• Récit28

    Récit28

    Récit érotique écrit par Sexyman.
    Auteur homme  

    Une première expérience gay


    J’ai 27 ans. Je ne crois pas être gay. Enfin, j’ai toujours été attiré par les femmes.
    Toutefois, une expérience récente me fait douter de moi. Je ne sais plus trop qui je
    suis et où j’en suis. En effet, il y a environ 7 semaines, j’ai eu un grave accident
    d’équitation. Mon cheval s’est emballé, je suis tombé et en voulant amortir la chute
    avec mes bras, je me les suis fracturés en plusieurs endroits. Bref, ce n’est pas le
    but de mon récit, mais vous devez savoir que je me suis retrouvé les deux bras
    plâtrés, dans l’impossibilité de les utiliser.
    J’ai dû faire appel à des aides à domicile. La plupart du temps, c’est Patrick, un
    infirmier, qui vient le matin pour mes soins. En après-midi, une aide- soignante,
    Isabelle, passe pour me donner un coup de main. Elle est très jolie, j’en suis fou.
    Mais je ne me sens pas très viril, immobilisé et dépendant de la sorte, alors je n’ai
    pas tenté de la draguer malgré mon envie. Au moins, si on m’installe l’ordinateur à
    bonne distance, j’arrive à utiliser mon clavier et ma souris de la main droite, alors
    je passe beaucoup de temps sur Internet, je m’ennuie.
    Il y a quelques jours, après 6 semaines d’immobilisation, je me suis réveillé avec une
    énorme érection. Je venais de faire l’amour à Isabelle en rêve, j’étais en manque de
    sexe, cela faisait des semaines que je ne pouvais même pas m’adonner à des plaisirs
    solitaires, j’avais l’impression que j’allais exploser. C’est alors que Patrick est
    entré dans la chambre comme tous les matins en me disant que c’était l’heure de ma
    toilette. Je ne savais plus où me mettre, j’étais mal à l’aise. Je lui ai dit que je
    pourrais déjeuner d’abord pour une fois, en essayant de réprimer cette érection qui
    tombait à un mauvais moment. Mais rien n’y faisait. Il m’a demandé ce que j’avais à
    faire des caprices ce matin, en riant et en soulevant mes draps. La honte… On devinait
    bien sûr tout à travers mon pantalon de pyjama. J’ai détourné le regard, balbutié des
    excuses, précisant que ce n’était pas facile 6 semaines d’abstinence, que j’en avais
    mal aux couilles… C’est alors que j’ai senti sa main se glisser dans mon pantalon.
    Elle était douce et lentement, s’est mise à me caresser le sexe. J’ai voulu lui
    demander d’arrêter, mais j’étais tétanisé. En essayant de reprendre le dessus sur ma
    queue, je lui ai tout de même dit : « Non… je ne suis pas… » Sans me laisser le temps
    de terminer, il a mis sa main sur ma bouche, en murmurant : « Chuuuuut … Détends- toi,
    tout va bien… » Puis j’ai senti son souffle chaud sur mon pénis qui s’est fait
    engloutir dans la chaleur humide de sa bouche.
    Je sentais sa langue, douce, agacer mon gland et il s’est mis à faire des mouvements
    de va-et-vient langoureux, comme pour me narguer, voyant mon désir qui grandissait. Je
    me suis laissé faire, incapable de dire non à une fellation aussi parfaite. C’était
    comme si Patrick savait exactement comment faire pour me donner du plaisir.
    Ses mains ont soulevé mon T-shirt et se sont mises à caresser mon torse, plutôt bien
    musclé je dois dire. Je m’entraine au gym en temps normal. Il a dû aimer parce que sa
    bouche a alors quitté mon sexe pour remonter sur mon abdomen et titiller mes mamelons
    alors tout durs. J’ai ressenti des frissons partout. Il s’est alors dévêtu
    complètement et je me suis surpris à le trouver sexy. C’est certain qu’il doit aussi
    faire du sport. Il a posé ses cuisses de chaque côté de mon visage et m’a plus ou
    moins contraint à avaler son pénis. C’était un membre de bonne taille je dirais.
    C’était la première fois que j’avais un sexe masculin en bouche, je ne savais pas trop
    si j’aimais, mais je me suis appliqué à le sucer du mieux que je pouvais, pour lui
    rendre la pareille. Je l’ai entendu gémir doucement. J’ai trouvé ça excitant. Après
    quelques minutes ainsi, il s’est retiré, a mis son index en bouche, puis tout en me
    suçant à nouveau, s’est mis à me masser l’anus de son doigt. J’ai eu une réaction de
    peur, mais son doigt pénétrait déjà mon cul avant que je ne puisse protester. C’était
    une sensation étrange et complètement nouvelle pour moi. Son doigt allait et venait,
    puis son travail s’est concentré sur un point de mon rectum particulièrement sensible.
    J’ai laissé échappé malgré moi un « aaah » de plaisir et j’ai cru que j’allais jouir.
    Patrick m’a dit : « Pas si vite, prends ton temps .» C’était facile à dire, ce n’est
    pas lui qui se languissait depuis des semaines ! Il a alors retiré son doigt, a écarté
    mes jambes en les relevant, a craché dans sa main et m’a mouillé l’anus. Je
    comprenais bien où il voulait en venir. J’oscillais entre désir et panique. J’ai
    réussi à bredouillé un petit « non » peu convaincant, puis son gland s’est mis à faire
    pression entre mes fesses. C’était de petites pressions, comme pour amadouer mon anus
    vierge, et son sexe s’enfonçait de plus en plus en moi. J’ai ressenti une douleur me
    traverser le rectum, j’ai sursauté. Patrick s’est arrêté quelques instants, pour me
    laisser m’habituer à cette nouvelle présence en moi. Puis il s’est lentement mis à
    faire des aller-retour dans mon cul. Je sentais sa queue chaude me caresser
    l’intérieur. Puis, comme avec son doigt, il a probablement stimulé ma prostate parce
    que l’inconfort a peu à peu laissé place au plaisir. Mon pénis devenait de plus en
    plus gonflé. J’entendais sa respiration s’accélérer. Il m’a dit : « C’est trop bon,
    ton cul est si serré. » Il m’a raconté à quel point je l’excitais depuis des semaines
    et comment il avait l’intention de me faire jouir. Sa bouche s’est approchée de la
    mienne et il m’a embrassé. Nos langues se sont emmêlées. Je l’ai alors enlacé de mes
    jambes. J’ai senti son corps se presser contre moi, son abdomen frôler le mien. Je me
    suis mis à utiliser mes talons pour l’attirer en moi. J’ai soudain senti que je
    n’allais bientôt plus savoir me retenir longtemps. J’ai chuchoté : « Fais-moi jouir. »
    Il s’est un peu relevé, sa main s’est enroulée autour de mon sexe ferme, le caressant
    de plus en plus vite. Nos respirations se sont accélérées encore, nos corps sont
    devenus moites, la cadence des va-et-vient augmentait, j’ai senti tout son corps se
    cabrer, j’ai été pris de soubresauts incontrôlables et nous sommes venus ensemble,
    dans des cris d’extase et de libération. Il a ensuite retiré son pénis, s’est collé à
    moi et nous sommes restés ainsi, silencieux, pendant de longue minutes, lui me
    caressant et moi malheureusement dans l’impossibilité de le faire.
    Depuis, j’y repense sans cesse. Isabelle continue à me faire autant d’effet, mais
    Patrick m’obsède. Je ne l’ai pas revu depuis, il paraît qu’il est malade. J’aurais
    besoin de lui parler, mais en même temps, je redoute cette conversation. Je ne sais
    pas à qui me confier, alors je vous raconte tout.

    Une première expérience gay partie 2 - des soins très intimes


    Pour des raisons de santé, Patrick n’était pas revenu chez moi depuis mon « baptême » homosexuel. Comme je vous le disais à la fin de mon dernier texte, j’étais fort troublé par ce qu’on avait vécu ensemble. Suis-je gay ? Bisexuel ? Juste curieux ou en manque ? Hier matin, la dame qui l’a remplacé m’a souhaité bonne chance pour la suite de ma convalescence, puisqu’elle ne devait normalement plus revenir, Patrick reprenant le travail. Je me suis donc réveillé très tôt ce matin-là, anxieux et en même temps excité. Je l’attendais… Les minutes me paraissaient plus longues qu’habituellement, un peu comme quand on attend un coup de téléphone important qui tarde. C’est alors que vers 8h30, j’entendis enfin la clé tourner dans la serrure. Les pas de mon infirmier résonnaient dans le couloir, tel mon cœur qui battait la chamade. Mes mains sont devenues moites. Comment allais-je l’aborder ? Avec les femmes, les choses semblent pour moi plus naturelles, mais avec un homme… La porte de ma chambre s’est ouverte, il m’a simplement souri, s’est excusé d’avoir été absent les derniers jours. Puis il s’est activé, préparant son matériel pour ma toilette matinale, me parlant de choses banales comme la météo et le foot, comme le feraient deux étrangers ayant à passer un peu de temps ensemble.

    J’ai été rassuré du fait qu’il ne semblait pas nécessaire qu’on parle d’emblée de nos derniers moments passés à deux, mais en même temps, c’était un peu comme si ce qui avait eu lieu n’avait pas eu d’importance à ses yeux, alors que moi, j’en étais pratiquement obsédé. Il a soulevé mes draps et enlevé mon pyjama : cependant ce matin-là, pas de gigantesque érection, j’étais trop nerveux. Je me tenais là, sur mon lit, nu de la tête aux pieds, les bras toujours immobilisés par les plâtres (rappelez-vous mon accident), totalement offert à lui. Mes émotions étaient ambigües : une partie de moi voulait oublier l’incident de la dernière fois, l’autre souhaitait qu’on remette ça. Il a pris une serviette, l’a déposée sur mon sexe, comme il l’avait toujours fait auparavant pour respecter mon intimité. Ma nervosité a baissé d’un cran, mais au fond j’étais déçu.

    Il est parti chercher une bassine d’eau chaude, y a trempé un gant de toilette sur lequel il a appliqué du gel-douche, puis s’est mis à me savonner le corps. Cette petite routine qu’on avait lui et moi et que je vivais comme humiliante il y a encore à peine une semaine prenait soudain une toute autre dimension. Cela me faisait maintenant plutôt pensé à des préliminaires à l’acte sexuel. Je profitais de cette main qui au travers du gant de toilette, me caressait, me massait, m’excitait. Il m’a fait : « L’eau est assez chaude ? T’as l’air tendu. » « Non, non. Tout va bien. », lui répondis-je en me demandant s’il avait seulement conscience du stress qu’il avait généré dans ma petite vie bien ordinaire d’hétéro. Tout en le laissant soigneusement explorer le moindre muscle de mon corps, je le regardais : son visage aux traits fins, mais pourtant viril, sa barbe d’un jour, son teint un peu bronzé, sa chevelure blonde et bouclée, son imposante carrure, son pantalon blanc d’infirmier qui laissait deviner un petit cul rebondi. Je n’avais jamais posé un tel regard sur un homme, mais je dois avouer que Patrick est vraiment sexy. Le gant de toilette est alors remonté sur ma cuisse, puis sous la serviette entre mes jambes. L’eau chaude et savonneuse glissait sur mon pénis qui pressé par les caresses, commençait à se détendre et prendre de l’ampleur. Mais mon infirmier ne s’est malheureusement pas éternisé sur cette zone. Il m’a rincé abondamment à l’eau claire, m’a séché le corps en entier, tendrement, a changé l’alaise de mon lit pour que je sois confortablement installé au sec, m’a recouvert de mes draps, puis a quitté la pièce avec la bassine. Je suis resté là, insatisfait et je me suis senti bien con, trop embarrassé pour avoir eu l’audace de lui faire comprendre que j’avais envie de lui.

    Cinq minutes plus tard, il revenait avec la bassine et me dit : « C’est de la nouvelle eau, je vais te laver les cheveux. » Il a placé la bassine sous ma tête puis s’est installé à califourchon sur moi. Je me suis dit que tout n’était peut-être pas perdu : il n’avait bien sûr jamais lavé mes cheveux dans cette position. Ses mains ont plongé dans l’eau, ramenant celle-ci doucement sur mon visage et mes cheveux. Il a déposé un peu de shampoing dans ses mains puis a entrepris un massage de mon cuir chevelu. Ses mains décrivaient de petits mouvements circulaires tout autour de ma tête, de plus en plus pressants. J’avais des frissons sur tout le corps, nos regards se sont croisés. C’en était trop, j’ai fermé les yeux, à la fois par gêne et pour profiter de l’instant. Je ressentais ses fesses fermes sur mon sexe qui, quittant l’emprise de ma nervosité, se mit à gonfler de plus en plus. J’ai pensé qu’une érection comme celle-ci valait certainement mille mots, il était certain qu’il savait maintenant l’effet qu’il me faisait. Il a terminé le lavage de mes cheveux sombres, a retiré la bassine, la posant sur la table de chevet, toujours bien assis sur ma queue tout dure. Il a tiré sur une serviette pendant à la tête de mon lit, m’a séché les cheveux, puis a laissé la serviette sur mon visage. J’étais à sa merci. Quelques instants sont passés ainsi, mais ça m’a paru une éternité. Il a replié la serviette, découvrant ma bouche, mais me laissant toujours privé de la vue. La chaleur de sa respiration atteignait mon visage, le rythme de la mienne s’emballait un peu, puis j’ai senti ses lèvres se presser contre les miennes, sa langue chaude s’enfoncer dans ma bouche, s’emmêlant sur la mienne. Il m’a ensuite chuchoté à l’oreille : « T’as vraiment cru que je pourrais résister à de beaux yeux bleus suppliants ? » Nous avons ri et nous nous sommes embrassés pendant de longues et délicieuses minutes.

    Puis sa bouche est descendue dans mon cou, sur ma poitrine et mon abdomen. Je n’y voyais toujours rien. Il me léchait partout, c’était très agréable. Il s’est attardé sur mes mamelons durcis, j’ai senti les poils de mes bras sous les plâtres et ceux de mes jambes se dresser. Il arrivait à mon pénis quand la trajectoire de sa langue a dévié vers l’intérieur de mes cuisses. Mon scrotum s’est ensuite engouffré dans sa bouche, une chaleur agréable entourait mes couilles qui remontaient involontairement. Je me suis dit en moi-même :« Allez ! S’il-te-plaît… Suce-moi …» Comme s’il avait lu dans mes pensées, il a enfin répondu à mon attente. J’ai poussé quelques gémissements de bonheur. Mon sexe allait et venait dans sa bouche humide, ses deux mains participaient à l’action, montant et descendant le long de mon pénis, décrivant en même temps des mouvements rotatoires, chaque main dans un sens différent. Wow ! Quelle sensation !... J’allais jouir, c’était une question de secondes. Il l’a remarqué et a ralenti la cadence pour finalement s’arrêter et me faire languir. Il a soulevé la serviette qui recouvrait encore mes yeux et a dit : « Patience ! J’aime trop jouer avec toi. »

    Il a commencé à se déshabiller, déboutonnant lentement sa chemise, se caressant le torse et les tétons. Il s’est retrouvé nu, debout à côté du lit, se masturbant. Il laissait échapper tout bas de petits « ah oui ». Je regardais ses abdominaux se contracter, le plaisir prendre forme sur les traits de son visage. Il s’est penché, a pris du lubrifiant dans son sac à dos, s’est enduit le pénis. Puis il est remonté sur le lit et après m’avoir relevé les jambes, a appliqué une généreuse portion de gel sur mon anus qu’il s’est mis à masser avec son gland, comme la dernière fois. Cette fois, je n’avais plus aussi peur, j’avais même envie de la sensation d’être pénétré, possédé. Son sexe s’est introduit profondément en moi. Après un court moment d’inconfort, les va-et-vient sont devenus jouissifs. Il y est d’abord allé avec de très lents et profonds mouvements. Quand sa queue ressortait, je contractais mon rectum comme pour la retenir. Ces contractions décuplèrent le plaisir provoqué par ce massage interne. Il a commencé à me pilonner de plus en plus fort et intensément. Mon pénis restait au garde-à-vous, prêt à exploser au moindre contact. Il s’est carrément couché sur moi, son pubis et le bas de son abdomen frottant ma queue. Tous deux avions une respiration rapide, nos corps avaient chaud. Des gémissements se faisaient entendre, excitants. Il s’est retiré de mon rectum, est remonté pour coller son sexe au mien, puis de sa main nous a masturbés avec beaucoup de lubrifiant. Son pénis était doux sur le mien, sa main glissait rapidement entourant nos deux sexes. Les petits cris de plaisir sont devenus de plus en plus bruyants et nous avons éjaculé presque en même temps, sous l’emprise de contractions involontaires de nos corps entiers. J’étais couvert de sperme chaud. Patrick s’est amusé à l’étaler sur mon ventre avant de s’écrouler de fatigue sur le lit à côté de moi en soupirant. Puis il m’a dit en rigolant : « Je crois que ta toilette est à refaire ! » Nous avons ri de bon cœur.

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