• Récit 96

    MIKA69MikaManBLOGS.....CLIQUEZ ICI.....

     

    HARD -2

    C’est la gueule ourlée d’un filet de bave bileuse que je me remets sur mes quilles. J’ai les paumes des mains dégelasses d’avoir trainées sur le sol crade, je les essuies sur mon blouson.

    Curieusement ma migraine me fout la paix, mais mon cul me rappelle la saillie que je viens de me prendre. Je me palpe l’oignon pour évaluer les dégâts, et ramène sur mes doigts le trop plein de foutre qui  s’écoule lentement  de mon fion dilaté.  Je remonte tant bien que mal  mon froc en repliant ma queue sous le V de la braguette dévastée. Il faut que je fasse une station aux gaugues histoire de remettre un peu d’ordre dans ce bordel. Je longe un couloir aussi dégueulasse que le reste de la baraque et trouve enfin la porte des chiottes couverte de dessins explicites. Explosion crue de néons ! A droite, des pissoirs crades aux écoulements bruyants, à gauche un alignement de portes  pour la plupart ouvertes.

    Personne …. Bon, il faut d’abord que je recrache le foutre qui me tapisse l’intestin. Je rentre dans la première cabine et repousse simplement la porte….on sait jamais….. Le sol est mouillé de pisse et  des feuilles de papier cul humides tapissent  le carrelage. La cuvette encrassée de traînées de rouille n’a plus de lunette. Je descends mon cuir, m’assois sur la faïence qui me gèle les cuisses et pousse pour évacuer la semence qui me remplie le derche. J’entrevois un mouvement imperceptible sur la droite, venant d’un trou circulaire percé dans le mur. Un visage bouge derrière l’ouverture et un œil inquisiteur me détaille sans complexe.

    Illico j’ai la libido qui s’échauffe, et ma queue se déploie doucement contre la cuvette. Je sais le mec attentif, il va pas être déçu…Je soulève ce qui reste de mon marcel, et le passe derrière la tête. Je me recule et appuie mon dos à la chasse. Je plonge ma main entre les cuisses que j’écarte un max pour qu’il n’en perde pas une miette. J' empoigne ma queue qui commence sérieusement à se relever. Le prépuce recouvre encore le gland. De l’autre main je me choppe les valseuses que je triture puis ma main se déplace vers mon cul ou je récupère une coulée grasse de sperme. Ma queue est maintenant entièrement  bandée et je la badigeonne de foutre pour bien la graisser. Je me paluche lentement d’une main, de l’autre je me triture les tétons. Le voyeur n’en perd pas une goutte et j’entends sa respiration s’accélèrer. L’œil a disparu du trou et j’entends un bruit de ceinture qu’on dégrafe, puis le zip d’une fermeture éclair.

    Putain ! il se dessape, ça va donner ! Ma main continue d’astiquer popol, je me sens de plus en plus lubrique. J’approche ma tronche de l’ouverture pour mater mon voisin de stupre quand apparaît par le trou l’œil suintant d’un gland dilaté. Le reste du matos avance vers ma gueule à nouveau affamée et se déploie dans ma cabine. Deux grosses boules velues se posent sur le bord de l’ouverture. J’en reviens pas, à croire que j’attire tous les démonte- pneus du coin. Le chacal à une grosse pine veinée, épaisse comme un bras de bébé.

    J’ai faim, j’ouvre en grand les mâchoires pour engloutir la bête. Le gland s’enfile difficilement dans mon trou à gerbe exhalant au passage une odeur de foutre et de vieille pisse. Putain, il va me déboiter la mâchoire le con ! je suis affamé et mes dents raclent gentiment je manche qui progresse vers ma trachée, il me gode littéralement les amygdales, j’en pleure. Mes lèvres enserrent le barreau qui bute contre la glotte, je crois que vomirais  si j’avais encore quelque chose dans l’estomac, et des litres de bave coulent de mon menton. Je suis prêt à recracher le morceau quand des poils odorants viennent me chatouiller les narines ; j’ai réussi à ingurgiter cette matraque, je trouve ça balèze. Mon tringleur arrive en bout de course et je commence donc un retrait stratégique. Je recule doucement, replonge illico, et prend un rythme de croisière que je commence à maîtriser. Ce soir je me vais niquer par les deux bouts et j’en redemande. Je choppe les deux couilles et les étire un max. Le mec grogne des mots inarticulés et je le sens chaudasse, il a envie de me remplir de foutre, c’est un vicieux. Je veux son lait, je veux qu’il gicle, qu’il me féconde par la gueule, je veux être sa fiotte, sa poubelle, son chiotte,.

    Mon dard est en ébullition et je ressens les spermatos qui frétillent dans mes balloches en attendant d’être expulsés. Je lâche ses burnes et descend derechef  me doigter en décollant mon cul de la cuvette. L’autre se ventouse à la cloison, sa bite huilée par ma salive accroche par intermittence des lueurs de néon. Je suis maintenant déchaîné et décrasse son zob avec des bruits d’aspiration humide. J’ai deux doigts dans le derche et je m’encule comme un grand en plongeant de plus en plus vite dans mon œillet. Ma bouche s’active comme une trayeuse. Mon Jules m’insulte dans un langage ordurier qui augmente  mon excitation, ma main aiguise ma teub mes doigts branlent ma rosette. Le mec s’agrippe des deux mains au haut de la cloison et balance son bassin contre le mur comme un dingue. Je le sens venir……

    Sa queue se tend, il se met à gueuler son gland se dilate et il m’envoie au fond de la gorge des giclées d’acide que j’avale au fur et à mesure au manque de m’étouffer. Je recrache le dard qui continue de déverser son venin dans mes cheveux et sur mes joues en arrosant au passage les poils de mon poitrail. Je décolle en même temps et explose en braillant. Je me redresse enfourne ma bite dans l’ouverture au dessus de sa teub engluée et décharge à l’aveugle ma laitance dans sa toison et sur ses burnes. J’en finis pas de me vider et le trop plein de foutre dégouline le long du mur quand je m’en écarte en étalant la semence sur mes pecs. Le cerveau encore tétanisé par l’exercice, mon anus expulse les doigts.

    Je me rasseye sur la cuvette et après avoir léché les trainées de foutre sur le mur, je tète une dernière fois la bite qui commence à débander et qui se retire doucement. Je me retrouve comme un con, la gorge irritée par ce pilonnage en règle,la fourrure engluée et mon mal de tronche qui se repointe. Le temps que mes neurones passent à l’adoucissant, quelqu’un pousse la porte de mon chiotte, et je vois s’encadrer dans l’ouverture une silhouette mastoc ; un putain de mec torse poil, les tétons épais comme des pouces de charcutier, connectés à des pinces reliées par des chaînes. Un cuir ouvert  sur une queue dégonflée mais épaisse expose une broussaille de poils trempés de jute. Les balloches pendent  lourdement au dessous.

    Son falzar s’enfonce dans ses bottes. Putain !  si c’est mon  partenaire de jeu d’à côté, il cherche le contact. Je sens que ça va être salace. Il me toise méchamment s’avance et m’attrape la nuque en ordonnant d’une voix graissée par la nicotine « décape mes bottes sale fils de pute » Il avance d’un pas, appuie sur mon cou pour me faire mettre à genoux, me file au passage une torgnole pour assurer l’ambiance et me plie vers ses godasses qui ont dû délaisser définitivement le cirage. Il tire en même temps sur la chaîne et se martyrise les nibars. Je me retrouve à quatre pattes, les genoux et les mains dans la pisse, et ma langue commence son boulot de ravalement. J’ouvre la gueule en grand pour sortir un max ma cireuse que je promène sur le cuir fatigué. Il a dû naviguer sur un tas de fumier le mec, ses gondoles fleurent la fosse septique, et ça me redonne la gaule. Je lèche avec entrain en m’appliquant sur les coutures.

    Je graisse avec ferveur ces deux morcifs de vache en gambergeant comme un aliéné, j’aimerai qu’il me dérouille, je suis sa chose. Il me saisit par les oreilles, tire vers le haut et m’ordonne d’ouvrir la gueule. J’ai mal aux feuilles mais je me tais et ouvre grand le four. Il remonte un glaire et m’envoie dans le gosier son glaviot bien gras d’actionnaire de la Seita. J’avale la gourmandise   et me lèche les commissures pour ne rien gâcher. Mon Maître a l’air d’apprécier et me refile une baffe au passage histoire de maintenir la pression. Je me touche la teub qui se redresse. J’ai des envies de décadence qui commencent à me titiller le cortex, quand mon dresseur ouvre les vannes à fond et m’envoie un jet de pisse puissant qui me détrempe les tifs, imbibe le marcel et ruisselle jusqu’au sol en ruinant définitivement le peu de dignité qui pouvait me rester. La douche n ‘en finit pas et j’ouvre grand le gosier pour pouvoir me gaver. Je branle mon zob qui a doublé de volume, j’ai encore envie de cracher. Bordel, je suis possédé ! L’autre n’en finit pas de m’inonder, il a dû se retenir de pisser depuis sa première communion…. 

    la vidange s’éternise et moi je me masturbe maintenant à deux mains. Ma queue doit fumer sous la friction. J e sens que ça vient et je gueule toutes les saloperies qui embrument ma tête. Mon Maître se marre et commence à  se palucher aussi, il a fini de pisser. Quand j’atteins le point de non retour, je me cabre, la nuque sur la cuvette et je me vide en partie sur ses bottes, en envoyant des fusées blanchâtres dans toutes les directions, et en hurlant mon plaisir comme un chien. Mon mufle s’avance pour téter mon donneur et je ne rencontre que le vide…..

    Il est parti se finir ailleurs…………( a suivre)

    Venin69

    crotale52@gmail.com

    Récit 96

    HARD -3

    Je suis plus entamé que la soirée. J’ai la tête aussi vidée que mes burnes et je me sens con, affalé à genoux dans ces chiottes déguelasses. J’ai le mal au crane qui remonte en volume. Je me remets debout avec peine  et me dirige vers les lavabos  pour me décrasser la devanture. J’ai super soif, ma gorge est ensablée! L’image que me renvoie le miroir piqué de rouille ferait reculer une charge de hussards. Mes yeux sont enfoncés dans leurs orbites et les cernes qui les soulignent me transforment en wanted….. le reste de mon marcel est un vrai torchon mon futal est nase et mon blouson plein de trainées de foutre. Je passe mes pognes sous un filet d’eau glacée et m’asperge la tronche. Je me masse la nuque au passage, histoire de me réveiller les neurones et me penche pour téter le robinet.

    L’eau a un goût de rouille, mais c’est assez pour ma pépie galopante. La porte s’ouvre et quand je relève la tête de l’abreuvoir, deux mecs passent derrière moi un sourire tordu aux lèvres et le regard enfiévré de visions d’apocalypse. Ils me matent dans la glace  et stoppent devant la porte d’un chiotte en se roulant une pelle profonde. Tous les deux  s’agrippent en se ventousant et en continuant à loucher  de mon côté. Le plus Jules des deux a une salopette noire à moitié ouverte sur un large poitrail tatoué et un anneau transperce son téton gauche. L’autre à l’allure plus fiotte est en ensemble jeans dont il a dû enfiler le bénard au chausse-pieds, le haut ouvert sur une poitrine étroite de gamin impubère. En se refilant leur salive ils oscillent sur leur base, et c’est dans l’angle du mur d’une cabine qu’ils se calent en laissant la porte ouverte. Mon angle de vision me permet de reluquer leur lutte lubrique.

    La fiotte coincée dans l’angle du chiotte remonte ses jambes autour de la taille de l’autre  sans décoller sa gueule de celle de son jules.  Ils grognent comme des porcs à qui on essayerai de  piquer la pâtée. J’ai la rétine hypnotisée par leur danse nuptiale et ma queue que je croyais définitivement out se réveille insidieusement. Les deux salopes ont remarqué mon intérêt pour leur prestation, et salopette tourne la tête vers moi par miroir interposé en me renvoyant sa tronche luisante de salive. Je me retourne doucement vers eux en me triturant le paquet. Je m’adosse au lavabo et sort mon paquet de tiges. J’en allume une et continue à mater les acrobates. La fiotte a décroisé ses guibolles et s’est hissée sur le rabat de la  cuvette, la braguette déformée à hauteur de la gueule de son compère.

    Ce dernier descend rapidement le zip de la bragouse, trifouille dans le calcif et en extirpe une bite  encore flasque d’une longueur hallucinante, au prépuce développé. L’acrobate pousse son partenaire sur le côté afin que je puisse mater la bête. Putain c’est du beau, j’en salive. Je louche sur le morceau de choix que commence à emboucher « salopette ». Ma main repart vers mon vestige de braguette et plonge dans les poils engluées de ma teub afin de l’extirper du futal. Elle commence à reprendre vie et mon gland congestionné réagit.

    C’est pas croyable, j’ai une bite à tête chercheuse ! Et  merde ! j’ai fini ma Marlboro et je suis en train de téter le filtre allumé, ça pue ; ces deux salauds me piratent le disque dur.  Ils se décalent de biais pour que j’en perde pas une goutte. Salopette à fait glisser  le bénard de l’acrobate et le caleçon sur ses cuisses et s’empiffre de sa gaulle comme un affamé en massant ses couilles entièrement rasées. Il descend en même temps la fermeture éclair de son protège cambouis et sort une bite bandée très large au gland hyper gonflé qu’il commence à branler lentement. Toujours adossé au lavabos je crache dans ma main,  m’empoigne le manche et commence une stube rythmée sur le tempo de « salopette » La fiotte s’est appuyée à la cloison et avance son bassin vers la gueule de l’autre qu’il baise littéralement. Sa bite entièrement bandée  entre et sort du gosier du suceur gainée de trainées de bave. C’est du travail d’artiste ; le suceur réussit à engloutir cette bite à rallonge jusqu’aux burnes. Quant il recrache le morceau dans un gargouillis de salive, on se croirait dans un numéro de Majax, c’est proprement incroyable.

    Ma teub est maintenant déployée et l’envie de m’inviter dans leurs ébats me décolle de la faïence. Je m’avance mollo vers la piste de danse, la bite en étendard, j’aime pas me prendre des râteaux. Les deux salopes continuent leur numéro de oufs en gardant un œil faussement détaché sur mon avance millimétrée. La fiotte poignarde les lèvres de l’autre sans ménagement, un sourire mauvais accroché à sa face d’ange. Salopette se débranche du mandrin en toussant, le temps de dégager ses épaules du vêtement en le laissant glisser à terre.

    La bite délaissée claque contre le ventre du donneur toute luisante de salive le gland encore recouvert de sa couronne de peau. Salopette replonge vers son jouet en écartant les parois du prépuce avec ses doigts, pour titiller du bout de la langue l’œil du gland qui commence à délivrer  des coulées de mouille. L’œil de la fiotte, lui,   surveille ma reptation prudente un sourire tordu toujours accroché à sa tronche. Je sais qu’ils n’attendent que ça et cette acceptation muette m’excite drôlement. Ma céphalée rempile et le dernier mouvement du boléro de Ravel se déclenche dans les méandres de mon cerveau en poussant vers mes lèvres une hoquet de gerbe. Ma main coulisse bien sur mon chibre, et je me retrouve contre le dos nu de salopette qui a repris  son polissage. Je pose gentiment ma main gauche sur son épaule pour qu’il sache que je suis là, juste à côté d’un tatouage  s’exhibant d’une clavicule à l’autre et  représentant une esquisse de voilier  soulignée par cette inscription …ET A VAPEUR. 

    Marrant le mec il est reverse ? . Il reçoit mon effleurement avec un tressaillement imperceptible de l’épaule et continue à pomper. La fiotte me fait un clin d’œil en se baladant le bout de la langue sur la commissure des lèvres, une vraie salope celui-là. Je suis accepté dans le clan, je peux me lâcher ! ma main droite continue sa branle, la gauche descend doucement dans le dos de salopette en effleurant sa colonne vertébrale, pour atteindre le fente de son cul salement poilu. Je descends entre les fesses que la sueur a détrempées et tâtonne vers l’œillet.  Il grogne en écartant imperceptiblement les cuisses. Putain, je vais pouvoir le doigter. Je me mouille  bien le majeur et repars en exploration. La fiotte qui a suivi le mouvement pilonne le gosier de salopette en accéléré en lui agrippant les tifs. J’ai réussi à trouver son trou de balle que j’investis  brutalement. Le téteur s’acharne sur le morcif de barbaque qu’il décape rageusement en se reculant pour que je puisse le pointer plus profond.

    Mon doigt est entré complètement dans sa gaine et suis le rythme de  ses aspirations baveuses. Je me branle en mesure, pendant que le Boléro se déchaine et désintègre mon cerveau. La fiotte accélère encore, la main agrippée à la tignasse du suceur qui accompagne mon intrusion d’un mouvement saccadé du bassin. La tension monte, l’image se fige un millième de seconde quand la fiotte atteint son point de non retour et explose dans la gueule de salopette en lui coinçant la tronche contre son bas ventre, et en couinant des blasphèmes de postes de garde . Ma main lâche ma teub qui n’est pas prête à la décharge et s’empare de celle de salopette qui essaie d’avaler les flots de purée qui giclent dans son gosier.

    Je m’accroupis rapidos le fait pivoter vers moi et enfourne son bazooka : à croire qu’il n’attendait que ça pour cracher lui aussi. Je reçois sur les amygdales une décharge de foutre à faire travailler la banque du sperme pendant des mois ; mon doigt lui sonde la prostate. Il ne peut pas gueuler, la bouche envahie par ce déluge de sperme, mais on sent qu’il s’éclate. Il me redresse en m’empoignant par le colbac, et me roule une pelle vitaminée où nous mêlons nos semences. La fiotte se courbe de son perchoir et vient lécher les coulures qui maculent nos mentons. Nos trois langues s’emmêlent bientôt dans une partouze de foutre.

    La fiotte descend enfin de son piédestal en manquant de de s’éclater la tête avec son falzar  descendu aux chevilles, et en me regardant droit dans les yeux avec son sourire de pute, descend au niveau de mon zob. Sans quitter mon regard, il enfourne ma bite qui s’est  dégonflée de fatigue et commence une fellation quatre étoiles. Mon mal de bugne m’envoie des éclairs fulgurants derrière les yeux t. La fiotte s’applique de sa langue de velours sur mon manche malmené. Salopette qui a noué les manches de sa tenue autour de la taille, me fait rouler les boulles dans une de ses pognes, pendant que de l’autre il me malmène les tétons. Je sens que ma matraque se remet à la fête et que ma bite retrouve un ultime sursaut. La fiotte me fixe tout en s’acharnant sur mon zob qui se gorge de sang .

    Ce petit salaud connaît la musique et déglutit bruyamment tout en cherchant ma pastille à travers les poils de mon cul, qu’il visite d’une main fureteuse. Je m’ouvre comme une moule et accueille son doigt avec reconnaissance. Il me traie avec ardeur et me défonce le trou de balle pendant que l’autre salope me détruit les nichons. Je sens que je vais lui remplir la gorge de mon lait et je lui maintiens le nez dans ma toison, le temps de décharger mon purin. L’envol est soudain et pendant un instant, je ne sens plus mon corps qui s’élance vers l’enfer. Dans un cri ininterrompu  j’ouvre mon conduit à foutre…..

    La fiotte attend les yeux crochetés aux miens et la langue tirée que je lui balance la sauce……. Rien ne sort de la tubulure, j’ai trop donné dans la soirée. Il retire son doigt de mon cul , remonte son jeans rapidement en se redressant et en me bousculant, sort de l’ère de jeu suivi de salopette qui n’a rien compris, en me traitant au passage de « putain de fiotte, impuissant »….c’est un comble…. (A SUIVRE)

    Venin69

    crotale52@gmail.com

     

    « Récit 95Récit 97 »
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter