• Récit52

    Récit52

    Récit érotique écrit par Mecgentil21.
    Auteur homme 

    John et Tom


    Je m’appelle John, j’ai 17 ans et vis à Paris. A l’adolescence j’ai découvert un
    penchant pour les hommes mais je ne l’ai jamais avoué… Depuis tout petit j’ai
    l’habitude d’aller dormir régulièrement chez mon meilleur ami, Tom, qui est puceau,
    comme moi.

    Tom avait eu sa puberté bien avant moi et s’en était toujours venté. Il était plus
    grand, plus musclé et plus poilu que moi et le tout 2 ans avant moi. D’une nature peu
    pudique il se changeait souvent devant moi et je ne pouvais m’empêcher de le mater
    discrètement. Il était musclé car assez sportif, très poilu mais blond ce qui
    atténuait l’effet « portugais » et surtout je le trouvais super sexy ! A une exception
    près, seul son corps m’attirait et non son visage assez abimé par l’acné… Tom était
    hétéro et rien au monde ne l’aurait fait toucher une autre bite que la sienne…

    C’était un samedi soir et Tom m’avait encore invité à dormir chez lui. Comme à chaque
    fois que je dormais chez lui, nous faisions un tour dans le quartier le temps de fumer
    une clope puis nous rentrions. Ensuite, nous montions dans sa chambre et l’on se
    changeait. C’est à ce moment que je pouvais admirer son torse musclé, ses aisselles
    rasées et le « chemin du bonheur » qui dépassait de son caleçon. Caleçon que
    j’admirais tout autant car il semblait bien rempli et il était car Tom était peu
    pudique il ne se gênait pas pour l’enlever devant moi et me laisser entrevoir sa bite
    très légèrement décalottée. Plus jeunes, nous avions discuté de nos mensurations, un
    an auparavant il mesurait 10cm au repos et 16cm en action mais aujourd’hui il se
    vantait d’avoir largement dépassé ces mesures. Ses dires m’excitaient mais je n’y
    portait pas une grande attention car Tom était très vantard et racontait parfois des
    mensonges… Parfois je pouvais voir ses fesses très poilues mais qui était si bien
    dessinées qu’on les aurait mangées toutes crues ! Moi je me changeais dans mon coin
    très pudiquement car me sentant inferieur physiquement à lui. En effet, j’étais plus
    petit, plus maigre, moins musclé car moins sportif et surtout beaucoup moins poilu ce
    qui me dérangeais car les poils m’avaient toujours excité chez les mecs, à condition
    de ne pas dépasser un certain stade de pilosité !

    J’avais de nombreuses fois imaginé des nuits torrides avec mon meilleur ami mais je
    savais qu’il ne se passerait jamais rien.
    Ce samedi-là, vers les trois heures du matin, Tom s’était endormi devant son
    ordinateur dans son lit. Allongé à côté de lui, il était quant à lui allongé sur le
    côté et me tournant le dos. A cet instant je décidais qu’il était temps de tenter ma
    chance et d’essayer de le caresser.

    Je vérifiai donc s’il était bien endormi, il semblait être en début de sommeil et
    commençait à respirer fort et lentement. Je posais mon ordi discrètement au pied du
    lit et me tournais vers lui. Son t-shirt était légèrement relevé ce qui me permettait
    de le caresser discrètement dans le bas du dos. Je m’aventurais donc avec le dos d’une
    phalange de mon index. Je descendais le plus bas possible jusqu’à heurter l’élastique
    de son jogging. A cet instant je restais quelques secondes sans bouger en écoutant
    attentivement toute fluctuation de son souffle pour veiller à ce qu’il ne me surprenne
    pas. Je reprenais mes caresses discrètes toujours à la limite de son jogging (bien
    trop haut à mon gout). Ici je pouvais sentir les poils de ses fesses qui remontaient
    jusqu’à son bas-dos. Cette sensation me fit frissonner et je me rendis compte que
    j’avais une énorme érection. Mon pénis faisait 10cm au repos et 16cm en érection,
    comme Tom. Cette taille modeste me satisfaisait sans plus mais je m’en contentais.
    Après quelques minutes, je tentais de passer un doigt à travers l’élastique de son
    jogging, assez souple. Malheureusement, l’élastique de son boxer qu’il portait en
    dessous l’était beaucoup moins ce qui me rendu la tâche ardue. J’essayais d’y aller
    petit à petit toujours en surveillant son sommeil. Au bout de quelques minutes je
    réussis à entrer ma main. Avec celle-ci, je décidais d’englober une des fesses poilues
    de Tom. Je jubilais et sentait mon sexe tendu comme rarement il ne l’avait été. Je
    sentais la forme ronde épouser la paume de ma main. Les poils formaient un duvet très
    doux sur son fessier et je n’avais qu’une envie, les malaxer, les embrasser…

    Ce plaisir fut malheureusement de courte durée car la sensation de chaleur dégagée par
    mes mains réveillât légèrement mon beau Tom. Je sortis ma main très vite et feignit un
    ronflement pour ne pas me faire surprendre. Il se rendormit et j’en fis de même
    quelques minutes après…

    Cette expérience, bien que très excitante, me laissait sur ma faim. J’aurais aimé
    tenter de glisser un doigt vers sa raie ou poser mon autre main sur son autre fesse
    ou encore mieux sur sa bite. Mais je devais me contenter de ça, en tout cas, ce week-
    end…

    John et Tom (2)


    Deux semaines plus tard, me voilà de nouveau chez Tom pour la nuit. Je repense à l’excitation de l’autre fois et cela me donne des idées ! Ce jour-là il faisait très chaud et nous avions pas mal bougé dans Paris et nous nous sentions donc un peu poisseux. Tom me proposa alors d’aller prendre une douche ce que je fis. Je me douchait tranquillement quand Tom rentra dans la salle de bain pour une envie pressante.

    _ Désolé mec j’ai trop envie de pisser. Je te regarde pas t’inquiète !
    _ Vas-y c’est bon.

    Il était donc dos à moi. Il s’était mis en boxer afin d’ensuite prendre sa douche. J’avais donc une belle vue sur ses fesses que je rêvais de retoucher ! Je pouvais voir ses jambes bien poilues et son corps musclé et surtout le mater sans qu’il ne s’en doute !

    J’avais fini de me doucher et Tom n’avait pas fini d’uriner. Je sortais donc de la douche, serviette autour de la taille, toujours très pudique. Alors que je me séchais, Tom, toujours aussi peu pudique et fier de son corps enleva son boxer et sauta dans la douche. L’angle de vue du miroir au-dessus du lavabo me donnait une vue imprenable sur l’objet de mes désirs. L’eau chaude rendait encore plus long son membre qui me faisait déjà saliver.

    Une fois lavés, je me rendis compte que je n’avais pas pris de boxer de rechange. Je demandais alors à mon meilleur ami de m’en prêter un. Il m’en donna un et le fait de mettre ma bite au même endroit que la sienne m’excitait déjà au plus haut point.

    On se mit alors dans le lit devant nos ordis. Vers une heure du matin, nous allâmes fumer une clope puis on remonta pour dormir. Tom s’endormit rapidement, comme à son habitude. Je pouvais entendre sa respiration devenir de plus en plus forte. A ce moment, je décidai de retenter ma récente experience.

    Cette fois-ci, en raison des fortes chaleurs, nous étions en boxer ce qui me facilitait l’accès au corps de mon meilleur ami. Il était dos à moi. Je commençais comme précedemment par caresser le haut de ses fesses pour ensuite passer un doigt dans l’elastique de son boxer. Je rentrais doigt par doigt ma main sous son boxer pour finalement laisser ma paume épouser sa fesse droite. La sensation de son fessier poilu sur ma main me donna une érection. Cela chatouilla surement Tom qui décida de se retourner. M’offrant ainsi son visage face au mien. Cette position m’avantageait car je pouvais voir s’il ouvrait les yeux ou non.

    Je commençai par caresser son torse musclé. Je passais ma main sur ses pectoraux, ses abdos. Tout son corps m’excitait et il en émanait une chaleur incroyable. Je décidais donc de m’aventurer à mes vices. Je commençais par caresser ses tétons qui pointaient déjà sous l’effet de mes caresses. Je commençais à les lécher. Tout doucement je continuais mes caresses et coups de langue sur ses abdominaux et j’arrivais à son nombril. Comme la plupart des hommes, Tom avait cette rangée de poils super sexy qui partait du nombril pour arriver au pubis, le chemin du bonheur ! Je pinçais cette rangée de poils entre mes lèvres.

    De nouveau arrivé à son boxer, je caressais son sexe à travers le tissu. On pouvait facilement deviner les belles formes de son engin. Trop excité et la bite en feu, je me lançais et rentrait d’un coup ma main dans son boxer pour la poser directement sur sa queue. Aucun mouvement de sa part. Il était définitivement bien endormi. Je restais quelques minutes sans bouger, la main sur la bite de mon meilleur ami. Je touchais enfin l’objet de mes rêves ! Je savourais ce moment et je sentais mon boxer prêt à craquer tellement mon érection était forte.
    Bien engagé dans mon aventure, je pris donc en main la bite de Tom et amorça un vas et vient très doucement. Au bout de deux allez-retours, son pénis était décalotté et commençait à grossir. Je voyais un sourire sur son visage. Je me demandais à quoi il pouvait bien rêver à ce moment. Surement à une fille qui le masturbait !
    Déterminé à aller plus loin je commençais à baisser son boxer mais Tom commença à bouger alors je reparti encore bredouille. J’attendis qu’il se rendorme, puis, crevé de notre journée, j’embrassai le téton droit de mon meilleur ami avant de m’endormir…

    John et Tom (3)


    Après une semaine de cours terrassante, Tom et moi-même avions décidé d’aller faire un tour en vélo avant d’aller à une soirée. Nous partîmes alors nous balader durant deux bonnes heures.
    Vers 19h, nous sommes rentré et avons pris une douche ce qui me permit de le mater lorsqu’il se changeait.
    A 20h, nous arrivions à la fête où bien sur l’alcool coulait à flots. Je m’ennuyais à cette soirée mais Tom semblait passer un bon moment, il buvait beaucoup et draguait de nombreuses filles.
    Vers 3h du matin, nous décidions qu’il était temps de rentrer.
    Arrivés chez moi, Tom s’installa sur le lit. Nous étions crevés et Tom bourré. Il me parlait durant de longues minutes de choses souvent incohérentes et je faisais mine de l’écouter.
    Pensant qu’il n’arriverait pas à dormir, malgré son allure de zombie et sa fatigue, il alla prendre un somnifère. Incapable de déshabiller, il me demanda de l’aider ce que je fis bien sûr avec plaisir ! Tout en enlevant son t-shirt, je reluquais son torse musclé, ses pectoraux bien dessinés, ses bras musclés, ses abdos traversés en un point par une ligne de poils qui m’indiquait où mon bonheur se trouvait… Je lui enlevai ses chaussures, il semblait qu’il dormait déjà à moitié. Au moment de lui enlever son pantalon, je décidais de caresser discrètement ses jambes poilues. Je pliais délicatement ses affaires et les posais sur ma chaise de bureau. Il était maintenant en boxer, sur mon lit. Une bosse à la courbure parfaite était formée sur le tissu par son beau morceau de chair.
    J’attendais cette fois qu’il dorme bien. Le mélange boulot-vélo-alcool-somnifère faisait effet et Tom dormait déjà comme une masse. Même l’effondrement de ma maison ne l’aurait pas réveillé tellement son sommeil était profond. Alors, je me mettais également en boxer et me glissait dans mon lit, bien réchauffé par l’habituelle chaleur incroyable du corps de mon ami. Il était temps d’explorer Tom.
    Mon ami étant en hibernation, je ne prenais pas de précautions. J’enfournais ma main dans son caleçon et commença à le branler. Malgré son profond sommeil, Tom semblait réagir à mes caresses. Alors que son gland commençait à se décalotter, je pris la décision de descendre son boxer. Je voyais enfin en entier et à la lumière cette relique. Une magnifique bite, rasée de près, parfaitement droite, plutôt épaisse et d’un bon 19cm. Son gland luisait et me donnait très envie. Sans réfléchir à ce qu’il adviendrait si il me surprenait, je baissais ma tête et me retrouvait devant son organe alors bien bandé. J’ouvris la bouche et englouti ce monstre de chair. Le gout était étrange mais agréable. Je descendais jusqu’à la moitié et m’arrêtait là, la bouche pleine.
    J’amorçais de longs vas et viens sur le pénis de mon meilleur ami. J’étais aux anges. Je sorti l’engin de ma bouche pour mieux le renfourner dans ma bouche, alternant coups de langues, baisers, vas et viens et léchage de boules…
    Trop excité pour m’arrêter, je passais mes mains sous ses fesses, les prenants ainsi à pleine main et les malaxant doucement. Un de mes doigts se perdit dans sa raie poilue et vint se poser sur la rondelle de Tom. J’essayais de l’y rentrer mais sans y arriver. Je crachai sur mes doigts et tartina son orifice. Mon doigt glissa d’un coup dans Tom.
    Je le doigtais. Je doigtais et suçais mon meilleur ami. Et le meilleur dans tout ça, c’est qu’il n’en savait rien ; du moins, c’est ce que je pensais…

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