• Récit 97

    MIKA69MikaManBLOGS.....CLIQUEZ ICI.....

     

    HARD -4

    Je me traîne au ralenti vers les lavabos, la queue pendante sortie du futal posée sur mes boules douloureuses engluées de foutre séché….ridicule, je suis exténué et déprimé. Ces deux connards m’ont foutu la honte et la fiotte me donne des envies de suicide.

    La nausée qui accompagne ma migraine remonte vers l’air libre et j’ai juste le temps d’atteindre le lavabo pour y envoyer une giclée de bile jaunâtre. Je me rince les gencives rapidos, recueille dans mes mains réunies de la flotte dans laquelle je plonge le museau et m’asperge le torse longuement, en laissant dégouliner cette averse le long de mes pecs vers les poils de ma bite qui s’échappent du V de la braguette défoncée. Mon marcel déchiré est toujours passé derrière la tête et rafraîchit mon cou  en s’imbibant de l’eau de cette douche improvisée. Rien pour s’essuyer les pognes. Je vais tirer 2 mètres de papier cul d’un dévidoir cabossé et me sèche les pinces. Ma main  tâtonne vers la poche révolver de mon fut à la recherche de mes tiges et ramène un paquet parfaitement laminé et parfaitement vide aussi.  Putain ! j’ai trop envie de cloper. Je remets mon marcel serpillère en place et sors en titubant. Le couloir est aussi sombre qu’un trou de balle, et c’est à tâtons que je le remonte vers les vivants attiré par les décibels qui hurlent  à l’étage. Je frôle au passage des silhouettes affalées contre le mur ou regroupées autour  du spectacle improvisé d’une baise saignante, et  qui se travaillent le manche dans le halo empuanti et rougeâtre des joints qui circulent. L’air est lourd et les odeurs de sueur, de pop pers et de dope le rendent irrespirable. Je remonte lentement l’escalier vers la lumière en frôlant le mur granuleux de mes paumes et en faisant gaffe où je pose les panards.

    J’écarte enfin la tenture et jaillis dans le bar baigné d’une lumière bleue apaisante pour ma céphalée. Peu de monde à part un trans affalé sur son tabouret devant un verre aux bords chargés de rouge à lèvre, et le barman dont je ne vois que le buste gonflé par des heures et des heures de salle de gym le cou enserré dans un collier à clou, et le cheveu cartonné dans une coiffure de ouf. Il sourit mécaniquement  en essuyant des verres de en faisant jouer les muscles de ses pecs qui tressaillent  chacun de ses mouvements. Ses tétons brun foncé  pointent avec insolence leurs  bouts épaissis par des étirements répétés au milieu de poils noirs coupés ras. Ce salaud se sait beau ! Je me hisse sur mon tabouret et par dessus le comptoir explore la partie immergée de l’iceberg. Le mec n’a sur lui qu’un string de cuir outrageusement gonflé , ses jambes poilues et musclées plongent dans des rangers délaçés. En se tournant pour aller poser sa vaisselle sur les étagères, il expose une superbe chute de reins et un beau  cul galbé au sillon  noirci de poils bien entretenus. Je déglutis autant de soif que d’excitation et commande une pression, une aspirine  et un paquet de Marlboro. Il tire je jus de houblon en penchant légèrement la tête, égalise la mousse et dépose le verre devant moi en y joignant un étui de capote , le tout avec un sourire entendu. A côté il dépose un verre où s’agite fébrilement un cachet effervescent. Pour l’instant je pense qu’à me rincer la dalle et à calmer mon mal de bugne. J’approche mes lèvres des bulles du médoc  quand ma voisine   tourne vers moi un visage mal rasé, mal maquillé mais assez mâle curieusement.

    Son corps pivote également et découvre la fourche de ses cuisses prise dans une mini jupe, plus mini que jupe. Dans la pénombre de l’étoffe et du tissu transparent d’une culote noire, se déploie une bite de déménageur qui distend l ‘élastique vers l’aine et dont le gland s’est échappé du tissus. Il/elle croise haut ses béquilles et dégage deux breloques parfaitement rasées  assorties à sa bite.qui reposent  sagement sur le skaï du tabouret.  Cette vision manque de me faire étrangler  avec le cachet pas tout à fait dissous. C’est hard ! La salope a capté mon regard de biais et me reluque en se tortillant sur son siège comme si celui-ci  était brûlant. Tout en me fixant de ses yeux charbonneux, maman se fourre une main dans le décolleté et exhibe un nibard à la pointe dressée et à la rustine énorme qu’elle caresse lentement. Le barman qui suit le manège de derrière son bar à égaré une main dans son string.  Son sourire commercial s’est chargé de lubricité et sa main se paluche le morcif. J’ai chaud tout à coup. Ma teub n’a pas encore la force de relever la tête, mais un message subliminal a été délivré  à mon  cortex. Alerte à la bombe. Je décide de jouer mon vatout et récupère dans la poche de poitrine de mon blouson un papier soigneusement plié qui a échappé au massacre.

    Je l’ouvre et fait glisser dans ma paume un cachet bleu en forme de losange, le détonateur de ma libido  défaillante. Je l’avale avec une gorgée de mousse et souris gentiment au mannequin- barman qui sait pas encore que je me suis dynamité. Il va être content le gus ! Je finis ma bibine les coudes sur le comptoir en attendant que les bulles du cacheton me bouffent ma tumeur de cerveau et en tirant frénétiquement sur ma cloppe. Je commande une nouvelle  mousse rien que pour le plaisir de mater le matos du minet et vais m’affaler sur une banquette presque aussi défoncée que moi en attendant que  le Viagra  réveille ma testostérone. Je me calle en travers, les pompes sur l’accoudoir fatigué, je dépose mon verre au sol, et la nuque posée sur l’autre accoudoir, je m’enfonce dans un sommeil de dope agité. J’entends des voix lointaines, des rires gras, des bruits de verroterie, je sens comme des ombres  qui se déplacent autour de moi, je me vois beau, putassier, exib et chien. Je m’imagine sans cerveau, dégagé de toute douleur,  et le corps transformé en une énorme bite bandée……plus j’avance dans  mon délire inconscient, plus les bruits se feutrent et se dissolvent dans un murmure incantatoire ….je plane au dessus du canapé, je suis désincarné, et…………….mon sommeil se barre quand je ressens une impression de  froid à un pied.

    J’ouvre prudemment un demi œil et surprends mon barman préféré en train de me sucer consciencieusement les orteils, passant sa langue de salope entre les doigts de mes  panards. Il me chatouille, le con, mais sa bouche est tellement appliquée que je laisse faire histoire de voir jusqu’ou il va aller. Il jette de temps en temps en regard chaviré vers ma tronche et continue de léchouiller comme un chien en rut. Je bouge un peu les jambes comme si je rêvais et ramène ma main sur les poils de mon paquet. Merde, le traitement fait effet, et je sens la sève qui regonfle ma  tige. Elle commence à se déployer majestueusement sur mon ventre, et l’autre doit croire que c’est lui qui me booste. Je me marre intérieurement parce que suis pas fan dingue du suçage d’orpions. A travers mes cils, je devine  les aiguilles de la pendule murale qui inscrivent 06h20 en lumineux, j’ai dû dormir deux heures. Avec un peu de chance, il m’a gardé pour lui tout seul après avoir baissé le rideau de fer en croyant mener le bal. Il va comprendre sa douleur le jeune…Ma bite a retrouvé toute son ardeur et se tend outrageusement vers mon nombril que vient caresser le gland. Mon sang pulse dans mes artères et irrigue mon corps d’un fluide de jouvence. Je durcis tellement que j’ai le trou de balle qui me démange. Bon, fini le bain de pieds, j’entre dans l’arène.

    J’ouvre les yeux et les plante dans ceux de Tom Cruise, qui mâchouille mon gros orteil. Putain il est tellement surpris de me voir en état de marche qu’il se crispe de la mâchoire et cisaille douloureusement mon panard. Je le chope par le collier et le tire vers moi par dessus l’accoudoir en le faisant gentiment glisser sur ma queue. Le petit gabarit du mec me permet de le manipuler comme un bibelot. Sa gueule laisse au passage une trainée de bave de mes couilles à mon sternum et il doit sentir l’accoudoir qui lui rabote les valseuses au passage. Quand sa tronche arrive à ma hauteur, je lui calfeutre les lèvres avec un palot parfumé au houblon. Ma bite frotte la poche de son string. Il ouvre grand son four et sa langue épaisse s’enroule autour de la mienne, il semble vouloir participer. Nos tétons se frottent doucement. Tout en continuant à lui distribuer ma bave, je dégrafe  l’attache métallique qui retient son cache bite. Son chibre libéré de sa poche s’égare dans mes poils et nos couilles  entament un frottage bandant. Il se dégage de ma bouche et continue sa reptation vers le haut….

    c’est maintenant moi qui lui suce au passage les tétons qui durcissent le temps qu’il se retrouve assis sur mon ventre, sa bite congestionnée pointant de son string dégrafé. J’ai à hauteur des yeux une grosse bite à la toison taillée ras, veinée et fortement recourbée ver le haut, et deux balloches soigneusement rasées posée en dessous.  Il avance vers ma bouche à nouveau affamée et y glisse le gland. J’ouvre grand pour enfourner le barreau et accepte l’offrande avec un râle de bien-être. Je sens en même temps une main qui me saisit la teub et entame une lente masturbation jubilatoire. Le Viagra irradie mes artères et me gaine la queue d’une carapace d’acier. Je continue à me visser dans le regard du gus qui sourit, sûr de lui, conquérant, violeur de lèvres…..

    Il se décolle de mon ventre tout en continuant à me tripoter le nœud, et je vois sous ses couilles qui se balancent grave ma propre bite qu’il manipule, prête à exploser, dure et dressée en obélisque. Je passe une pogne sous les couilles de Tom, et d’un doigt léger atteint sa rondelle frisotée de poils que je commence à titiller. Il aime ça  et se soulève encore plus en dégageant un max son anneau que j’investis doucement. Il  gémit et balance sa tête en arrière en sortant un morcif de langue. Je présente les doigts de mon autre main devant sa gueule, et il commence à me les lécher goulûment les lustrant de salive. Le doigt de ma main droite est maintenant complètement planté dans son fion et commence son va et vient dévastateur.

    Il continue à me lécher les phalanges en grognant et je lui force les mâchoires avec mes doigts réunis en pointe, l’obligeant à ouvrir grand sa gueule, libérant des filets de salive qui coulent des commissures de ses lèvres, tombent  sur les poils de son ventre et coulent vers son nœud qui continue à me niquer les nasaux. Mes doigts progressent en élargissant son sourire, se crochètent à sa mâchoire et progressent sur sa langue en secouant le tout. Il se relève un max sur mon ventre, lâche mon missile, s’écarte les fesses des deux mains et s’empale d’un seul coup sur ma bite jusqu’aux burnes. Il peut même pas couiner, je lui ai rempli la gueule de mes doigts et je balance des coups de rein pour pouvoir le niquer plus profond. Il se relève et retombe lourdement  sur mon ventre qui claque sous ces assauts humides. On est tous les deux en sueur et je sens monter le jus…j’ai lâché sa mâchoire et après lui avoir saisi le crête, je tire tout vers moi sa gueule dégoulinante et lui roule une pelle démesurée, mâchoire coincée en position ouverte, dents qui s’entrechoquent et langues qui s’emmêlent. Il se laisse tomber sur mon pieu une dernière fois en m’envoyant direct sur les montagnes russes.

    Ma queue crache des rafales en lui remplissant son cul de salope. J’aurai jamais cru  avoir encore autant de jus dans les balloches. Le mec se cabre après s’être  décollé de mon groin, se soulève de mon ventre en expulsant ma bite qui continue de vomir ses glaires et m’envoie sur la tronche un déluge du foutre qui gicle de son nœud  agité de soubresauts incontrôlés et m’englue les cheveux  et le cou de trainées laiteuses, maculant au passage mes lèvres. Le taré se penche, lèche son foutre sur mes cheveux, suit les trainées à l’angle de ma bouche, descend en léchant le cou et et les pecs, mordille au passage mon téton droit, se recule sur mes cuisses en continuant de laisser trainer sa langue sur les poils de mon bide, nettoie mon nombril au passage et enfourne ma queue retombée sur mon ventre au milieu d’une trainée de jute.  Il me tète gentiment et je lui caresse la crête qui a perdu de sa superbe.

    Mon mal de bugne refait brusquement surface et me poignarde l’arrière du crâne d’une méga explosion nucléaire. La dernière image que j’imprime est celle de Tom, regard enfiévré et lèvres entrouvertes ourlées de trainées de foutre qui s’éloigne de moi à vitesse grand V tandis que les lumières s’éteignent brusquement ...

    Entrefilet dans le Parisien de demain  «  MORT SUSPECTE D’ UN HARDEUR »

    Venin69

    crotale52@gmail.com

    Récit 97

    HARD 5

    Dédicace perso Jérome^^.

    Midi quinze…Jérome est dans le local d’entretien, au milieu de son foutoir, avachi dans un fauteuil de récup tout défoncé dos à la porte, et je vois que l’arrière de sa tête, coiffée d’écouteurs. Il a étendu ses jambes sur l’établi encombré de saloperies et s’amuse  à envoyer vers le plafond, des anneaux de fumée, qui chargent déjà la pièce  d’une odeur acre de dope. J’entends depuis la porte le martèlement de sa zique,  putain ! il va devenir sourdingue le gus !

    …………On s’est rencontré ce matin aux chiottes, lui accroupi sous une vasque une clé à la main en train de déboucher le conduit, moi debout devant un pissoir la queue à la main en train de me l’égoutter. C’est le silence soudain qui m’a mis en alarme radar, ya plus aucun bruit d’outil ! Le mec s’était redressé et a genoux, me mate dans la glace, pas plus gêné que ça !un sourire salace collé à la gueule, et une main trainant vers son entrejambe ; gonflé quand même ! Il est pourtant connu dans la boite comme queutard de meufs, on le surnomme aussi le démonte-pneu, tout un programme.  Ma teub a pris instantanément de l’ampleur et je me suis senti tout à coup à l’étroit dans mon costard de merde. J’ai continué à me la secouer en attendant la suite. Le larron matait toujours, ça commençait à devenir sacrément chaud. Je ne pouvais quand même pas rester là toute la matinée collé à la porcelaine, fallait que je trouve le truc pour ferrer le mécano. Je me suis reculé d’un pas en exhibant mon manche complètement bandé et, tourné vers lui je l’ai  remis dans mon boxer non sans difficultés. J’ai refermé ma braguette, direction  les lavabos, les yeux plantés dans ceux du mec, duel rétinien de reptiles. Je me suis lavé les pognes, l’autre toujours agenouillé à côté dans sa salopette bleue crade ; on aurait presque dit une icône biblique ! Quand j’ai mis en marche le séchoir, j’ai entendu à travers son vrombissement sa putain de voix de mâle lâcher  « A la pause de midi, dans mon local ! » et c’était plutôt un ordre. Je suis sorti des chiottes des scénars plein la tronche, le bruit d’outil avait repris…….

    ……….Midi quinze, m’y voilà, j’ose pas avancer, je referme doucement la porte dans mon dos, et j’attends….« Viens ici salope » ça claque, dur comme un coup de fouet. Je m’approche,  hypnotisé par cette voix rauque hyper virile. Il fait chaud tout d’un coup, j’aurais dû laisser ma veste à l’étage. Je suis à 1 mètre quand il balance brusquement ses jambes sur le lino fatigué, jette ses écouteurs sur l’établi et fait pivoter son fauteuil pour me faire face. J’avais jamais eu trop le temps de le reluquer, un  vrai mâle !Le  cheveux court et noir  en pétard, l’oeil sombre, la bouche gourmande entrouverte sur des ratiches bien alignées, un menton bleui par trois jours sans rasoir. « Approche » Il me choppe par la cravate et m’attire à lui. Je plie et me penche vers sa gueule, nos têtes se mettent en orbite, et nos bouches se télescopent. Nos langues se trouvent et s’enroulent illico.  On goût âcre de Nicot me fouette les papilles. Il tire vers le bas et m’oblige à me mettre à genoux entre ses énormes cuisses. Son regard est aussi chaud qu’un bac à glaçons, je flippe un peu…Tout en me nettoyant la cavité buccale, le mec descend lentement a fermeture éclair de son bleu jusqu’à l’élastique de son slibard au risque de se coincer les poils dans le mécanisme. Il écarte les deux pants de sa salopette en exhibant une moquette sombre frisée, percée de deux tétons aux larges aréoles foncées. Notre bave commence  à  humecter sérieusement  ses pecs . Il rejette la gueule en arrière pour aboyer. « bouffe moi les tétines mec, et mollo…. compris ? » Trop content de me faire diriger je descends  vers ses pointes  bien travaillées, et commence à mâchouiller la marchandise. Le mec kiffe, il feule. Il apprécie le service d’étage. Je commence à avoir la tige qui se sent à l’étroit dans mon alpaga. Putain que c’est bon de téter comme un lardon au milieu de tout ce crin odorant. Je me laisse un peu trop aller quand le mec me fait redescendre brutalement sur terre en m’envoyant deux baffes aller-retour  « doucement j’ai dit, t’as pigé ? » Curieusement, les tournioles me galvanisent et ma bite se durcit d’un coup. Je continue de téter un téton en triturant l’autre entre le pouce et l’index. J’ai bien envie de serrer à nouveau pour me chopper une nouvelle valse, mais une petite voix m’en dissuade, faut pas décourager le client. Je me suis attrapé la teub à travers le false et la caresse lentement en m’attardant sur les burnes alourdies de foutre.

    Il me prend la tronche par les oreilles, et se lève de son fauteuil en se rebranchant à ma gueule. Il fait bien une tête de plus que moi.  « attends, on va s ‘éclater » qu’il me susurre  en me repoussant durement. Je me recule. Il se retourne vers l’établi, y pose un pied, délace sa godasse de sécu en faisant saillir un cul d’enfer, répète l’opération avec l’autre pied.

    « ferme à clé qu’on soit tranquille ma poule » qu’il m’ordonne en se retournant et en balançant ses godillots sur le sol,  le regard toujours aussi noir vrillé au mien. J’ose à peine bouger tellement ce mec dégage une force brute, animale… impressionnant ! Je me retourne vers la lourde, tourne la clé d’une main et en profite pour remettre de l’ordre dans mon service trois pièces. Je jette au passage un œil sur ma braguette surdimensionnée et décorée d’une belle tache de mouille;  j’ai l’air con là ! Je me retourne juste pour voir ce salaud se dépouiller de son bleu, l’enjamber et se laisser tomber dans le fauteuil, le paquet en avant bien gainé par le tissus  de son slibard noir, jambes en équerre.  Une barre énorme déforme le devant du sous-vêt . Il me foudroie de la rétine en pointant l’index sur son bas-ventre. « viens me bouffer le hot dog poufiasse ». Il devient hargneux et lyrique avec çà !  Je m’effeuille de ma veste et reprend derechef ma position d’apôtre entre ses guibolles poilues. Je sais pas par où commencer le pique-nique. Je lèche la torpille sur toute sa longueur en mordillant le gland au passage. Le tissu chargé de bave dessine bien les contours de l’engin. J’ai replongé vers ma braguette et sors mon zob  tendu comme une bretelle d’obèse. Je modifie mon circuit de suce et descends vers les boules qui me semblent bien lourdes. Des poils dépassent des entrejambes du slip, fleurissent le nombril et remontent vers le poitrail  à l’assaut des tétons, pour  finir sous le menton en forêt bien taillée . On sent curieusement le mec soigneux de sa personne. J’ouvre ma ceinture, dégrafe mon futal , passe une main impatiente dans l’ouverture du calbut  et reprends ma branlette.perso,  en caressant du bout de l’ongle mon œillet qui pulse derrière les balloches. Je lisse en même temps  le tissu de son moule boulles de bas en haut avec ma langue de bovin. J’en peux plus, il me faut ma récompense, maintenant ! Je tire sur  l’élastoche du Diesel et met à jour « the monster » une putain de tige bandée à fond aux veines apparentes. Un gland hyper développé coiffe l’engin de son champignon violacé. Tout ça émerge d’une broussaille de poils. En dessous reposent deux balloches énormes, ovales, à la peau granuleuse, bien pendantes. Je vais me goinfrer ! Je commence par téter le champignon en mouillant bien le chapeau ; j’insiste sur le « col roulé » et titille le méat du bout de la langue. Jérome hennit  sous l’assaut et décolle son cul du fauteuil en se cabrant. Ma main caresse mon braquemard , bien enfoncée dans ma braguette.. De l’autre je lui étire les valseuses et m’enfourne son zob en entier dans la gueule, en le lustrant de ma salive d’alliéné.

    Je le pompe tellement profond que des larmes ruissellent sur mes joues. Il me remonte avec la cravate et tout en me forçant les lèvres, saisit les deux pans de ma chemise et les déchire sans ménagement en envoyant valser les boutons. Je me retrouve dépoitraillé la queue bandée un max sortie de mon pantalon, le gland ourlé d’un filet de mouille. Jérome a posé ses deux pieds sur les accoudoirs et les jambes écartées, a dégagé sa rosette. Je lui soulève les joyeuses, étire ma pelle à tarte un max et lui fouraille dans les poils du cul à la recherche de son anneau. Bordel, il est bien ouvert et ma langue force son muscle à merde et lui investit les boyaux. Faut qu’on se calme, sinon il va se casser la tronche à jouer l’équilibriste. Il  me repousse en descendant de son perchoir, m’attrape à bras le corps, et me dépose à genoux sur son établi dont il a déblayé la surface d’un revers de bras. Je lui tourne maintenant le dos, cul cambré et queue plaquée au nombril, hors de la braguette. Il dit rien, je l’entends souffler fort. Il me malaxe le fessier. J’entends un craquement sec quand il fait péter les coutures de mon futal. Il en écarte les deux parties et me détruit idem le calbut sans difficultés. Je me retrouve en haillons, le trou de balle offert a ce taureau en rut. «  allé, on va pas perdre de temps, ma poule, écarte bien les miches » Je me retrouve le trou investi par sa langue qui me fouille patiemment le fondement. J’y tourne le dos mais du coin de l’œil je le vois attraper  une burette d’huile et je sens simultanément un liquide qui me .coule sur le fion. Ce sale con est en train de me graisser le conduit. J’ai pas trop le temps de penser à mon avenir que déjà sa bite pousse son museau dans mes intestins. Il m’attrape par les hanches et m’empale d’une seule poussée sur son  ogive nucléaire en grognant. J’ai l’impression de me faire travailler le cul par un tisonnier chauffé à blanc. Je hurle de douleur, puis rapidement j’apprécie la saillie. Il pistonne  mon arrière-train avec application en tirant sur ma cravate comme sur des rênes. Je me suis saisi la tige et me branle frénétiquement en me reculant le plus possible pour bien le sentir en moi. Il tire comme un malade sur cette laisse improvisée en me mordant le nuque. A chaque poussée,  mes genoux  décollent de l’établi. Il lâche a cravate m’attrape la tête et la tord méchamment en me crachant à la face. Je lèche ses coulures de bave et lui restitue ses  glaviots.  Il décule, me retourne  et me couche sur sa table de travail, cuisses grandes ouvertes. Je lui fais maintenant face. Il me domine de toute sa masse. Son regard cherche le mien et s’y plante sans concession. Il vise mon œillet et replonge illico. Il récupère sur ma joue une trainée de salive. Il se lèche les doigts et me les fourrent direct dans la bouche en me branlant les ratiches. Il turbine de plus en plus fort en m’insultant grave. Son poitrail est complètement détrempé et des rigoles de sueur sillonnent ses flans. Il dégage un vrai fumet de mâle et j’ai envie de me perdre dans ses odeurs. Il retire sa main de ma gueule, reprends la cravate et me plie vers lui en continuant à me mitrailler la prostate. Je plonge mes lèvres dans sa fourrure. Il saisit mon zob et l’astique au même rythme que ses coups de boutoir. Ses insultes deviennent de moins en moins cohérentes. Je sais qu’on va venir en même temps et j’ai le foutre qui rapplique de mes valseuses. Il émet une litanie qui monte en puissance, il ulule littéralement en me repoussant sur l’établi pour bien me dominer du regard, et il nous libère enfin en sortant de mon cul avec un bruit mouillé et en envoyant des trainées de foutre  jusqu’à ma tronche. Je jute en même temps et nos semences se éclaboussent  mon ventre……………

    …………….Midi vingt ! Fin du film……..Il est toujours de dos, les décibels à fond, et ne m’a pas entendu. Il n’a pas bougé. Je recule d’un pas, trouve à tâtons la poignée de la lourde et ressort lentement dans le couloir en refermant sans bruit. J’ai une putain d’érection  de malade !.................

     

    Venin69

    crotale52@gmail.com

    « Récit 96Récit 98 »
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter