• Récit34

    Récit érotique écrit par Minpass.
    Auteur homme      jhsoushotmailcom

    Les courbes du printemps


    Le cours s’éternisait. Camille était assis à la dernière rangée. Il observait l’amphi,
    ne prêtant aucune attention à la voix du prof, devenu un simple fond sonore. Dehors,
    un doux soleil inondait la cour de la fac. On était en Mai et il était coincé à
    écouter ce monologue assommant. La situation n’était pas totalement sans avantage
    cependant. Plus de soixante pour cent des membres de sa promo étaient de jeunes femmes
    plus qu’appétissantes. Agées entre dix-huit et vingt ans, elles arboraient toute cette
    fraicheur et vigueur que seul les filles de leur âge possèdent. Il y en avait de toute
    sorte : blonde, brune, petite et grande, toutes plus mignonnes les unes que les
    autres. Elles avaient sorti le grand jeu du printemps : minijupes, voiles légers et
    débardeurs laissant apparaître des formes douces et fermes. Ses yeux continuaient de
    longer les rangées de belles têtes étudiantes quand il s’arrêta sur l’une d’entre
    elles. Celle-ci, au lieu de regarder vers le prof cependant, était tournée vers lui.
    Elle était brune, une frange menant vers des doux yeux marron, puis des joues sur
    lesquelles quelques timides tâches de rousseur se baladaient. Elle avait une bouche
    rose parfaitement dessinée sur laquelle un petit sourire s’était logé. Ses yeux
    étaient rivés sur ceux de Camille. Elle souriait toujours, le fixa un long moment puis
    se retourna vers l’estrade. Elle portait une robe légère, laissant apparaître un
    soupçon de peau. Camille n’arrivait pas à discerner la trace d’un soutien gorge
    dessous. Il se sentait durcir. Ce regard avait était intense et perçant.

    Le restant du cours se passa dans la frustration.

    Enfin la fin arriva et le prof termina sa présentation. Camille quitta l’amphi et se
    plaça prêt de la sortie. Il ne savait pas exactement ce qu’il espérait mais au moins
    souhaitait voir passer la fille qui l’avait fusillé d’un regard si profond et
    mystérieux. La fille tardait à passer, mais enfin elle sortit, accompagnée par deux
    amies, très mignonnes également. Camille sentait son cœur battre de plus en plus vite.
    La fille ne l’adressa pas, passant sans même un regard. Camille l’observa, excité et
    frustré à la fois. Sa robe était courte, s’arrêtant mi-cuisse. Elle avait de longues
    jambes blanches et fines. Son regard se logea sur des fesses rebondies, le tissu fin
    de sa robe se collait à elle avec chaque pas, laissant apparaître ses courbes. Il se
    sentait de nouveau durcir malgré lui. Une voix l’interrompit dans sa rêverie.

    « Tu viens ce soir ? » Cécile, sa meilleure amie était sortie parmi les dernières.

    On était vendredi, il y avait une soirée de prévue dans un appartement du onzième, il
    avait zappé.

    « Je sais pas trop. Ca a été une semaine chiante, et je pense que ce cours vient de
    m’achever. » Camille se sentait frustré et fatigué, il n’avait pas particulièrement
    envi de sociabiliser.

    « Mélanie sera là. » Cécile arborait un sourire moqueur à présent.

    « Mélanie ? »

    « Celle que tu mattes depuis le milieu du cours. T’es vraiment pas discret tu sais. »

    Camille se sentait rougir. Cécile le connaissait par cœur. Ils avaient eu une aventure
    en première année mais avaient préféré devenir amis plutôt que risquer leur amitié
    dans une relation plus sérieuse. Elle était belle. Elle était blonde, les cheveux mi
    longs, une belle poitrine et un joli petit cul. Une image lui vint de ses fesses
    s’appuyant contre son bassin, sa peau nue luisant dans une lumière tamisée. Leurs
    ébats avaient été passionnés et longs. Cécile était une vraie coquine au lit, sa
    bouche accueillant son sexe dure avec engouement. Ils avaient même fait deux plans à
    trois ensemble. Le premier, son cadeau de vingt ans avec une belle petite coquine que
    Cécile côtoyait ; le deuxième avec un mec que Camille avait rencontré en soirée –
    pompier volontaire, musclé, bien membré. Elle avait savouré les deux sexes qui lui
    étaient offerts, les prenants tour à tour ou en même temps en bouche et en elle. A
    présent ils baisaient moins, seulement de temps en temps lors de soirées bien arrosées
    ou alors après une longue traite de travail.

    Cécile lui sourit à nouveau, « Je la connais, je peux te la présenter. »

    « Et en échange ? » Rien n’était jamais gratuit avec Cécile, une vraie petite business
    woman.

    « T’amènes James à la soirée. »

    James était un ami d’enfance, un jeune franco-australien du même âge, étudiant à
    Paris. Cécile l’avait repéré depuis un moment.

    « Ca marche. »

    « Cool ! En attendant, on va chez toi ? Je te sens bien excité après avoir observé le
    petit cul de Mélanie. Faut que tu tiennes ce soir si tu veux l’impressionner.» Elle
    lui fit un clin d’œil, le prit par la main et le guida vers la sortie de la fac.

    Ils poussèrent la porte de chez lui, les mains de Cécile parcourant déjà à travers son
    jean la bosse de sa queue raide. Elle enleva son haut puis défit son soutif, relâchant
    ses seins ronds et laissant paraître de beaux petits tétons roses déjà dures. Elle ne
    portait plus que son pantalon blanc moulant qui laissait deviner l’ombre de son tanga.
    Elle s’agenouilla devant Camille, lui jeta un regard coquin, puis se mit à défaire son
    jean devenu bien trop serré. Elle sortie sa queue, raide depuis un petit moment déjà
    et l’observa un instant. Elle avait un sourire aux lèvres.

    « Je dois avouer que je suis un tout petit peux jalouse à l’idée de livrer ce bel
    engin à Mélanie. Mais bon je me consolerai avec celui de ton pote australien. » Elle
    haussa les épaules et écarta les lèvres, prenant son gland en bouche. Elle le suça
    longuement, une main accompagnant les vas et viens de sa bouche, l’autre caressant et
    malaxant ses boules.

    Camille pensa à Mélanie : ses belles fesses, son regard intense et sa peau à travers
    le tissu. Il gicla sans prévenir dans la bouche de Cécile. Celle-ci fit un mouvement
    de recul surpris, laissant la semence tomber sur ses lèvres entrouvertes.

    « Wow, elle a vraiment eu un effet sur toi. J’espère pour toi que ta performance sera
    meilleure ce soir. »

    « Merde, désolé Cécile. Je… j’ai pas pu m’en empêcher. »

    « Je vois ça. » Elle s’essuya la bouche, se leva puis fit quelques pas en direction de
    la salle de bains. Elle défit son pantalon avant d’entrer, le laissant glisser le long
    de ses jambes. Son tanga dentelle noir dessinait ses belles fesses. Elle se pencha
    lentement pour ramasser son pantalon, le posant sur une chaise, puis elle tira tout
    aussi lentement son sous vêtement vers ses pieds. Cette fois elle laissa apparaître sa
    chatte épilée en se penchant. Elle luis lança un regard taquin avant de passer à la
    salle de bains. Camille avait commencé à débander mais à présent se sentait durcir à
    nouveau. Il finit de se déshabiller et la suivie dans la douche. L’eau était déjà
    chaude quand il tira le rideau. Cécile se blottît contre son corps, sa peau trempée et
    chaude. Le sexe de Camille se frottait entre ses cuisses. Cécile les resserra pour
    l’exciter d’avantage. Il l’embrassa, puis la retourna et plaça une main fermement sur
    le haut de son dos, l’autre tenant sa hanche. Ainsi, il la cambra et se plaça contre
    elle, son sexe se frottant contre sa chatte trempée d’eau et de mouille. Elle émit un
    petit murmure d’anticipation. Il fit entrer son gland en elle. Sa peau lui résista un
    instant puis ses parois chaudes l’accueillirent et il s’enfonça doucement en elle. Il
    se mit à donner des petits coups de reins, ses mains toujours posées sur elle, celles
    de Cécile plaquées contre le carrelage. Il accéléra le rythme, son sexe s’enfonçant en
    entier, chaque coup arrachant à Cécile un gémissement de plaisir. Elle jouit contre
    lui, ses gémissements se faisant de plus en plus forts, aboutissants en un petit cri
    de plaisir aigue et essoufflé. Il ralentit. Elle était extrêmement sensible après le
    climax et aimait prendre une pause. Elle reprit son souffle puis tourna la tête vers
    Camille, ses joues rouges de chaleur et d’excitation.

    « Tu vas avoir besoin d’un trou plus serré pour finir une deuxième fois… » Camille
    sourit.

    Cécile était une vraie coquine. Il se saisit de sa queue, se retirant de sa chatte et
    plaça le gland plus haut. Il fit d’abord pénétrer un doigt, puis deux, la dilatant.
    Enfin il commença à appliquer une pression avec son sexe, se guidant avec une main.
    Doucement, il se poussa en elle, la mouille de sa chatte encore sur son sexe. Le gland
    peina à entrer mais enfin il le sentit s’engouffrer pleinement, sa verge s’enfonçant à
    son tour. Cécile émit un petit son de douleur. Il posa alors un doigt contre son
    clitoris et commença à faire de petites caresses avec un mouvement circulaire. La
    douleur s’effaça, laissant place au plaisir et Camille commença à lui limer le cul.
    Elle était pleinement dilatée, ses fesses claquant contre son bassin. Il exacerba le
    rythme, puis, son sexe engouffré dans son trou serré, il lâcha sa semence en elle.



    Ils se préparèrent pour la soirée. Cécile avait un air satisfait – si c’était du à
    leurs ébats ou alors au fait qu’elle l’avait baisé avant Mélanie ou même en
    anticipation de James, il n’en savait rien. Elle avait prévu une tenue pour la soirée,
    enfilant un string en dentelle blanc, un shorty en jean et un haut large sans manches.
    La vue de son cul moulé dans le shorty fit rebander Camille qui s’était enfilé un t-
    shirt sobre et un jean bleu marine. Cécile le vit.

    « Gardes-en pour ce soir bichon. »

    Il était tenté d’ignorer le commentaire et de la prendre une nouvelle fois mais ils
    n’avaient pas le temps. Il ne voulait pas laisser la chance à un autre de profiter de
    Mélanie. Il se contenta d’une fessée sur la fesse gauche de Cécile. Elle lâcha un
    petit cri taquin.

    Ils quittèrent l’appartement de bonne humeur et prirent la ligne onze en direction du
    nord. Il était vingt-et-une heure et la nuit tombait. Elle allée être chaude, Camille
    espérait qu’elle le serait dans tous les sens du terme.

    Il avait appelé James en se préparant. Quand il avait mentionné Cécile celui-ci avait
    confirmé qu’il viendrait sans hésiter, une pointe d’excitation dans sa voie. Pour
    Cécile, une bonne soirée était assurée, il espérait juste que ce serait de même pour
    lui.

    Ils arrivèrent à la fête vingt minutes plus tard. Une dizaine de personnes étaient
    déjà arrivées mais Mélanie n’en faisait pas partie. Camille discuta avec diverses
    personnes attendant avec impatience l’arrivée de celle qui l’avait enchanté pendant le
    cours. James arriva une heure plus tard. Camille lui présenta Cécile et les laissèrent
    flirter en paix.

    Il était vingt-trois heures et Camille se trouvait sur le balcon. Il la vit tout de
    suite. Mélanie entra dans le salon, portant une nouvelle robe toute aussi légère que
    la première. Elle fit la bise à l’hôte de la soirée et commença à discuter. Camille
    sentait l’excitation pointer à nouveau. Il ne pouvait s’empêcher de la regarder. Elle
    avait une peau crémeuse et blanche parsemée de petites tâches de rousseur. Ses cheveux
    se baladaient autour de ses épaules, la lumière faisant apparaître des reflets roux.
    Sa robe s’arrêtait juste au-dessus de la ligne de ses seins. Encore une fois, elle ne
    portait pas de soutien gorge. Deux petites impressions dans le tissu laissaient
    deviner ses tétons. Elle parlait à présent avec des copines, son dos face à lui. La
    robe tombait contre ses formes, épousant la courbure de ses hanches et fesses. Il
    n’arrivait pas à discerner si elle portait un bas. La lumière perçait le tissu,
    faisant ressortir la blancheur de sa peau dessous.

    La soirée battait son plein, James et Cécile s’étaient éclipsés et Mélanie était
    assise dans un canapé, un verre à la main. Elle discutait avec un mec, plutôt beau
    gosse, clairement intéressé. Camille savait qu’il devait agir bientôt s’il voulait
    avoir une chance. L’occasion se présenta- le mec avec qui elle parlait se leva et se
    dirigea vers les toilettes. Camille s’avança vers le canapé.

    Mélanie le regarda s’approcher, un sourcil légèrement levé, l’air curieux.

    « Salut, moi c’est Camille. »

    « Je sais qui t’es. » Elle avait une voix douce.

    Camille s’assit à côté d’elle.

    « Tu sais, je pense que le mec avec qui tu parlais est très intéressé. » Il ne savait
    pas pourquoi il lui disait ça, c’était sorti tout seul. A vrai dire il ne se sentait
    pas à l’aise.

    Elle rit, « Tu es venu me parler pour m’arranger un coup ? » Son sourire n’était pas
    moqueur, taquin plutôt.

    Camille se sentait rougir. Il sourit, il fallait rattraper le coup, « Non, enfin en
    tout cas pas avec lui. » Putain, décidément il n’arriverait pas à sortir une phrase en
    sa faveur.

    Elle rit une nouvelle fois - un son délicieux, « Ah je vois. C’est vrai qu’aujourd’hui
    t’avais l’air un peu en chien en amphi, à reluquer toutes les filles… »

    « J’observais simplement les tendances mode de la nouvelle saison. »

    « Hmm, oui ce devait être ça. »

    « Et toi alors, tu regardes toujours vers l’arrière pendant un cours ? »

    « De temps en temps… j’aime beaucoup les choses qui se passent à l’arrière. » Elle
    sourit.

    Camille se sentait durcir une nouvelle fois. Un silence s’ensuivit.

    « Tu sais, la chambre au fond à une très belle vue sur la ville, je suis déjà venue
    une fois. Tu veux voir ? »

    Camille n’arrivait pas à croire sa chance. Il fit oui de la tête. Mélanie se leva, le
    prit par la main et le guida vers la belle vue. Ils croisèrent le mec avec qui elle
    avait discuté sur le canapé, revenant des toilettes. Il eut un regard étonné en les
    voyant passer. Camille se sourit à lui même.

    La chambre baignait dans l’obscurité, la seule source de lumière un fin rayon blanc de
    lune entrecoupé par l’ombre de nuages sombres. Mélanie se tint debout, devant la
    fenêtre, contemplant le panorama superbe de la capitale. La lumière embrassait ses
    courbes, transperçant le tissu de la robe et laissant apparaître sa peau nue. Elle ne
    portait pas de sous vêtements. La raie de ses fesses se dessinait parfaitement dans
    l’obscurité. Il s’approcha d’elle.

    « J’adore cette vu. C’est une des seules raisons pour laquelle je suis venue ce soir.
    »

    « Une des seules ? Pas la seule ? » Camille sentait son cœur battre à tout allure.

    « Faut voir, tout dépend de comment se passe le restant de la soirée… »

    Camille posa une mais sur sa nuque. Elle pencha sa tête vers la droite, ses cheveux
    glissant le long de son épaule. Il embrassa sa peau, se colla à elle. Le haut de sa
    tête arrivait sous son menton. Il sentit le parfum de ses cheveux. A présent, la
    courbure de ses fesses se moulait à lui. Elle remua légèrement le bassin, se frottant
    contre son membre dur.

    « Déshabille toi. » Sa voix était toujours douce mais ferme. Elle regardait toujours
    par la fenêtre.

    Camille enleva son t-shirt, puis les chaussures, le jean et enfin le caleçon. Il se
    plaça de nouveau derrière elle, se collant au tissu de sa robe, nu. C’était une
    sensation agréable, elle continuait de se frotter à lui, la matière de la robe
    chauffant son sexe, caressant son gland devenu sensible.

    « Hmm… Soulève ma robe, je veux te sentir entre mes cuisses. » Elle avait les yeux
    fermés, un sourire aux lèvres.

    Il s’exécuta, tirant le tissu vers le haut, révélant ses fesses nues et fermes. Il la
    caressa d’une main, ses doigts glissants sur ses reins vers ses cuisses. Enfin, il
    plaça sa queue contre sa chatte déjà humide. Elle se frotta à nouveau à lui, ses
    cuisses serrées autour de son membre raide, écartant légèrement ses lèvres. Il plaça
    une main sur un sein rond et ferme, le téton dur au toucher. Elle frissonna puis se
    retourna, pressant son sexe contre son ventre. Il sentit une fine trainée de liquide
    s’étalant du bout de son gland sur son ventre. Elle lui sourit. Il saisit les bords de
    sa robe et souleva, la dénudant totalement. Ils s’embrassèrent nus devant la vue.

    Elle glissa vers le bas, son regard rivé au sien. A genoux, nue devant lui, son dos,
    reins et fesses baignant dans la pâle luminosité, elle le prit en main. Elle lécha du
    bout de sa langue le liquide pré-séminal qui s’était échappé de son sexe. Elle le
    branla doucement, s’arrêtant pour lécher le long de sa verge, épaisse et dure dans sa
    main. Elle le prit en bouche, tétant son gland avec le bout des lèvres puis
    l’englobant pleinement. Elle alterna, par moments le laissant toucher le fond de sa
    gorge, et à d’autres ses lèvres caressants le bout de sa queue. Elle le suça de
    longues minutes, puis, n’en pouvant plus, il la releva, la souleva et l’allongea sur
    le lit. Il lui écarta les cuisses, une main posée contre son torse, la poussant au
    lit. Elle avait une fine ligne de poils traçant le long de sa chatte. Il posa sa
    langue délicatement contre son clitoris enflé. Il se mit à le titiller puis le lécher
    du bout de sa langue, parfois le caressant du bout du pouce. Mélanie gémissait à
    présent, ses cuisses frémissantes contre sa tête. Il glissa un doigt, puis deux en
    elle, continuant de la lécher. Elle plaça les mains sur sa tête, l’encourageant, ses
    doigts se contractant. Elle laissa échapper un long gémissement, son corps tremblant
    alors qu’elle jouit.

    Camille se releva, s’allongeant entre ses cuisses ouvertes. Son regard était à nouveau
    fixé sur le sien mais cette fois il n’y voyait qu’envie et désire. Il plaça son sexe
    entre ses cuisses, le frottant et l’appuyant contre sa chatte, son clito chatouillant
    le bout de son gland. Elle gémit une nouvelle fois, l’implorant des yeux de la
    pénétrer. Il attendit encore un instant, la taquinant, puis s’enfonça en elle sans
    aucune résistance. Elle était trempée.
    Camille s’enfonça jusqu’au bout de sa verge, sentant ses boules se poser contre sa
    peau. Elle poussa un cri de plaisir, plaçant ses mains sur ses fesses, l’encourageant.
    Il la prit de plus en plus fort, sentant ses jambes se resserrer autour de son corps.

    Il la fit jouir une nouvelle fois, puis se retira et la retourna brusquement. Il la
    plaqua contre le lit, se glissant à nouveau en elle. Il la baisa, son ventre plaqué
    contre son dos, son bassin s’appuyant contre son petit cul bombé.

    Il la prit en levrette, ses boules tapant contre elle. Elle passa une main sous elle
    pour les saisir et les caresser. Il avait les deux mains fermement sur ses hanches.
    Elle se mit à bouger d’elle même. Il la lâcha, ses fesses venant se cogner à son
    bassin, sa queue raide et longue en elle.

    Enfin elle s’assit sur lui et le chevaucha longuement. Il lui caressait les seins.

    Essoufflée, le montant toujours elle le regarda –

    « Je veux sentir ta semence sur mon visage. »

    Il la souleva, son sexe quittant l’emprise de ses parois chaudes. Elle s’allongea
    devant lui alors qu’il se tenait à genoux sur le lit, son sexe luisant. Elle le
    branla, l’encourageant du regard. Elle le supplia de gicler. Il le fit, sa semence se
    répandant épaisse et argentée sur son visage. Elle écarta les lèvres, laissant couler
    le foutre sur sa langue.

    Il lui administra une petite biffle au visage, la faisant sourire – ce même regard
    coquin qu’elle avait eu l’après midi en cours.

    Mélanie ne l’avait pas déçu.

    Les courbes du printemps II


    Camille se réveilla entortillé dans les draps. La lumière du matin contrastait avec l’obscurité de la veille. Il se retourna. Mélanie était étendue à côté de lui sur le ventre, son torse entouré du drap. Ses fesses étaient nues, sa peau baignant dans la lumière dorée. Il était en érection. Il glissa une main entre les cuisses de la fille. Elle murmura dans son sommeil, devenant moite rapidement sous son toucher. Il la doigta, écartant son petit trop, la sentant chaude et serrée. Il se positionna au-dessus d’elle, se plaça entre ses cuisses et la pénétra. Il se mit à la baiser, de plus en plus fort. Elle se réveilla, surprise d’abord puis se laissant bercer par le plaisir. Il la prenait à grands coups de reins, son sexe au plus profond d’elle. Elle gémissait à chaque coup. Elle jouit entre deux mouvements de hanches. Il se retira et elle se retourna, essoufflée. Il s’agenouilla sur son torse et plaça sa queue entre ses seins. Elle les serra ensemble, pressant sur sa queue. Il se remit à donner des coups de reins. La peau ferme de ses seins était chaude contre son gland. Son sexe frôlait son menton à chaque coup. Elle tendit sa langue, touchant son gland à chaque passage. Il gicla, sa semence recouvrant ses seins et le bas de son visage.

    Mélanie sourit, « Salut. »

    « Bonjour mademoiselle. »

    « Il faut qu’on se revoit, toi et moi… »

    « Oh ça oui. »

    « Mais attention, je ne cherche pas du sérieux Camille. »

    « J’imagine bien. De toute façon c’est relativement difficile de faire une déclaration d’amour sérieuse dans cette position. » Elle lui fit un clin d’œil et lécha une partie de sa semence sur ses lèvres. Il se retira. « Mais je te préviens, je vais avoir du mal à me passer de tes belles fesses longtemps. »

    « Et moi de ça. » Elle se saisit de son sexe encore dur, « Mais aussi de ça. » Elle l’embrassa tendrement.

    « Ca va un peu à l’encontre de ce que tu viens de dire. » Mélanie haussa les épaules, se leva et ramassa sa robe.

    « Je dois y aller, j’ai un rendez-vous. »

    « Tu sais même pas quelle heure il est. »

    « Justement beau gosse, je dois surement être en retard. T’inquiètes je te laisse mon numéro, on se revoit bientôt.»

    Elle vit son regard déçu et s’agenouilla entre ses cuisses, prenant une dernière fois sa queue en bouche. Il frissonna – la peau étant encore sensible. Elle se releva et quitta la chambre, laissant Camille au lit. Il se retourna vers la table de chevet et vit un papier. Dessus était écrit un numéro de portable. Il sourit.

    La porte de la chambre s’ouvrit. Cécile entra.

    « Mais qui était cette charmante demoiselle que j’ai croisé dans le couloir ? Elle semblait venir de ta chambre. »

    « Cécile ? Mais tu n’es pas parti avec James ? »

    « Non, on a squatté la chambre du fond. En tout cas, je dis bravo l’Australie !»

    « Et il est parti ? »

    « Oui. Il m’a laissé toute seule. » Elle fit la moue.

    « Et moi Mélanie m’a abandonné. »

    Cécile passa la main sous le drap. Elle se saisit de son sexe encore dur.

    « Elle t’a peut-être abandonnée mais elle a encore de l’effet ! »

    Camille sentit l’excitation monter de nouveau.

    « Hmm tu l’as bien baisé ce matin ? »

    Camille fit oui de la tête.

    « Je me demande quel goût elle a laissé sur toi… » Sur ce Cécille passa sa tête sous le tissu et se mit à lécher le long de sa verge.

    Il la prit à quatre pattes devant la fenêtre, là où quelques heures auparavant Mélanie avait gémi de plaisir.
    Après avoir jouit en elle ils restèrent un moment au lit puis Cécile se leva. Elle alla pour ramasser ses vêtements puis s’arrêta.

    « Mélanie est parti sans dessous on dirait ! » Elle tenait un string en dentelle noir. Puis, souriant toujours, elle le renifla.

    « Son odeur est aussi bon que son goût… Je crois qu’il faudrait que je m’organise une petite soirée avec elle également. » Elle enfila le string et fit un tour sur elle même. Le soleil la baignait dans une lueur blanche.

    « Très sexy, vraiment. » Camille la regardait du lit.

    « Je lui rendrait. »


    Camille laissa passer la journée avant d’envoyer un texto à Mélanie. Il n’eut pas de réponse avant le dimanche soir. C’était une photo. Il cliqua pour l’ouvrir. Mélanie était assise, les cuisses ouvertes, la langue de Cécile posée sur sa chatte. Les deux avaient le regard coquin, les yeux rivés sur l’objectif. Mélanie tenait le téléphone au-dessus d’elle offrant une vue plongeante sur la scène. Ses beaux tétons roses pointaient comme lorsqu’il l’avait caressé. Il se masturba devant la photo, empli de désir mais aussi de jalousie. Il eut du mal à s’endormir, impatient de voir les deux tentatrices en cours le lendemain.

    Le matin vint gris et lourd. La pluie se mit à tomber alors que Camille passa les portes de l’amphithéâtre de la fac. Il scanna les têtes mais ne vit ni Cécile ni Mélanie. Le cours commença, le prof entonnant son monologue d’une voix soporifique et plate - annonçant la couleur pour le restant du cours. Une demie heure passa. Camille avait la tête posée sur ses bras, somnolant tandis que l’orateur poursuivait son baratin habituel quand il sentit quelqu’un s’asseoir à côté de lui. Il leva la tête. Cécile le regardait, un sourire aux lèvres.

    « Alors tu as aimé la photo ? »

    « A ton avis ? Mais j’aurais préféré être invité. »

    « Oh ne le prends pas mal tu sais, c’était pas prévu, j’allais simplement lui rendre sa lingerie. S’est arrivé, voilà tout. »

    « Tu veux dire qu’en allant rendre le string que je lui avais ôté deux soirs au paravent après avoir clairement annoncé le fait que t’avais envie de gouter à sa chatte, tu es allé chez elle et s’est juste arrivé? »

    « Voilà, et oui c’était le même string. D’ailleurs elle m’a chargé de t’informer qu’elle souhaiterait que tu lui ôtes celui qu’elle porte aujourd’hui. »

    « Maintenant là ? »

    « Oui maintenant, je me suis chargé du réveil, à toi de prendre la relève. »

    « Tu as passé la nuit chez elle ? »

    « Oh oui, et on a baisé comme des bêtes. Elle a une belle panoplie de jouets tu sais. Elle adore les godes ceintures…» Camille ne put s’empêcher d’imaginer la scène.

    « Elle est chez elle là ? Tu as son adresse ? »

    Cécile lui tendit un papier, puis passa une main sur son sexe au travers le denim de son jean.

    « Allez étalon. »

    Il quitta la salle sans se soucier du bruit que fit la porte, claquant fortement derrière lui, mettant fin au bruit constant et monotone du monologue.

    Il prit le métro jusqu’à Censier sur la sept. L’immeuble se trouvait dans la rue Mouffetard. C’était une belle bâtisse en pierre de taille. Il fit le code à la porte et monta les cinq étages. Il frappa à la dernière porte au bout d’un long couloir richement décoré. En tout cas, Mélanie ne venait pas d’une famille désemparée.

    La porte s’ouvrit. Elle portait un débardeur léger laissant voir son ventre et un beau décolleté. Ses seins étaient pressés ensemble dans un soutien gorge en dentelle qui dépassait légèrement du haut. Elle portait également un jean bleu taille basse s’arrêtant juste en dessous de sa taille. Son ventre courbait vers son entre jambe, le jean soulignant la suggestion du haut de sa chatte épilée. Elle lui tendit la main, l’invitant à entrer. Camille la suivit, pénétrant dans un grand salon. La pesante lumière du ciel lourd filtrait à travers des rideaux fins qui se trémoussaient dans la brise légère. Dehors la pluie tapotait agréablement sur le zinc des toitures avoisinantes.

    Elle l’emmena dans une chambre adjacente au salon. La pièce était également spacieuse, éclairée par la même lumière et bercé par le même mouvement de rideaux. Les murs et les draps sur le grand lit au centre de la chambre étaient blancs, le parquet ciré le seul élément perturbateur de la pièce – un marron foncé. Mais le contraste prêtait la touche parfaite d’ambiguïté à la pièce. Il tourna son regard de nouveau vers la belle fille devant lui. Elle se défit les cheveux, jusqu’à présent retenus par un chinon noir. Ceux-ci tombèrent autour de ses épaules, libérés. Elle fit glisser ses mains le long de son buste, partant de la nuque, parcourant la courbe de ses seins pour s’arrêter à la cime du débardeur qu’elle saisit. Elle le tira vers le haut, l’enlevant. A présent elle se tenait devant lui, le regard fixé au sien, ses beaux seins se peaufinant au travers de la dentelle noire de son soutif. Elle le défit, laissant apparaitre ses tétons déjà raides. Elle s’approcha de lui, posa ses mains sur son torse puis tira le tissu de son t-shirt vers le haut. Une fois torse nu, elle glissa vers le bas et se mit à genoux devant lui. Elle posa une main sur sa braguette, sentant son membre raide dessous. Elle le regarda à nouveau, son visage sérieux. Elle défit lentement la fermeture éclaire puis fit glisser une main dans son jean. Elle le caressa à travers le coton du boxeur devenu trop serré. Elle défit sa ceinture puis le bouton de son jean qu’elle tira vers le sol. Elle se mit à lui lécher le sexe toujours à travers le tissu. Il bandait fort à présent. Enfin elle tira le sous vêtement vers le bas, libérant son membre raide. Elle le tint, à quelques millimètres de son visage, entre ses doigts délicats, observant le gland déjà lubrifié du jus pré séminal. Elle fixa de nouveau le regard au sien, toujours sérieuse, puis ouvrit doucement la bouche. Lentement elle le prit en bouche, le savourant. Elle le prit en bouche entièrement, son gland touchant le fond de sa gorge. Puis elle se mit à le limer doucement. Il observa le vas et vient de ses lèvres sur sa verge, puis laissa son regard parcourir son corps – ses cheveux balançant lentement avec chaque mouvement, caressant la peau douce de ses épaules et du dos. Son regard se posa ensuite sur ses reins découverts et ses fesses moulées par le jean. Il sentit l’excitation monter en flèche, et ne pouvant s’en empêcher, il éjacula sous l’emprise chaude de sa bouche. Sa semence se déversa dans sa gorge. Elle en avala la totalité.

    « Exactement ce que je voulais. » Elle le regardait toujours, souriante à présent.

    Il la souleva et la recula contre le lit. Il la fit s’allonger. Elle se laissa faire. Il la caressa, sa main parcourant le long de son corps, de ses cuises au dos de sa nuque. Il donna de petites léchouilles sur les pointes de ses tétons, puis continua de poser des baisers le long de son ventre, descendant vers le haut de son jean. Il s’arrêta puis défit le premier bouton. Il plaça un baiser sur son entre jambe puis défit les trois autres boutons d’un seul mouvement, écartant les bords de la fente de son jean. Il luis resserra les cuisses pour l’aider à enlever le pantalon serré. Comme promit, elle portait un joli string blanc. Il était simple, sans ornement mais trempé de la mouille de son propriétaire. Le tissu était quasi transparent, laissant apparaître sa peau blanche et crémeuse au travers. Il plaça un nouveau baiser sur ses lèvres, puis parcouru le long de sa chatte avec sa langue. Elle avait le même goût que le vendredi – entre amer et sucré. Il se mit à la lécher du bout de sa langue à travers le tissu, titillant son clitoris déjà gonflé. Elle gémit, ses mains se saisissant des draps blancs. Il écarta le tissu trempé. Enfin il se mit à la lécher, alternant parfois avec de petites caresses du bout des doigts ou de la paume de sa main. Il la lécha longuement, et tout du long se sentait durcir à nouveau. Une fois son sexe bien raide et Mélanie ayant joui au rythme de ses caresses, il remonta vers son visage, s’allongeant entre ses cuisses grandes ouvertes. Il glissa sa main vers son entre jambe et positionna son sexe. Il n’eut même pas à faire pression, son sexe glissant en elle d’un coup. Elle resserra ses jambes autour de sa taille et il se mit à la baiser – d’abords avec des petits vas et viens, puis augmentant peu à peu la cadence pour enfin lui arracher de grands gémissements. Il était au fond d’elle, son gros sexe leur procurant tous deux un plaisir intense. Elle jouit à nouveau et il se défit de son étreinte pour la retourner. Il plaqua d’une main sur le ventre et lui resserra les cuisses. Puis il se guida de l’autre main de nouveau entre les lèvres de sa chatte accueillante. Elle souleva légèrement le bassin, collant ses fesses à lui. Il la pénétra fermement, sentant avec chaque mouvement ses boules tapoter contre sa chatte. Il lui administra une fessée qui lui arracha un nouveau cri de plaisir. Il se mit à genoux derrière elle, retirant son sexe. Il se saisit des ses fesses, et, les écartant, repositionna son gland contre son anus. Il le fit entrer lentement, déjà lubrifié par sa mouille. Doucement, il recommença les vas et viens, lui sous tirant de petits gémissements timides. Son trou se dilata mais restait très serré autour de sa verge. Il lui baisa le cul lentement, la sentant crispé entre la douleur et l’excitation. Ils se mirent à quatre pattes pour faciliter la pénétration. Il put accélérer le mouvement. Il la baisa de plus en plus vite. Au bout de quelques minutes cependant elle se retourna –

    « Ca m’excite mais j’ai mal. Franchement ta queue est trop grosse. » Camille se retira.

    « Viens sur moi. »

    Enfin, au rythme de la pluie matinale, elle le chevaucha, ses fesses venant rebondir contre ses boules, sa peau recouverte d’une fine membrane de sueur. Elle ferma les yeux tandis qu’ils jouirent ensemble.

    aucun commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique