• Récit 72

    5 août 2013.Lotharingien61.LIEN ICI...

    Récit 72

    La promenade tardive de Léo

     

     

     

    Un soir, chez lui, Léo s'emmerdait grave et faisait les cent pas dans la salle commune. Marc ne pouvant plus le supporter le voir tourner en rond lui proposait de sortir s’aérer et qu'il avait la permission exceptionnelle de rentrer après minuit. Léo remerciait Marc et prenait son blouson pour sortir. Marc ignorait que Léo voulait revoir le petit rebeu de la cité toute proche.

    Après une bonne demi-heure de marche, Léo arrivait au pied d'un petit immeuble de quatre ou cinq étages appartenant à une grande société d'assurances. Cet immeuble était gardé au premier étage par une équipe de trois agents de sécurité devant leurs écrans de contrôle. Léo regardait à travers les grandes baies vitrées pour voir ce qu'il y avait à l’intérieur. L'un des trois agents avait remarqué sur l’écran noir et blanc ce jeune mec de vingt-cinq ans qui semblait chercher quelque chose. Le deuxième vigile proposait au premier d'aller voir ce que ce jeune voulait. Ce premier, un grand black d'un bon mètre quatre-vingt-cinq, musclé, la bonne trentaine, descendait dans le hall d’entrée, déconnectait un instant le système d'alarme, ouvrait la porte et sortait. Il s'approchait alors de Léo.

    David, le grand black posait une main virile sur l’épaule de Léo. Léo sursautait et se retournait. David demandait à Léo ce qu’il cherchait si tard. Léo répondait à visiter l’intérieur de ces bureaux. David ne voulait pas croire les dires de Léo. Il se demandait si Léo ne cherchait pas plutôt une compagnie pour la soirée déjà bien avancée. David questionnait mieux en insistant pour ce que Léo voulait vraiment. Léo, devant tant d’insistance, lâchait la vérité. David prenait alors son émetteur radio et contactait ses deux autres collègues. Ces deux collègues connaissaient les écarts de David et couvraient ses agissements si les supérieurs appelaient. David proposait d’emmener Léo à cinq minutes de là dans un coin un peu plus calme. Durant ce trajet à pied, une bosse se formait dans le pantalon bleu marine du grand black.

    Arrivés dans une petite clairière entourée d’une végétation dense, David et Léo s’échangeaient leurs prénoms. David proposait à Léo de faire de lui ce qu’il avait envie. Léo acceptait cette alléchante proposition. Léo commençait par effleurer de sa main le visage de David. David enlevait sa veste, puis sa chemise. Un petit détail de taille, Léo voulait embrasser son black d’un soir. Il était trop petit pour atteindre la bouche noire. Il demandait à trouver un tabouret naturel. Justement, ils ont pu trouver cette souche coupée dans un autre coin de la clairière. Léo montait dessus et pouvait embrasser David. Pendant qu’il embrassait, Léo titillait de ses doigts les beaux tétons de David. David soupirait d’aise. David déboutonnait son pantalon et laissait apparaître un jockstrap blanc bien rempli. Léo descendait de son perchoir improvisé et s’attardait un peu sur les tétons durcis par les titillements, puis, sur le bouton de rose formant le nombril de son bellâtre. Léo descendait encore ses investigations linguales plus bas jusqu’à trouver la naissance d’un pubis crépu. Léo lançait un regard de questionnement vers David s’il pouvait continuer sa découverte de corps d’ébène qui s’offrait à lui. David ne disait rien.

    Léo caressait de sa main experte la bosse à travers le coton blanc du jockstrap tout en embrassant encore une fois son black. Léo prenait ses deux mains et descendait doucement le pantalon, puis le jockstrap jusqu’aux chevilles. Un morceau de chair noire surgissait à l’air libre. Léo prenait dans sa main l’objet tant convoité durcissant à la vitesse d’un cheval au galop. David, de ses grandes mains, agrippait la nuque de Léo en faisant buter son gland noir contre la bouche blanche et disant de faire ce qu’il avait vraiment envie. David le rassurait qu’il ne tenterait rien pour l’en dissuader, bien au contraire. Léo se mouillait alors les lèvres et sortait sa langue pour effleurer le bout du gland qui se présentait. Léo faisait tourner sa langue sur le pourtour de ce magnifique champignon de plaisir. Léo se réjouissait intérieurement qu’il allait, dans les secondes suivantes, faire une fellation à un beau black consentant pour la première fois de sa vie.

    Léo tenait d’une main le sexe bandant de David et entrouvrait légèrement la bouche. Le souffle chaud de Léo effleurant le gland emmenait David aux portes du palais du plaisir. Léo et David se regardaient un court instant. David poussait doucement sa bite dans la bouche de Léo qui essayait tant bien que mal d’avaler ce gland et cette grosse tige. David poussait si bien que Léo en avait des « hauts de cœur » tellement c’était gros. Léo gardait la tige en bouche du mieux qu’il pouvait et ouvrait son bouton de jean. David se penchait un petit peu et allongeait le bras. Il passait la main sous la ceinture de jean. David s’apercevait que Léo ne portait ni slip ni boxer ni aucun autre sous-vêtement et qu’il avait une peau toute lisse. David, de ses longs doigts, atteignait la raie glabre de Léo. Il ressortait sa main du pantalon, humidifiait son doigt avec sa salive, et retournait à son exploration. L’œillet de Léo lui semblait à peine mouiller et s’ouvrir sous l’effet de l’excitation.

    David s’apercevait que Léo était déjà bien excité et enfin prêt. Il le faisait se retourner pour le petit Léo lui présente son cul. N’ayant pas de lubrifiant sur lui, David se penchait en avant pour bien lui saliver l’anus. David crachait sa salive sur l’orifice de Léo. David massait de ses doigts, se relevait et présentait sa grosse et longue tige à l’entrée. Toujours plié en avant, Léo attendait impatiemment cet instant où David allait le pénétrer par derrière, d’abord en douceur puis progressivement, de plus en plus virilement.

    David enfonçait un puis deux doigts dans l’anus lubrifié de salive. Léo était décontracté et totalement ouvert. David effleurait de son épais gland. Il poussait alors au travers de cette rondelle humide. Léo serrait les dents un instant. David stoppait l’avancée de sa tige avant de reprendre jusqu’à ce que sa bite noire disparaisse entièrement. David demandait alors à Léo s’il se sentait bien. Léo répondait qu’il se sentait très bien et qu’il n’avait plus mal. De son initiative, Léo faisait coulisser son cul sur l’énorme champignon. Ce qui étonnait David, Léo faisait ça magnifiquement bien. Il savait très bien donner son cul à une queue qui se présente à lui.

    Au bout d’un moment, Léo, toujours empalé, se retournait d’un quart de tour, allongeait le bras et tapait sur les fesses noires de David pour signe que son cul est bien chaud et prêt pour la vitesse supérieure. David accélérait les mouvements de va-et-vient. David et Léo étaient si occupés qu’ils en oubliaient qu’ils étaient observés depuis une petite dizaine de minutes.

    C’est alors que David était sur le point d’exploser dans l’intimité de Léo, des phares et des lumières bleue et orange les stoppaient net leurs élans. C’était une patrouille de police composée d’un beau rebeu sportif et musclé d’une trentaine d’années ainsi qu’un black antillais.

    Ces deux policiers en tenue sortaient prestement de la voiture pour appréhender les deux fautifs. Les deux agents menottaient Léo et David sans ménagements avant qu’ils puissent remballer la marchandise. Ils les emmenaient au Commissariat pour être interrogé et verbalisé.

    Arrivés au Commissariat, David et Léo étaient séparés dans deux bureaux différents. David était questionné par le black antillais et Léo, par le rebeu. David essayait d’expliquer qu’il n’avait fait que répondre aux avances un peu trop explicites de Léo. David ne connaissait pas non plus le nom du gars puisqu’ils ont eu le malheur d’avoir été dérangés au point crucial et qu’il était agent de sécurité. Il suppliait le black antillais de faire son possible pour qu’il n’y ait pas de suite de cet incident regrettable. Le flic antillais, reconnaissant, recadrait alors David. Ce flic demandait juste de consigner son identité et ses coordonnées personnelles sur un quart de feuille et de partir. David le remerciait de ce geste et tournait les talons. Le flic antillais décrochait son téléphone et appelait son collègue rebeu pour lui informer que le black n’était pas inquiété et relâché. Il ajoutait que c’était Léo, le fauteur de trouble, le responsable de tout ça, et, qu’il pouvait en disposer comme il le sentait. Sur ce, le flic rebeu raccrochait.

    Le flic rebeu réfléchissait deux petites secondes et décidait de l’emmener en cellule de garde à vue pour le reste de la nuit. Devant la cellule, le rebeu faisait se déshabiller entièrement Léo et faisait s’installer dans cette petite pièce à peine chauffée.

    Au petit matin, le rebeu revenait voir Léo dans la cellule. Il prenait ses clés accrochées à son ceinturon et ouvrait la porte vitrée. Léo en sortait et s’habillait.

    Le flic rebeu et Léo sortaient du commissariat ensemble. Le rebeu invitait Léo à le suivre jusqu’à sa berline allemande noire pour le ramener chez lui. En chemin, Léo pressentait que le rebeu n’allait pas le raccompagner directement chez son père.

    En effet, le rebeu expliquait à Léo que sa femme était partie en vacances au bled pendant un bon mois et qu’il avait les bourses bien pleines. Le rebeu lâchait un instant le volant d’une main, de sa main droite, prenait la main gauche de Léo pour la poser sur la belle bosse qui enflait de plus en plus sous le jean. Pendant le trajet, le rebeu annonçait à Léo qu’il se prénommait Akim.

    Akim, donc, lui disait qu’il était très excité après l’avoir vu le chaud spectacle qu’il lui avait offert la veille au soir avec le black. Léo ne faisait pas transparaître qu’il avait compris ce qui l’attendait. Léo matait la bosse et se disait en lui-même qu’il allait passer un sacré bon moment avec ce flic bien membré et bien chaud comme une baraque à frites.

    Après une vingtaine de minutes, la berline allemande s’arrêtait au pied d’une barre HLM d’une cité. Akim et Léo en descendaient. Akim disait à Léo le suivre à l’appartement au troisième étage. L’ascenseur était une fois de plus en panne. Akim suivait Léo dans les escaliers. Akim s’arrangeait pour avoir le derrière de Léo en face de son regard. Arrivés au troisième, Akim sortait son trousseau, ouvrait la porte, faisait entrer Léo et refermait la porte derrière lui. D’un coup sec, Akim faisait descendre le jean de Léo jusqu’aux chevilles. Léo ne s’attendait pas à ça mais il aimait qu’Akim prenne les devants. Akim glissait un doigt sur la raie de Léo et lui disait que s’il la voulait en lui, il allait falloir le préparer. Léo lui répondait qu’il la voulait. Léo s'agenouillait et agrippait le pantalon d’Akim pour le faire descendre tout aussi rapidement qu'Akim l’a exécuté pour lui. Akim ne portait rien en dessous. Une longue et épaisse tige circoncise en jaillissait.

    Léo était très agréablement surpris et excité par le beau cadeau d'Akim. Akim dit avec autorité de tirer la langue pour qu'il dépose son gland dessus. Sur le même ton, lui ordonnait de faire tourner plusieurs fois sa langue autour de son gland en l'effleurant.

    Akim demandait à Léo si c'était pas la première fois qu'il le faisait tellement c'était bien fait. Léo répondait que c'était pas la première fois. Il avouait même en disant qu'il s'était déjà occupé d'un ou plusieurs rebeu dans la cité. Léo reprenait le travail de plus belle. Akim prenait l'arrière de la tête de Léo afin de pouvoir visiter la bouche de Léo.

    Akim était aux anges. Léo avalait du mieux qu'il pouvait la tige akimienne. Akim se penchait un petit peu et caressait les fesses imberbes du jeune Léo. Léo était toujours affairé sur Akim. Akim humidifiait de sa salive quelques doigts et les faisait glisser le long du sillon inter fessier de Léo. Léo était déjà tout excité que son anus était bien humide. Akim s'en est aperçu et faisait remarquer qu'il était prêt pour l'estocade finale. Akim priait Léo de lâcher immédiatement ce qu'il avait en bouche. Il avait toujours le doigt occupé, se déplaçait derrière Léo et présentait son énorme gland à l'entrée de ce trou. Léo n'osait bouger. Léo se disait intérieurement que donner son cul à un rebeu, mais qu'en plus, ce rebeu était un agent de la force publique, c'était le pied total !! Akim poussait régulièrement son dard jusqu'à ce qu'ils ne se réunissent dans une totale harmonie. Akim restait ainsi sans bouger un long moment. Léo sentait de mieux en mieux le gros calibre en lui. Léo commençait alors à faire coulisser son anus le long de cette chose qui lui bouchait l'orifice. Léo suppliait de Akim de le laisser faire. Akim laissait tomber un première de salive entre les fesses de Léo et ne bougeait plus d'un iota. Léo prenait les commandes. Léo accélérait peu à peu les allers-venues. Akim n'en revenait pas comment Léo donnait son cul. Léo alternait les allers-retours avec des mouvements circulaires de son bassin. Akim et Léo montaient ensemble les marches de l'escalier du plaisir.

    Akim et Léo étaient en symbiose si parfaite pour grimper cet « escalier » qu'ils n'entendaient pas la serrure de la porte de l'appartement. C'était le petit frère d'Akim, Samir, qui rentrait de boîte. Samir quittaient ses chaussures, posait son blouson au porte-manteaux, traversait le couloir de l'entrée et passait devant la porte de la salle où débattaient chaleureusement Akim et Léo. Samir lançait à la volée de ne pas se déranger pour lui, qu'il en avait vu d'autres culs de pédés se faire ramoner. Léo, en plein action, avait reconnu cette voix. C'était bien le petit rebeu dont il a eu affaire il y a quelques temps auparavant. Samir entrait dans la salle et s'affalait sur le canapé. Il se tâtait le paquet. Akim disait à Samir qu'il avait ramené ce mec chaud du cul du boulot et il lui demandait s'il avait envie, lui aussi, d'enfoncer sa tige dedans. Léo faisait toujours ses mouvements de bassin. Samir cherchait du regard approbateur de Léo. Léo répondait qu'il pouvait y avoir de la place pour deux. Léo faisait de plus larges ronds pour bien détendre ses sphincters anaux. Samir se mettait tout nu.

    Tout au long de la baise entre lui et Léo, Akim laissait tomber de la salive pour permettre la lubrification de l'anus. Dans son coin, Samir bandait fort. Léo voyait son amour secret se caresser. Cette vision l'excitait encore davantage. Léo se mouillait les lèvres en le regardant. Samir se levait et faisait quelques pas vers la bouche de Léo. Pendant ces quelques pas, la tige de Samir battait l'air de gauche à gauche et réciproquement. Les yeux de Léo brillaient, d'une part par le plaisir que lui procurait Akim, et d'autre part, par le doux rêve de pouvoir sucer son amant secret. Léo ouvrait sa bouche pour accueillir Samir qui soupirait extase. Léo suçait Samir. Il l'avalait même tellement il était bien chaud. Tout à coup, Léo disait à ces deux rebeus qu'il veut ramener un très bon souvenir chez lui.Léo se retirait de la bite d'Akim et de Samir. Sans perdre de temps, Léo faisait allonger Akim sur le tapis de la salle, la bite dressée. Léo s'asseyait à califourchon et tournoyait encore un peu le bassin. Puis, il attrapait la tige de Samir à pleine main pour la porter à proximité de son anus dégoulinant de salive et autre liquide biologique. Samir se mettait à genoux, crachait et présentait à l’entrée du trou. Pour le plus grand plaisir de Léo, Samir touchait de son gland et pénétrait le cul de Léo déjà occupé par Akim. Léo avait si bien fait ses mouvements de gymnastique anale que Samir rentrait sans lui faire mal. Quant à Akim, il ne bougeait pas. Il était toujours dedans. Maintenant, c'était Samir qui menait la danse même s'il avait shaké son booty en boîte. Il lui restait encore de la vigueur dans le bassin pour satisfaire son Léo. Samir donnait tout ce qu'il pouvait. Léo était en nage et aux anges tellement c'était chaud. C'était si chaud, que la pièce ressemblait à un véritable sauna.

    Au bout de plusieurs longues minutes, Samir ne pouvant plus contenir son extase, se libérait dans les entrailles de son ami. Les saccades de jouissance de Samir faisait encore grimper Akim au cimes du plaisir. Akim rejoignait Samir dans la jouissance extrême. Léo avait donc le cul inondé par deux jus de rebeus bien chauds dans son rectum. Samir se retirait doucement pour permettre à Léo de refermer sur Akim. Akim et Léo faisaient volte-face pour que Léo soit sur le dos. Akim se retirait doucement, lui aussi. Samir se penchait et léchait l'extérieur du trou de Léo pour lui donner la becquée de ce qui pouvait s'en échapper. Léo se délectait de ce breuvage vitaminé. Samir se relevait et sortait de la pièce pour aller se coucher. Akim, lui se rhabillait. Léo restait juste allongé sur le dos jusqu'à ce que son sphincter se referme bien et garde ce précieux liquide. Au bout d'un moment, Akim regardait l'orifice de Léo et lui disait qu'il était refermé et pouvait se relever. Léo et Akim se rhabillaient. Se faisant, Akim informait Léo qu'il pourrait avoir besoin de son cul dans le futur. Akim et Léo s'échangeaient leurs 06 respectifs. Akim ramenait Léo chez Marc en voiture. Durant le trajet, Akim faisait jurer à Léo de garder ce secret sur ce qu'il venait de se passer sous peine de ne plus se revoir.

    Juste avant d'arriver à bon port, Akim, donnait une petite tape amicale sur le genou gauche de Léo. Akim s'arrêtait et Léo descendait de cette berline noire. Léo remerciait une dernière fois ce rebeu pour cette nuit très intense qu'il a passée avec lui et Samir. Léo refermait la portière. Léo faisait une bonne cinquantaine de mètres et rentrait chez lui. Il montait dans sa chambre. Pendant son absence, Son père, Marc, lui avait préparé un petit paquet cadeau accompagné d'un petit mot affectueux de son père accroché à un ruban. Ce mot disait à peu près ça : « Mon fils que j'adore, voilà un cadeau que je t'offre. J'espère que cet objet te plaira. Je sais que tu aimes les jolis garçons bien chauds.» Signé : « Ton papa qui t'aime ».

    Léo déballait le petit cadeau et découvrait un jockstrap de couleur rouge. La couleur rouge était la préférée de Léo.

    Le midi, juste avant de manger, Léo allait embrasser son gentil papa pour ce cadeau qu'il a reçu.

    FIN

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