• Récit 94

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    En vacance

    Allez Jérome, encore une dernière, ensuite on rentre. OK, David répondit Jérome en se lançant sur la piste déchiquetée par l’ombre des sommets environnants. La neige crissait sous leurs skis et la lumière devenait bleue dans les passages a l’ombre. Les deux sportifs dévalaient la pente avec la sureté acquise par de nombreuses années de ski. Le plaisir de se trouver en vacances à la montagne les faisait voler sur la neige. Cette première journée, voyage aidant, avait été néanmoins fatigante. De retour dans le chalet ils retrouvèrent leurs amis pour un dîner au cours duquel chacun vanta ses exploits alpins sur les pistes et seul le yeti échappa à cette avalanche de bravades. L’heure avançait doucement; les conversations peu a peu diminuaient. La fatigue eut raison du groupe et tous allèrent se coucher pour un repos bien mérité. David et Jérome appartenaient au même club sportif et tous deux pratiquaient le demi-fond.
    Au fil des entraînements, leur complicité et même de l’amitié avait grandi au fil des tours de piste et des joggings dans la forêt. La cagnotte du club avait permis d’organiser un séjour de ski pour les athlètes intéressés ; Ils avaient aussitôt accepté profitant de l’occasion de changer d’horizon. Le lendemain matin David se réveilla le premier et jeta un coup d œil rapide a l’extérieur. Catastrophe! le temps était bouché et un brouillard dense et glacial rampait sur tout le massif, rabotant les sommets a hauteur du clocher de la station. Après avoir jeté un coup d œil sur Jérome qui dormait encore, David se rendit a la salle de bain et pris une douche brûlante. Il sortit nu, encore humide de la salle d’eau. Un peu de vapeur entourait son corps perlé d’humidité, alors qu’il revenait vers la chambre. Jérome encore ensommeillé ronchonna quand David secoua ses cheveux humides au-dessus de lui.
    Allez Jérome laisse moi dormir et puis va t’habiller tu es indécent. Oh! Regarde-moi la chochotte répondit David, ton drap ressemble à un chapiteau de cirque un jour de fête. Bonne humeur , David secoua le lit de Jérome de plus en plus rougissant de son érection matinale et à la vue de son camarade. Lâchant le sommier David se laissa tomber sur le lit en essayant d’immobiliser son ami. Les deux camarades luttèrent un bon quart d’heures. Jérome essayant de ne pas se laisser toucher les épaules sur les draps. Le combat fut vif et dynamique. Bientôt, le drap ne cachât plus rien de l’anatomie musculeuse des deux sportifs. Vifs et rapides, les deux lutteurs étaient comme des chats qui se disputent un jouet. La lutte les échauffait et leurs peaux luisaient de transpiration sur leurs corps minces et fermes.
    Malgré son tonus, Jérome dut s’incliner sous la puissance de David. Assis sur ses cuisses les mains posées sur ses épaules le maintenaient immobilisé. Haletants les deux garçons reprenaient leur souffle. Tu as gagné dit Dominique remarquant que son ami aussi était en érection. Il essaya de se dégager mais Daniel le maintenait toujours fermement. Eh! mais toi aussi tu bandes dis Dominique, en plus tu n est pas aussi bien fichu que moi. Ce n’est pas la taille mais c’est de savoir s’en servir qui compte. En disant cela Daniel pris leurs deux sexes dans sa main et lentement massa leurs deux membres. Dominique resta sans voix, un étonnement inimaginable rendait ses yeux profonds tandis que son ami doucement continuait des mouvements lents et doux. Arrête, laisse-moi, ce n’est pas bien dit Dominique.
    Daniel sentait bien à la dureté et au raidissement du membre de son ami que son corps disait le contraire. Il accéléra le rythme de sa main pendant queJérome lui demandait encore d’arrêter d’une voix que les sensations rendaient floues. Sentant des vibrations dans la tige de chair ferme de son ami, David ouvrit sa main et libera les deux sexes tendus. Tu es bien tendu dit David, reste cool. Tu parles répondit Jérome après ce que tu m’as fait je bande comme un cerf. Non, je ne parlais pas de ton sexe mais de tout ton corps tu es très crispé. Se relevant un peu David s’assit à coté de son ami et commença à masser les épaules de Jérome. Ses mains passèrent sur les muscles fins et délies du jeune atlhète. Les bras laissaient apparaître les muscles sculptés sous la peau résultat d’années d’entraînement.
    Lentement David sentit Jérome se détendre. Il attendit un peu avant de poser ses mains que le massage avait rendues chaudes sur le torse imberbe se son camarade. David ressentait le plaisir de caresser la peau douce et tiède de Jérome et son désir en était un vigoureux témoin. Sans s’approcher du membre toujours érigé de son ami il glissa sur ses jambes. Ses doigts lui disaient mieux que n’importe quelles paroles, les sensations de Jérome. Celui ci murmurait parfois non quand les mains frôlaient parfois la base mousseuse de son sexe. Les frissons de Jérome  n’ échappaient pas aux mains patientes de David.
    Avec art et délicatesse il revenait extirper des douceurs que Jérome lui-même ignorait. Ce corps jeune et fin était comme un instrument de musique pas encore accordé. La découverte de ses sensations troublait Jérome. David s’en rendit compte et continua son massage. Une de ses mains vint se glisser dans la toison noire d’où jaillissait la bite tendu de Jérome. Un non étranglé essaya de retenir les doigts de David mais sans volonté réelle. Jérome soigneux de son apparence avait les bourses rasées. Le contact de cette peau si douce sous ses doigts excitait David pourtant déjà bien échauffé. Les mains de David reprirent doucement le sexe de Jérome qui cette fois ne dit rien. David ressentit la secousse brève mais éloquente de la tige de chair congestionné trahissant le plaisir de son ami. Doucement ses doigts dégagèrent le gland large et brillant comme une cerise. Les mains de David rivalisaient de douceurs et d’inventions.
    La tige de chair rose pale de Jérome était striée de veines bleuâtres, gonflées d’un sang plein d’une juvénile énergie. La lente masturbation provoquait des gémissements que Jérome avait de la peine a maîtriser. Doucement dit : Jérome. Prenant une goutte de salive avec le bout de son doigt, David l’étala à la base du gland de Jérome puis doucement se mit à souffler sur la cerise exacerbée. La sensation de fraîcheur sur son sexe gonflé fut un soulagement pour Jérome qui ne contrôlait plus rien. Lentement David reprit son massage emmenant Jérome dans un monde de vibrations puissantes. La bite que sa main caressait était carmin, tendu de désir, brillant de la salive étalée par ses doigts experts. Bleuâtres, les veines gonflées dessinaient un fin réseau violacé le long du membre roide. Jérome râlait doucement, les sensations emportaient son esprit dans un monde qui lui était encore inconnu. David passait alternativement de la caresse a un souffle léger.
    Ensuite approchant de plus en plus, ses lèvres effleurèrent la bite dur. Submergé de sensations, Jérome ne réalisa pas immédiatement le changement de caresse. Son réflexe pour échapper à ce qui était en train de se passer le fit se cambrer. Exactement ce qu’il fallait pour enfourner le gland dégagé dans la bouche de Jérome. Peu à peu l’instrument s’accordait les gémissements de David prenaient de l’ampleur toute résistance évanouie sous la virtuosité de l’artiste. La bouche chaude et humide ondulait lentement sur la hampe rigide. Les lèvres de Jérome enserraient l’obélisque de chair turgescente. Sa langue agile excitait le frein du gland déclenchant des ondes de chaleurs dans le corps tendu de Jérome.
    Peu à peu l instrument s’accorda pleinement à son maître. Ondulant des reins David donna lui-même le rythme. Ses mains légèrement maintenaient la tête de David qui esquissa un sourire de plaisir malgré sa bouche envahie. Le virtuose et l’instrument atteignirent un accord majestueux. Le rythme commun les emportait l’un et l’autre vers des sommets de sensations. Jérome ne pouvant plus supporter l’intensité des sensations, entra en éruption dans un feulement de plaisir. La langue de David envahie par la lave crémeuse torturait encore plus le gland exacerbé, arrachant des gémissements, faisant jaillir des lances qui transperçaient de plaisir le corps de Jérome et prolongeant l’éruption explosive. Le corps de son partenaire vibrait sous l’intensité de la volupté, se cambrant comme tenu par les seules lèvres de David. Peu à peu Jérome redescendit des hauteurs où l’orgasme l’avait emporté. Le souffle court et un peu honteux encore il se retourna s’allongeant sur le lit. David rapidement passé par la salle de bain revint près de lui et doucement caressa la peau lisse et légèrement humide de transpiration. 
    Jérome n’osait le regarder en face encore trop troublé par ce qui venait de se passer. Plus tard les deux amis finirent par rejoindre leurs camarades qui étaient attablés devant un robuste petit-déjeuner. Vous en avez mis du temps lanca le responsable du groupe. De plus vous avez les cheveux encore mouillés ; heureusement que nous ne pouvons pas sortir ce matin. Enfin ! vous êtes présentable c’est déjà cela. On a eu des problèmes avec la douche répondit negligeament David tandis que Jérome avait l’impression que tous le regardaient. Je verrai avec la réception reprit le responsable. D’ici midi quartier libre a tous.
    Jérome soupira de soulagement. Sa première expérience ne semblait pas transparaître malgré les sentiments partagés qu’elle lui inspirait. David revint près de lui et doucement lui dit : « je sens que ce séjour a la montagne va être bien agréable.  

     

    Pas impossible répondit Jérome en souriant…

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     Braquet humide

    J’etais excité comme je l’avais rarement été. Quand Fabien m’a regardé droit dans les yeux en me demandant: »Et à part les bites, t’aimerais pas les jeux de pisse…? » J’ai eu comme un vertige. Fabien, le salaud de vicelard était devant moi, jambe écartées. à se masser le paquet qu’on devinait énorme sous le fin cuissard; il souriait. Il m’a peloté pendant un bon moment, m’a roulé d’énormes gamelles viriles, puis il s’est écarté. « Regarde! » Il a fermé les yeux et a tendu son bas-ventre en avant, gonflé exagérément de sa bandaison. J’ai vu alors une auréole foncer rapidement le tissu, puis unfilet de pisse se frayer un chemin au travers du tissu . Il se pissait dans la cuissard!! Il a rouvert les yeux et m’a souri de manière obscène: »Allez, viens sucer, t’en meurs d’envie! » Je me suis précipité à genoux, reniflant, embrassant la grosse bosses mouillée, me pourléchant, avalant l’engin, avant de tirer d’un coup sec le cuissard et de voir surgir comme un essor la bite de Fabien, congestionnée, courbée, luisante de pisse et d’une abondante mouille. Ah, ce que j’ai pu la sucer et la pomper, tout enme palpant le paquet! Je m’en suis goinfré jusqu’a là en m’enduisant les joues de jus de male. Mais Fabien m’a stoppé dans mon élan. Il m’a dit. »A ton tour, pisse-toi dans le cuissard, inonde-toi, après, c’est moi qui viendrai y foutre nez et bouche! Et après on va s’enculer l’un après l’autre! D’accord? »Alors je me suis concentré et j’ai fermé les yeux….. 

     

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    Mouille!

    « Depuis le temps que tu nous tournes autour, tu vas en avoir pour ton cul! Chris, prends ces cordes, on va l’attacher au cheval de voltige! Pas la peine de gueuler, toi, y a plus personne que nous trois, et on va se payer ton joli petit cul! » On l’a attaché, allongé sur un cuir du cheval, les jambes liée aux deux pieds arrière, les bras entourant l’agrès. On l’avait défringué. Il était à poil, offert, tremblotant. Comme il recommençait à nous supplier »ne me faites pas mal », Chris a trouvé le bon moyen de le faire taire:il a baissé son short et lui a enfoncé son gros dard dans la gorge. Je n’ai plus eu qu’a tranquillement me protéger la trique dans du latex, et vas-y mon pote! J’ai commencé à écarteler ce beau fruit mur. Ce mec mouillait tellement ça l’excitait!! A la manière appliquée dont il suçait Chris, il était au paradis. Ma trique est entrée comme dans un gâteau. Chaud, étroit, doux… Je l’ai pistonné tout de suite, de plus en plus vite. « Salope, vide-couilles, pute, tu les voulais, tu les as!! » Chris, trop excité par la situation, lui a tout largué dans l’estomac, ça n’arrêtait pas de gicler. Moi, il m’a bien fallut cinq minutes de plus à le labourer par de grands coups de queue, à la planter, à le sabrer, avant que je ne balance la purée dans un grand cri. » Tiens, la pompeuse, avale la sauce par le fion, j’t'engrosse, poufiasse!! » Chris, qui n’avait pas débandé, s’était mis pendant ce temps, à se branler à toute allure. Il lui a tout laché en pleine figure….          

     Charter pour les USA

    Je voyage toujours pas cher. Je prends les charters classe économique et le guide du routard. Les avions américains sont, dirait-on, agencés pour ce genre d’histoire.
    Un copain m’avait dit que si je voulais dormir, il fallait que je demande une place au fond de l’appareil. Effectivement, la plupart des voyageurs sont pressés de descendre à l’arrivée. Ils préfèrent attendre au départ. Comme me l’avait dit mon copain, il restait des places libres au fond et j’ai pu m’allonger pour dormir. Le seul problème est que je ne peux pas dormir tout habillé. J’ai attendu que les lumières soit éteintes, j’ai vérifié que tout le monde dormait et je me suis déshabillé. Je ne me suis pas aperçu qu’un mec n’en perdait pas une miette. J’ai roulé mes habits en boule et m’en suis servi d’oreiller pour ne pas qu’on me vole. Une demi-heure plus tard, j’allais m’endormir quand une main me pinça le nez pour m’empêcher de respirer. J’ouvris la bouche pour aspirer de l’air et on m’enfonça une boule de tissu dedans. J’ouvris les yeux et je vis un mec à poil, debout devant moi. Il saisit mes poignets dans sa grosse patte et les réunit au-dessus de ma tête. Il me tourna face aux sièges et se glissa contre moi sous la couverture. Son sexe était collé sur la raie de mon cul. Il se recula un peu et de sa main libre, il glissa son gros manche entre mes jambes. Il commença à se branler entre mes cuisses, d’un mouvement régulier de ses hanches. Après quelques minutes, il prit une de mes mains et l’enroula autour de sa queue. Il tâta la mienne pour voir si je bandais. Tu parles que j’étais raide !
    A l’idée de prendre ce gourdin dans le cul, je mouillais, même. Quand il considéra que j’étais consentant, Il se rassit et me fit relever aussi. Un copain à lui s’amena, aussi nu que nous et s’assit à ma place. Le premier me fit monter à quatre pattes sur les sièges et dirigea ma tête vers le pubis de son copain. J’écartai tout de suite les lèvres pour emboucher sa bite. Le premier remit sa queue dans ma main et je la serrai. Je faisais coulisser la peau, de bas en haut, découvrant en cadence l’énorme gland rose de mon assaillant. Au bout de quelques allers-retours, un jouit dans ma bouche et l’autre sur mon dos. Le gars qui était assis se leva et celui qui était dans ma main prit sa place. Ma bouche fut de nouveau occupée. Le second passa derrière moi. Il me prit par les épaules et me redressa. Je délaissai la bite qui était dans ma bouche pendant quelques secondes. Je sentis dans mon dos, le sperme du mec assis couler jusqu’à la raie de mon cul. A ce moment, l’autre gars me repoussa en avant et la pine pénétra de nouveau dans ma bouche. Pendant ce court laps de temps, le mec derrière moi avait écarté mes fesses. Sa queue avait barbouillé ma raie avec le sperme de son copain et s’était posée sur le petit trou de mon cul. Au moment où la bite du mec assis entra dans ma bouche, son copain força l’entrée de mon cul. Les deux membres étaient complètement enfoncés en moi. Le premier me tenait par les cheveux et faisait glisser mes lèvres le long de sa bite. Le second me tenait par les hanches et son pieu glissait entre mes fesses. Je ne sais pas si c’était voulu de leur part mais leurs mouvements synchronisés faisaient qu’une bite entrait quand l’autre sortait. A la fin, ils éjaculèrent en même temps. Le spectacle n’avait pas échappé à tous. Quand les deux gars se furent retirés, je n’ai pas eu plus de cinq minutes de répit. Un mec s’approcha, me prit par la main et, complément à poil, me poussa vers les toilettes. Nous passâmes devant l’hôtesse de l’air et mon ravisseur mis un doigt en travers de ses lèvres. Il me fit rincer la bouche et me lava les parties génitales. Revenus à ma place, les autres passagers étaient tous réveillés et à genoux sur leurs sièges, pour regarder par-dessus leurs dossiers, un passager se faire enculer par un autre. Finalement, je n’ai pas dormi dans cet avion mais je ne le regrette pas. A l’arrivée, j’étais mort de fatigue. Un de mes cavaliers de voyage me proposa de m’emmener dans une auberge de jeunesse où parait-il je serait accueilli avec enthousiasme. Mais ça, ce sera une autre histoire…..
     

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    Le jeu de la bite 

     

    Jouer avec le sexe. Mieux : jouer avec les sexes ! Oui nous sommes un groupe de copains  on a entres 18-20 ans qui de temps en temps se réunissent pour jouer et s’amuser avec nos bites. Voilà c’est simple je vous raconte ce que nous avons fait par exemple dimanche dernier.
    On arrive tous chez Stephane, on se met tous autour de sa table ronde, on tire au sort et c’est moi qui doit me mettre sous la table à 4 pattes. Le jeu consiste à reconnaitre à qui appartient la bite de chacun. Evidemment on me bande les yeux et évidemment tout le monde se fou a poils, ou simplement se déculotte tout en restant assis. Pour faciliter la tache d’abord je sens et je regarde le sexe de chacun de façon à bien visualiser et donner un « nom » à chaque bite. Ensuite je m’y mets avec grand plaisir sous la table. D’une main je touche et j’excite les 4 queues de mes amis, j’arrive à bien les exciter, d’ailleurs certains aiment bien me toucher aussi. Puis je me mets à l’œuvre. Je commence par le premier : je commencer à bien le sentir : son odorat me fait penser à David, je continue à bien le tâter, puis à le sucer…j’ai un doute son gout me rappelle plutôt Stephane.
    Je continue à sucer mais il ne faut pas arriver au fond ; le jeu consiste justement à sucer au fond que si on devine la personne à qui appartient la bite. Si on se trompe le gagnant a le droit de t’enculer. Alors cette belle bite longue et fine appartient à David ou à Stephane. Je tâte aussi ses couilles bien fermes et plus petites que celle de David. Voilà pas de doute là je suis sur de son parfum aussi, le parfum de cette bite confirme que je suis en train de sucer Pierre. Je prononce son nom tout en le gardant dans ma bouche. Un bravo de tous pour me confirmer que j’ai gagné. Super j’ai le droit de le sucer jusqu’au fond : comme c’est bon : je suce je suce des bons coups de langues avec mes lèvres je serre son gland, je l’entends pousser des cris de plaisir et puis brusquement il lâche quatre jets de ce bon sperme et j’attends que ca se ramollisse dans ma bouche. Ouf c’était bon. Maintenant il faut poursuivre le jeu, j’attrape de mes mains la queue suivante et étant donné sa grosseur son gros volume je devine tout de suite que je vais sucer Laurent. D’ailleurs je n’attends même pas de l’avoir dans ma bouche et je prononce son nom. Facile avec une bite pareille on ne se trompe jamais. J’ai même du mal à l’avaler toute dans ma bouche. Mais c’est bon et elle glisse bien puisque j’ai encore un peu de sperme de Pierre. Je me mets à la tache en lui laissant de temps en temps le plaisir de mêler ma bouche à mes mains bien savantes. Il me gicle dans la figure : et tant mieux je n’aurais pas pu avaler tout ce nectar !! Je passe à la bite suivante, là aussi je reconnais Bruno puisqu’il a une petite bite bien fine et dure. Mais maintenant j’ai une telle envie d’être enculé que je préfère prononcer un autre nom que celui du vrai propriétaire de cette bite bien parfumé. Je commence quand même à la lécher avec gourmandise et je prononce le nom Stephane. Eclat de rire et on m’enlève le bandeau pour que je constate que je me suis tromper : Bruno alors me glisse sur le divan m’oblige à me mettre à quatre patte et tout en me caressant la rondelle glisse petit à petit sa queue fine et dure dans ma rondelle. Et là je commence à hurler de plaisir, c’est bon il me défonce le cul. Mais voilà que Laurent le tricheur  de la bandes vient devant moi et me montre sa queue en érection pour que je la suce. Ce que je fais immédiatement pendant Bruno me laboure sans arrêt. Et là c’est l’explosion, tout le monde jouit en même temps : moi, Bruno dans mon cul Laurent dans ma bouche et les deux autres qui devant cette scène de plaisir se masturbaient comme des fous jusqu’a qu’ils giclent aussi.
    C’est trop bon ce jeu  de baise et on continuera et si l’un d’entre vous veut bien se joindre à nous.

     

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