• Récit 93

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    Belle étoile

     

    Au- dessus, il y avait les étoiles au travers des branches. J’étais tous contre Laurent. Je l’entendais respirer. Je bandais à mort dans mon sac, mais j’avais pas envie de me branler. C’était Laurent que je voulais, même si je m’étais tapé vachement de queues en pensant à lui. J’avais beau être crevé par la trentaine de kilomètre qu’on avait dans les bottes, j’arrivais pas à m’endormir. Le sentir si prés de moi, sentir le concentré d’odeur à lui de son sac me chatouiller les narines, ça me rendais fou. J’aurais tant voulu qu’il se retourne et me prenne dans ses bras. L’embrasser, lui rouler un patin mortel, lui sucer sa queue. Une queue magnifique, presque semblable à la mienne. Mais pas la mienne, toute différence! A force de me tourner et me retourner, et alors que je pensais Laurent complètement schlasse, il s’est redressé et ma demandé: »qu’est-ce qui t’arrive?  »  » j’arrive pas dormir, c’est rien!  »  » Tu veux qu’on discute un peu? N’oublie pas qu’on a encore du chemin jusqu’aux gorges!  »  » Que dirais-tu si t’apprenais que je ne suis pas tout à fait celui que je prétends être?  »  »  Dans quel sens?  »  » Dans le sens ou les meufs me font moins d’effet que les mecs, qu’un mec… » «  Eh bien Alex, je te répondrais que je le sais depuis un certain temps, mais que j’attendais que tu me le dises! Que dirais-tu si je te disais que pour moi, c’est idem! C’est pas fortuit si on est tous les deux ensemble… » Laurent s’est retourné vers moi, s’est penché, et ses lèvres chaudes se sont posées sur les miennes… 

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    Cogne et baise !

    De toutes manières, je suis un soumis de nature. J’aime obéir, et je regrette de pas être resté à l’armée ou j’étais heureux. Arnaud me domine, parce qu’il et mon chef, parce que j’ai plaisir à lui obéir, parce qu’après m’avoir humilié comme une lopette devant les autres, il va m’entraîner dans un coin et m’enculer sauvagement. Arnaud est un sadique, ce qui tombe bien, puisque moi je suis maso. Une  fois , j’avais fait une connerie en n’appliquant pas la bonne teinte au murs. Devant témoins, il m’a plongé les deux mains dans le pot de peinture et il m’a insulté. Je bandais tellement que ça se voyait. Tout le monde rigolait. Après le boulot, Arnaud d’un geste, m’a fait signe de le suivre. On est descendu au sous-sol. Là, une première beigne m’a secoué, puis une seconde. Je me suis pris un grand coup de botte dans le cul. Je me suis relevé, j’ai allumé la lumière, et j’ai fermé le verrou. Arnaud a eu un sourire de triomphe devant ce geste de totale soumission. Il m’a cogné, et puis, les coup sont devenus comme des caresses, ses insultes sont devenus presque des mots tendres, parce qu’il ne hurlais plus. Il m’a enculé comme jamais, deux fois de suite. J’étais heureux de lui servir d’éponge, de sucer sa grosse pine négligée et qui sent fort, son trou poilu et ses aisselles odorantes, Arnaud me comble. J’aimerais être sa pute, ses chiottes. Arnaud, mon homme, mon chef, ne te lasse jamais de moi! Punis-moi, baise-moi, j’aime trop ça! Sans toi, je serais moins qu’une merde.   

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    Dépuceler!

    Regarde, je baisse ton jean. Il est bien mignon ton caleçon à rayures! Maintenant, c’est toi tout seul qui va le retirer. Allez, vas-y joue-moi ta petite salope effarouchée, la petite boniche qui ne veut pas se donner mais qui en meurt d’envie. Ouais, quelle belle paire de fesses, bien pommées, bronzées, brunies comme une viennoiserie. Pas un poil, imberbe! Remue ton cul, mon petit prince, oui, comme ça, écarte tes lobes avec tes mains, fais-moi bien sentir à quel point tu as envie de te faire mettre par mon gros membre! Écarte, plus, plus! ! Ouais, je vais te le bouffer, ton petit trou mignon, délicatement plissé, jolie corolle ou, bientôt, je vais m’enfoncer. Sens ma langue pointue qui rentre dans ton intérieur douillet, sens comme je te mange bien l’anneau, comme je l’embrasse, comme j’aime ta petite chatte de joli coeur! C’est tendre, ça se détend sous mes coups de langue bien humides. Ah oui, tu te trémousses, ça te fait bander, mon chéri! Tu t’ouvres comme une fleur, là ou mon gros pistil de male en chaleur va t’écarteler, oui, distendre jusqu’à l’extrême cet émouvant petit oeillet qui n’a jamais été dépucelé. Tu vas voir,  comme tu vas aimer! Je serai doux, patient, mon poussin, je sais que tu vas gémir de plaisir lorsque mon gland passera tes adorables sphincters obéissants. Oui, maintenant, petit prince…J’habille ma vierge, et je pointe. Écarte-toi, plus, toujours plus. Ah, tu geins de plaisir! C’est bon, hein, de se faire enculer? Ouais, prends-la toute!….  

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    Une dans la bouche et une entre les fesses        

     

    Très sympa, la petite baise de l’autre soir! Le plan se décide très vite, au comptoir d’un troquet Toulousain. J’ai vraiment envie d’un plan à trois et d’avoir une bite dans la bouche et dans le cul en même temps. Ils sont tous les deux libres et moi. J’ai le feu au cul. On ne s’attarde pas trop et on file direct chez moi. On commence à se chauffer dans l’ascenseur. Ça trique déjà dur à l’intérieur des trois braguettes et je me rends compte de Didier est monté comme un . Cinq minute plus tard, on est tous les trois à poil dans ma chambre. Je suis assis sur le lit, et j’ai une pine dans chaque main, deux beaux pieux bien raides que je branle et que je pompe tour à tour. Pendant ce temps, mes deux nouveaux partenaires m’encourage à bien les sucer. Didier travaille durement le bout de mes nichons tout en me traitant de salope, de chienne, de trou à bites. Et j’ai Romain qui, lui, astique ma tige. C’est du direct, c’est du hard et du bien vicelard, tout ce que j’aime quoi! Romain décide de m’enculer le premier. Je lui tends ma croupe pendant que je continu de pomper Didier. Je sens d’abord une langue s’agiter dans toute ma raie puis s’attarder sur mon trou. Quand je suis bien lubrifié de salive. D’abord un, puis deux et enfin trois. Et lorsque je suis bien assez dilaté, il remplace ses doigts, par sa bite. Quel pied! Je suce et je suis enculer. La tige progresse par à-coups dans mon trou du cul jusqu’à être planté à fond. Romain m’a défoncé le cul avant de céder sa place à Didier. La partie de cul a duré deux bonnes heures et je me suis vraiment éclaté.

     

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     Une  pipe a remous

    J’étais tout seul dans le jacuzzi quand ils sont entrés. Vingt ans, les cheveux à ras tous les deux et deux belle queues qui montraient déjà des signes d’érection. Ils se sont roulés un patin avant de se laisser tomber dans la flotte. Et ils ont continué au milieu des remous à se passer des langues en se pelotant. Moi, forcément, ça a commencé à me faire de l’effet. Mais je ne voulais pas m’imposer. Ils avaient l’air de ne pas me voir. Au bout d’un moment, ça a été dur. Ils bandaient tous les deux, ils se tripotaient en se bouffant la langue et j’avais pas baisé depuis trois jours. Finalement c’est le plus mince qui a fait le premier geste. Il m’a pris la bite à pleine main en me jetant un petit coup d’oeil pour guetter ma réaction. On s’est retrouvé tous les trois à se rouler des pelles dans une melée assez confuse. Je ne sais plus lequel a plongé la tète sous l’eau pour prendre ma bite dans sa bouche. Forcément, ça n’a pas duré longtemps mais ça nous a complétement débloqué. Ils m’ont fait mettre à genoux au bord du jacuzzi et ils m’ont bouffé la rondelle l’un aprés l’autre. J’etais aux anges. Puis, celui qui avait la queue la plus brune s’est placé devant moi en me faisant comprendre qu’il voulait que je le suce. J’ai pas hésité. Surtout que l’autre me travaillait le cul avec trois doigts. Je l’ai enfourné jusqu’a ce que sont gland touche le fond de ma bouche. Il avait une pine assez épaisse et j’étais obligé d’ecarter les machoirs au maximum. Il s’est mis à gémir en chevrotant quand je lui ai enfilé deux doigts dans le trou du cul. Et j’ai compris qu’il allait juter au gonflement de son noeud. Alors j’y ai été à fond !

     

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     Ça frétille sous la combi

    Moi, je dépanne. Avec ma petite camionnette jaune et bleu. Il n’y a pas que les télé ou les lave linge que je dépanne, d’ailleurs. C’est incroyable le nombre de culs en manque qu’on peut trouver parmi la clientèle….Surtout des meufs en petite tenue, toute émoustilles. Mais comme les meufs, ça m’excite pas, j’attends l’occase: un beau petit minet à enfiler à même la moquette, ou un beau baraqué à essorer, service non compris. Généralement, j’ai un bon pourliche après. Comme je suis un obsède de la queue, je suis toujours aux aguets. Ça doit se sentir, se voir à mon regard vicelard quand je tombe chez un type qui me branche. Je me tâte ouvertement les valseuses, j’ai le cigare qui gonfle, et comme je ne porte pas de slibard sous la combi, que ça se trimballe à l’aise là dessous, ça fait piquet de tente! D’un seul coup d’un seul, tout l’appart ne sent plus que le sexe; c’est comme des ondes qu’on émettrait. Généralement ça va très vite. En quelque secondes, la combi est ouverte jusqu’en bas, et mon gros paf congestionné trouve vite sa place dans une bouche gourmande, et plus tard dans un humide, chaud et accueillant. Et vice-versa. Il m’arrive de repartir en marchant comme Roy Rogers, tellement je me suis fait éclater l’orifice. Après je regarde l’appareil en panne, je répare ou j’embarque, et je me ramasse mon pouliche pour services rendus. Le soir, j’ai pas besoin d’aller draguer dans les bars pour baiser, j’ai trop souvent les couilles à sec et le cul encore ouvert….    

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