• Récit31

    Récit31

    Récit érotique écrit par Minpass.
    Auteur homme      jhsoushotmailcom

    De fantasme à réalité


    C’était il y a quelques années maintenant, j’avais 19ans. Depuis le début de mon adolescence j’étais partagé entre mon attraction indéniable pour les femmes, pour leur sensualité, les parties de jambes en l’air parfois romantiques ou d’une nature plus carnassières, et mes pulsions de plus en plus fréquentes pour les hommes – ou plus précisément, mon besoin de satisfaire un homme. En effet, j’éprouvais un réel besoin parfois à me placer à genoux devant un homme, de lui sortir la queue, et, son regard posé sur moi, de lui sucer à fond. Je voulais sentir leur semence en moi, sur moi, au fond de ma gorge. Cependant, je n’étais jamais passé à l’acte. Ma seule expérience se résumait à une branlette mutuelle à quatorze ans avec un ami bi. Je me souvenais de la sensation de son sexe entre mes doigts et de l’admiration que j’éprouvais pour cet objet fort. Il avait un engin sublime d’ailleurs. Moi-même je ne peux me plaindre de mes 18 cm (à l’époque moins) mais il était impossible de nier la splendeur de cette verge étrangère qui dépassait de loin la mienne. Je ne me sentais en aucun cas gêné cependant, bien au contraire cette constatation m’avait rassuré et excité d’avantage. Malheureusement je n’ai pas eu le courage d’aller plus loin que la masturbation. Je sentais que lui souhaitait bien plus mais je m’étais empressé de le faire jouir sur ma main et l’occasion ne s’est jamais représentée.

    Des années passèrent avant que je me retrouve à avoir terminé le BAC, passé une année sabbatique loin de chez mes parents, et enfin m’être installé sur Paris, seul dans un petit studio. Enfin je me retrouvais réellement seul avec mes pensées, mes fantasmes et mes pulsions. Pour la première fois de ma vie j’étais libre d’inviter qui je le souhaitais, de m’abandonner à tous mes désires, et je comptais bien me servir de cette liberté.

    Des mois passèrent cependant avant que la moindre occasion ne se présente. J’avais rencontré quelques filles à la fac mais rien de sérieux. Les pulsions, quant à elles, n’avaient en aucun cas disparu. Bien au contraire, la découverte de ma nouvelle liberté mais le manque de plans réguliers, n’avaient fait qu’accroître celles-ci. Je me trouvais à de nombreuses reprises le soir, nu sur mon lit ou dans la douche, la queue en main, m’imaginant à la merci d’un homme puissant – souvent plus mur. Je me réveillais le matin avec une trique énorme, le souvenir d’un rêve souvent trop court en tête. Lors de ces visions nocturnes ma bouche limait la verge d’un inconnu au sexe impressionnant. Je n’avais pas de choix que de me donner quelques coups de la main à fin d’assouvir, du moins autant que je le pouvais, mes frustrations et désires.

    J’en étais venu à m’acheter un gode réaliste. Il n’était pas énorme mais pouvait se coller au mur. Ainsi, je l’avais convenablement fixé au carrelage de ma douche. Le soir, ou le matin donc, je l’enduisais d’un peu de lubrifiant avant de m’appuyer contre, le poussant au fond de moi. J’adorais me le frotter entre les cuisses, contre mon trou, imaginant un homme derrière moi, s’apprêtant à me pénétrer.

    Cependant, je ne savais comment transformer mes désires en réalité. En effet, j’avais rarement l’occasion de rencontrer de beaux hommes plus mur (idéalement entre la quarantaine et la cinquantaine), bi de préférence (j’aimais l’idée de pouvoir mater un porno hétéro avant de passer à l’acte) et surtout qui ne connaissait personne de mon entourage. Puis, un jour l’idée m’est venu – je l’avoue j’étais un peu naïf – de chercher un site de rencontre gay. J’avais vu à de nombreuses reprises des pubs sur les sites de pornos pour site de rencontre hétéro mais jamais le contraire. A mon grand plaisir je découvris donc qu’il en existait un certain nombre. Je passais un après midi à me décider lequel choisir. Le soir même, m’étant fixé, je me créai un profil sur un site qui permettait également d’envoyer des messages instantanés et qui semblait appeler au style d’homme que je recherchais. Je passais quelques heures à me prendre en photo – habillé et nu. Je m’étais entièrement rasé le matin même dans la douche, chose que j’adorais faire. Mon trou et mon sexe étaient donc débarrassés de tous poils. Je ne suis pas non plus une personne très garnie, la tâche ne me demandait donc pas énormément d’effort. J’avais également un tanga noir en dentelle qu’une fille avait laissé un soir de débauche quelques semaines auparavant. Je l’avais lavé mais jamais rendu. Je dois dire qu’il m’allait à merveille. On m’a souvent fait remarqué depuis la courbure et fermeté de mes fesses qui arborent un côté féminins.

    Mon profil enfin prêt j’avais donc passé plusieurs heures à arpenter la liste des membres qui correspondaient à ma recherche. A mon grand plaisir, j’avais reçu un grand nombre de messages de bienvenus, me complimentant sur mes photos et mon apparence. Vers deux heures du matin, après quelques échanges sympathiques mais qui ne correspondaient pas tout à fait à ma recherche, un homme m’aborda. Son profil affichait une seule photo – un homme mur, beau, les cheveux courts. Son profil le décrivait comme sportif, bi et bien membré recherchant des moments de plaisir sans prises de tête. Il avait également précisé qu’il n’était que actif. Je m’empressais de lui répondre. Nous échangions une heure environ avant qu’il ne décide de se coucher. Nous nous échangions nos adresses Skype et il me donna rendez vous le lendemain à midi. Je sentais déjà l’excitation monter en moi, tant que lorsque je me saisis de mon sexe déjà bien raide, il ne me fallut pas plus de quelques caresses pour me faire jouir.

    Le lendemain je fis la grasse matinée jusqu’à onze heures. Je me levais sans me branler, je voulais rester préparé pour mon rendez vous virtuel. Cependant je ne pu m’empêcher de m’amuser un peu avec le gode lors de ma douche. Je repassait un coup de rasage sur mes fesses et boules et me posa devant mon ordinateur nu. En effet, l’homme m’avait précisé qu’il me voulait ainsi. Je me connectais à midi moins cinq, impatient. Je sentais cependant une petite peur au fond du ventre à l’idée de dépasser le simple fantasme. Je savais que l’homme voulait au moins une cam cet après midi. J’attendais donc qu’il se connecte.

    Il le fit, avec quelques minutes de retard. Je lui envoya un message, très excité.

    « Salut. Tu vas bien depuis hier soir ? ☺»

    « Slt. Ouais et toi ? Tu es nu comme je te l’ai demandé ? »

    « Oui. »

    « Allume ta cam. »

    J’étais un peu prit de cours par l’approche très directe. Mais je n’hésitais pas.

    « Ok je l’allume. »

    Pendant les quelques instants d’attente de réponse je sentais mon cœur battre à un rythme frénétique. Enfin, il accepta l’invitation.
    L’homme que je vis était comme promis dans la photo et la description. Nu je pouvais apprécier une musculature impressionnante. Il tenait son sexe déjà raide à la main. Elle était belle et grosse, plus encore que le souvenir de celle de mon ami. Mes yeux se fixèrent dessus. Il le remarqua et souri.

    « Je vois qu’elle te plait. Mais je ne vois pas bien la tienne, mets toi debout. »

    Je m’exécutais. Je fis un tour sur moi même. Une chose étrange s’était passé – je sentais mon excitation traduite par la raideur de mon sexe, cependant celui-ci était loin d’atteindre sa taille habituelle. En effet il lui manquait quelques centimètres. Ainsi elle paraissait bien plus petite, et, je l’imagine, encore plus à l’écran. Cependant, l’homme semblait plus que satisfait par mon apparence.

    « Tu es bien imberbe je vois. C’est très bien. Ecoute, je vais être franc, je ne cherche pas un dial ou des plans cams. Je veux du réel. Tu habites dans le 11ème c’est ça ?»

    « Oui. » Ma voix était frêle. Je savais ce qu’il allait me demander ensuite.

    « Ok, donne moi ton adresse, à priori je peux y être d’ici moins d’une demi heure. »

    J’hésitais et il le vit.

    « Ecoute petit, comme je l’ai dis je ne cherche pas du virtuel. Je comprends que tu flippes un petit peu, tu m’avais bien dis que ça serait ta première fois. Tu n’as pas à t’inquiéter, vu ton excitation et notre conversation d’hier soir je suis sur que tu adoreras. Je serai doux. Alors tu en dis quoi ? »

    Il se mit à se branler très doucement. C’était ce mouvement qui me fit décider. J’avais envi que ce soit ma main, ma bouche à la place.

    «Ok, viens. » Je lui donnais l’adresse et les codes.

    « Ok s’est encore plus près que ce que je pensais. Je suis chez toi dans un quart d’heure. Tu m’as dis que tu avais un string ou un tanga, mets le. A tout de suite. » Il raccrocha et la connexion se coupa.

    Je sentais la peur et l’excitation batailler en moi. Je restais devant mon ordinateur quelques instants puis me levai et enfila le tanga qui se trouvait au fond d’un tiroir. Le contact du tissu contre ma peau me donna un peu d’assurance. J’allais aimer.

    Les minutes passèrent et enfin la sonnette retentit. J’ouvris la porte toujours en lingerie. L’homme se tenait là, bien habillé. Il était un peu plus grand que moi et plus large d’épaules. Il sourit.

    « Je peux entrer ? »

    Je le laissais passer – j’étais incapable de répondre. Une fois la porte refermée il s’approcha de moi. Il posa une main sur mon dos, la fit glisser vers le bas et se saisit de ma fesse gauche.
    « Hmm. Elle est bien ferme. Ce bas te va très bien. »

    Il fit passer sa main devant et se saisit légèrement de mon sexe.

    « Elle semble plus petite que dans la description de ton profil, non ? »

    « Oui, je sais… » J’avais toujours la voix faible.

    Il sourit, « détend toi. » Il passa de nouveau une main sur mes fesses. « Défais moi le pantalon.»

    Je tendis la main, hésitant. Puis me mis à lui défaire la ceinture. Celle-ci céda et je m’occupais du bouton puis de la braguette de son pantalon. En baissant celle-ci je sentis une bosse se former à travers le tissu. Le pantalon glissa vers le bas puis l’homme tira son t-shirt vers le haut, révélant son torse musclé. Nous nous tenions donc tous deux debout devant le lit, lui en caleçon, me dépassant légèrement, ses deux mains maintenant fermement placées sur mes fesses, et moi en tanga devant lui, la peau plus claire contrastant contre la sienne.

    Je regardais vers le bas. Son sexe se dessinait à présent clairement à travers son caleçon. Toujours hésitant, je tendis une main et frôla du bout des doigts cet engin étranger. Un tout petit frisson parcouru son corps à mon toucher. Il mit sa main pardessus la mienne et fit pression. Je sentais son sexe raide à sous mon toucher. Il lâcha prise mais je continuais de lui tenir la verge, la seule barrière le tissu de son sous vêtement. La sensation effaça un peu ma nervosité. L’excitation montait toujours. Je frottais légèrement la verge, sentant celle-ci se durcir d’avantage. Il y avait une tâche d’humidité sur le tissu au-dessus du gland. L’homme me regardait. Il avait envi de moi, ça se voyait. Je m’arrêtai de le caresser, un peu embarrassé sous le regard intense.

    « Viens, on va se mettre sur le lit. » Il me guida contre les draps. Je m’assis, le regard détourné. Je sentais toujours cette même nervosité en moi. Un genre de trac. Il était debout devant moi. Il me regardait toujours, puis il baissa son caleçon. Je ne pu m’empêcher de regarder. Il tenait sa queue en main devant moi. Elle était comme lors de la cam – raide.

    « Elle te plait toujours ? »

    Je fis oui de la tête.

    « Montre moi ton cul. » Je me retournai à genoux. Il me poussa doucement en avant, me faisant basculer à quatre pattes. Je le sentis monter sur le lit derrière moi. Il s’approcha et plaça une main sur mes fesses. Il les caressa. Je regardais en arrière. Il se branlait lentement avec l’autre.

    « Viens. » Je me retournai. « Approche toi, travail moi un peu le téton. » Toujours hésitant je le fis. Je posai le bout de ma langue contre son téton droit et me mis à lui lécher. Il tenait ma tête délicatement avec une main, avec l’autre il prit la mienne et la guida contre son sexe. « Branle moi. » Je commençai à donner des petits coups avec ma main, puis de plus en plus vite. Je me souvenais de mon ami d’adolescence. Cette fois cependant je n’allais pas m’arrêter. Il me tourna la tête vers son visage, me regarda un instant puis posa sa bouche contre la mienne. J’étais un peu surpris, dans notre discussion de la nuit d’avant il m’avait dit qu’il n’aimait pas trop embrasser, et moi non plus. Pour moi s’était quelque chose que je réservais aux femmes. Malgré moi cependant je ne le résistai pas. Je sentis sa langue se faufiler entre mes lèvres. Il m’embrassa quelques instants puis me repoussa doucement le visage.

    « J’aime bien embrasser avant de me faire sucer. » Il avait un sourire aux lèvres. « Tu veux bien ? Elle est toute dur pour toi. »

    « Ok. » Ma voix était toute petite.

    « C’est tout ? Ok ? »

    « Je veux dire oui, j’en ai envi. » Il souri encore.

    Doucement, je m’accroupis devant lui sur le lit. Il était à genoux, sa queue tendue entre mes doigts. Je me positionnai devant lui, mon visage à quelques centimètres de son gland. Je regardai cet engin. Une odeur s’en dégageait – elle était forte mais ça ne me gênait pas. La peur était encore la mais l’excitation prenait le dessus. Je levai une dernière fois les yeux vers son visage.

    « Vas y ma belle. » Il plaça une main de nouveau sur dos de ma nuque et fit très légèrement pression pour m’encourager.

    Je m’approchai du sexe. L’odeur devint plus forte. Une petite goute argentée s’était formée au bout du gland. Je pris mon courage à deux mains et posa le bout de ma langue sur le gland. Celui-ci avait un gout salé, d’autant plus fort avec la touche de semence. Je donnai d’abord de petits coups de langue, sur son gland, puis de longues léchouilles le long de la verge. Je sentais sous ma langue ses grosses veines qui parcouraient le sexe. Je le léchai une ou deux minutes. D’une voix douce mais dotée d’une touche de frustration il me dit « allez ma belle, suce moi maintenant. » Il me dirigea la tête devant le gland puis poussa doucement.

    Je le pris en bouche. Le gland passa au travers de mes lèvres. Il s’arrêta de pousser pour que je tête. Le gout salé me remplit la bouche. « C’est bien voilà. » Il m’encourageait avec ses mots puis avança un peu le bassin, faisant entrer en partie sa verge. « Aller, je sais que tu peux bien t’y prendre. » Il donna de petits mouvements de bassin pour donner la cadence et je me mis à sucer, ma bouche parcourant le long du sexe. Je pris confiance et plaça une main contre ses boules, l’autre sur la verge accompagnant mon mouvement de lèvres. Je basculai parfois la tête pour donner un autre angle à ma bouche, accompagnant le mouvement de ma langue. Il gémissait doucement. « C’est bien ma belle, aller branle toi un peu, t’en as envi je le sais. » Pendant que je le suçais je me saisis donc de ma queue, la sortant du tanga, et me branlai doucement. Il fit glisser une main le long de ma raie des fesses et fit entrer une phalange dans mon petit trou. « T’es même un peu humide tien. C’est bien continu, je vais bientôt te prendre.» Je le suçai encore quelques minutes. J’appréciai mais je commençai à avoir mal à la mâchoire. Enfin le me fit signe d’arrêter.

    « Sors moi le lubri et une capote. » Je me levai et m’exécutai. Je lui tendis.

    « Aller ma belle enlève ta culotte. » Je le fis. Encore une fois la nervosité se faisait ressentir. « Viens me mettre la capote. »

    Je m’agenouillai devant lui, parterre et il me passa la capote sortie du paquet. « Attends, reprends moi en bouche un instant. » Il remis sa main derrière ma nuque et me guida à nouveau, cette fois plus fermement. « Vas y, enfile la moi. »

    Je lui mis la capote, la faisant dérouler le long de sa verge. C’était à la fois agréable et étrange – j’avais l’habitude à ce qu’une femme me fasse ça, à être de l’autre côté. A présent je m’apprêtai à me faire baiser en enfilant un préservatif à un autre homme.

    « Allonge toi sur le dos. » Je me mis sur le lit. Il me guida avec ses mains, m’écarta les cuisses et se positionna entre. Il prit le lubrifiant et en fit couler une grosse goute sur son gland plastifié. Ensuite, il s’enduit un doigt et le plaça contre mon trou. Le liquide était froid. J’avais l’habitude en m’entrainant avec le gode dans la salle de bain mais là s’était pour de vrai, avec un sexe bien plus gros. Il plaça ensuite son gland entre mes cuisses et me souleva légèrement mon bassin. Mes cuisses étaient maintenant autour de sa taille. Je sentais le bout de son sexe faire pression contre moi. Sans prévenir il fit pression – pendant un instant son gland peina à entrer puis passa d’un coup. J’écartai les yeux. Le mouvement avait provoqué une toute petite douleur mais je sentais également l’excitation monter en flèche. Il s’était arrêté et me regardait. Je lui fis un petit oui de la tête. Il sourit et se mit à donner de tous petits coups de bassin. Peu à peu il s’enfonça de plus en plus au fur et à mesure des coups de bassin. Je senti une étrange sensation au bas du ventre, gagner peu à peu tout mon bassin, à la racine de mes boules. Ma queue était raide. Je plaçai mes mains sur ses fesses, le poussant en avant. Il soupirait à chaque coup de reins. Il avait accéléré le rythme. Mes jambes étaient en l’air, écartées. Je les resserrai autour de sa taille, comme l’avaient fait toutes les femmes avec qui j’avais couché. Je commençais à gémir, l’étrange sensation de plaisir s’intensifiant. Il me baisa ainsi de longues minutes. Il s’arrêta d’un coup cependant. Nous étions tous les deux essoufflés.

    « Qu’est-ce qu’il y a ? » J’étais déçu qu’il s’arrête.

    « Mets toi à quatre pattes, j’aurai une meilleur prise. »

    Je m’empressai d’obéir, plaçant mes fesses devant lui. Je me sentais féminine. Je balançai légèrement du cul. J’avais envi qu’il me prenne. Il donna une petite tape sur mes fesses puis se saisit de ma taille et se repositionna entre mes cuisses, contre mon trou. Il me pénétra d’un coup, son gland poussé au fond de moi. Je gémis. Ile me baisa encore, cette fois-ci cependant il commença directement avec un mouvement rapide. Le plaisir monta en moi en flèche et je me sentais jouir sur les draps. C’était étrange, je n’avais même pas à toucher mon sexe. Je gémis fortement. Lui continuait à me baiser, chaque mouvement un coup fort. Enfin il ralenti et se retira. « Viens » Il avait la voix essoufflée.

    Il se mit sur le bord du lit et je me plaçais à genoux devant lui. Il s’enleva la capote et me prit la tête en main. Je repris sa queue en bouche. Je n’eu pas à le sucer longuement. Je sentis son emprise sur ma nuque devenir plus forte, me faisant comprendre de ne plus bouger. Sa semence explosa dans bouche. Je fis un petit mouvement de recul, surpris mais il ne lâchait pas prise. « Avale ma belle. Oh oui. »

    J’en avalai la totalité. C’était épais, un mélange de sucré salé. Une fois tout avalé il se retira de ma bouche et frotta sa queue contre mes lèvres. Je restais devant lui, nu, le gout de sperme fort dans ma bouche, le corps couvert d’un mélange de sa sueur et de la mienne. Mes fantasmes s’étaient matérialisées.

    De fantasme à réalité II


    Plusieurs semaines passèrent sans nouvelle de l’homme – il s’appelait Olive. Je lui avais envoyé quelques messages mais sans réponse. Ma frustration se faisait sentir. Je décidais donc de me remettre à chercher. Au bout de deux soirées de dials et cams non fructueuses, je me trouvais en face à face avec un bel homme d’environ la cinquantaine, bien musclé comme Olive et avec un sexe tout aussi impressionnant. Cette fois le contacte virtuel dura plus de temps. Il était plus côté domination que le premier. En effet, il me fit cambrer, masturber, lécher et doigter par cam sur trois appels. Enfin, le troisième jour après une cam longue et franchement épuisante, il me proposa la rencontre – chez lui – le soir même (il était onze heure du matin). J’acquiesçais, anticipant déjà cette nouvelle expérience. Je me préparais vers 17 heures – me re-rasant, passant un nouveau string cette fois, un jean simple et un t-shirt. Il avait précisé qu’il avait déjà tout ce qu’il fallait en lubri et capotes alors je quittais l’appartement sans attendre. Il habitait à environ vingt minutes, prêt de Bastille.

    J’arrivais chez lui, montais au quatrième étage d’un bel immeuble Haussmannien et sonnais à sa porte qui s’ouvrit presque immédiatement. L’homme était vêtu d’un caleçon serré seulement. Il était plus trapu qu’olive, mais plus musclé également. On sentait une réelle puissance dans son mouvement. Il me fit signe d’entrer.

    « Attends moi dans le salon, il y a tout ce qu’il faut, j’en ai pour une minute. » Je m’exécutais, moins sur de moi que lors des appels cam. Je me retrouvais dans une pièce vaste avec une lumière tamisée. Il y avait un grand écran plat sur lequel défilait un porno. Une très belle femme s’affairait à genoux devant un homme très bien membré. Je restais à regarder leurs ébats en attendant l’homme. La vidéo m’aida à me détendre. Je sentis l’excitation monter en moins tandis que la femme suçait ce bel engin. L’homme arriva enfin. Il était nu à présent. Son sexe pendait lourdement entre ses cuisses.

    « Le viagra prendra quelques minutes à avoir effet. On peut mater le porno en attendant. » J’étais un peu surpris. Il semblait ne pas en avoir eu besoin lors de nos appels. Il vit que j’hésitais.

    « Tu n’es pas le premier aujourd’hui… Aller déshabille toi. »

    Je le fis. Il vit le string et souria. « Très bon choix, il sera facile à écarter. Viens. » Il alla s’asseoir sur le canapé en face de l’écran. Je commençais à m’asseoir à côté de lui mais il m’en empêcha.

    « Hé oh, pas là, là. » Il pointait vers le sol. Un peu pris de cour je m’exécutais encore une fois, me plaçant à genoux devant lui, entre ses cuisses.

    Il regardait l’écran et plaça une main sur ma tête, me guidant vers son sexe encore flasque. Ne sachant quoi faire d’autre, je me laissais diriger et me mit à lui lécher le sexe. Peu à peu sa verge se durcissait, d’abord sous ma langue puis dans ma bouche. Je sentais son gland s’élever contre mon palet. Lorsqu’il fut totalement dur il me prit la tête entre ses mains et se mit à me baiser la bouche avec de mouvements forts. Je me laissais faire d’abord mais au fur et mesure avait de plus en plus mal à la mâchoire. Sa queue venait taper au fond de ma gorge. Je me sentais réellement mal à l’aise. Enfin il lâcha prise et me laissa respirer. Il me regardait alors que je reprenais mon souffle. Il tapota son sexe d’une main contre ma joue, le visage impassible.

    « Pas très endurante la petite salope. » Je le regardais d’entre ses cuisses, une larme aux yeux tellement il avait poussé.

    « J’y suis peut-être allé un peu fort, c’est vrai, désolé. Cette fois ça sera plus doux. » Il se mit debout devant moi, et le film en arrière fond, je me rapprochais à nouveau de son sexe. Son approche m’avait gêné mais j’étais toujours excité. Je lui suçais longuement la bite, me caressant par la même occasion. Il finit par me lever, me retourna et me pencha sur le canapé.

    « Tu vois la nana dans le film ? Tu fais pareil. » Je tournais la tête vers l’écran. L’homme limait le cul de la femme qui gémissait debout contre un mur. Je souris. Il s’enduit la queue de lubri et ce ne fut que lorsqu’il m’écarta le string que je réalisais qu’il n’avait pas de capote.

    « Attends, t’as oublié la capote. »

    « J’ai rien t’inquiètes. » Sans attendre il se saisit de ma hanche et fit pression sur mon trou en donnant un coup de bassin. Je n’osais pas me défaire de son étreinte. Il commença les vas et viens. Je ne pouvais m’empêcher de penser que c’était tout de même mieux sans la capote. Il me baisa longuement avant de se retirer. Croyant qu’il souhaitait finir je commençais à m’agenouiller devant lui, un peu réticent à l’idée de devoir le sucer après être passer en moi. Mais il me retint.

    « Vient sur moi. » Il s’assit sur le canapé et me tira vers lui.

    Je me plaçais à califourchon sur lui, le dos face à lui, tourné donc vers l’écran. Je descendis doucement sur son sexe, le sentant entrer dans mon trou déjà bien dilaté. Je montais et descendais, m’appuyant sur ses cuisses. Au bout de quelques minutes je sentis mon plaisir monter à un comble. J’éjaculais sur mes cuisses et mon ventre.

    « A mon tour. » L’homme me souleva, son sexe sortant de mon trou. Je me sentais vide, mon anus complétement dilaté.

    « A genoux. » J’obéis.

    Il se masturba devant mon visage. Sa voix haletante il me dit « Lèche les couilles salope. » J’obéis encore une fois. Puis il me saisit le menton d’une main et souleva mon visage. Un jet chaud fit irruption. Il gicla en plusieurs fois. J’en avais partout – dans les cheveux, les yeux, la bouche et sur mon cou. Une fois fini il s’assit sur le canapé.

    « Tu peux te rincer dans la salle de bain. Après tu peux y aller. »

    « Récit30Récit32 »
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter