    Le minet sourit, et, tandis que l’homme quittait la pièce, il plaça le bout de l’engin contre son trou, se plaçant sur le dos, les cuisses écartées. Il se masturba, sa petite queue raide entre trois doigts. Il y a quelques mois une fille lui avait dit que trois doigts étaient presque de trop pour un sexe aussi ridicule. A l’époque le commentaire l’avait bléssé. A présent il s’en moquait. Tout ce qui comptait était la taille de celle de son maitre.

    Il se laissa jouir entre les draps, le vibreur au fond de son trou déjà bien dilaté et lubrifié par la semence de M.

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