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Par Francky 94 le 2 Juillet 2013 à 15:00
Récit érotique écrit par Minpass.
Auteur homme jhsoushotmailcomUn grand inconnu III
METRO, BOULOT, SODO
Il était trois heures du matin. Mathias se branlait pour la troisième fois. Le gode qu’il s’était procuré deux jours plus tôt était fermement enfoncé, les vingt centimètres luisants de lubrifiant, dans son trou dilaté.
Il jouit au bout de quelques secondes, le gode lui procurant un plaisir intense. Il gouta sa semence, puis en récolta la totalité sur ses doigts et les lécha. Il s’imagina à la place la queue de l’homme et sa semence épaisse – bien plus que la sienne. Son téléphone vibra. C’était un message de l’homme – qu’il avait simplement appelé M dans son répertoire. M pour maître. Il ouvrit le message –
Je parie que t’es encore réveillé à te branler petite lope. Tu t’amuses avec ton nouveau jouet ?
Mathias s’empressa de répondre –
Oui maître, mais je préfère votre queue.
Il reçu un nouveau message, cette fois ci contenant une photo. Il l’ouvrit. C’était un cliché du sexe de l’homme, le gland enfoncé dans une bouche féminine. Un texte accompagnait la photo –
Ce soir c’est une petite salope qui s’en occupe. Mais ne t’inquiètes pas on se revoit bientôt.
Mathias s’endormit, l’excitation toujours présente.
Le lendemain il attendit la fin de la journée avec impatience. C’était un samedi et il avait rendez vous avec l’homme le soir même. M lui avait promit une surprise, lui laissant des instructions claires : le retrouver à son bureau, rue de Rivoli, portant un string en dentelle rose en guise de sous vêtements. Depuis sa rencontre avec l’homme il s’épilait régulièrement la petite touffe de poils pubiens. Il était autorisé à se pénétrer une fois par semaine avec le gode pour ne pas trop dilater son anus. Il devait régulièrement se brancher sur Skype pour un échange cam avec son nouveau maître. Si il ne se montrait pas suffisamment assouvi, l’homme avait établi un compte de fessées qu’il lui administrait au prochain rendez vous. Ce soir il devait en recevoir une vingtaine. L’homme n’y allait jamais de main molle.
Mathias avait cessé de porter intérêt aux filles de la fac. Il ne regardait même plus de porno hétéro, mais s’imaginait à la place satisfaisant le sexe impressionnant de M. Il y avait eu trois rendez vous depuis l’épisode avec la belle brune. M l’avait assuré qu’il aurait le droit de la revoir si il se comportait en bon soumis, elle et même d’autres. L’homme ne passait jamais une nuit seul. Entre ses conquêtes féminines et masculines, il avait l’embarras du choix.
Mathias avait tout de même honte de sa situation. L’homme, malgré les quelques claques et ses manières brusques, n’avait pas eu besoin d’employer de grands moyens pour le soumettre à des pratiques homosexuelles. La réalité était qu’il se sentait destitué de toute semblance de virilité devant cet être viril et massif. Il ressentait un besoin de satisfaire, de servir qu’il n’avait jamais connu auparavant. Mais la honte ne suffisait à le détourner de sa nouvelle orientation. Il n’avait plus à se soucier de la taille de sa verge ou de sa performance vis à vis des femmes. L’homme le voulait comme il était – un éjaculateur précoce à petit sexe. Il avait apprit à sucer et satisfaire une queue. Il avait de petites fesses bombées et imberbes et pouvait faire bander son maître avec un regard. Mathias n’avait pas besoin d’être un homme à présent, seulement d’en satisfaire un.
A dix-neuf heures if enfila le string, la dentelle serrant ses petites boules et son sexe déjà raide à l’idée de ce qui allait arriver. Il mit également un jean noir serré et un t-shirt. Il quitta l’appartement, comme d’habitude son cœur battant à pleine allure en anticipation.
Le bureau de M. se situait dans un grand immeuble en pierre de taille. La porte principale donnait sur les arcades de la rue de Rivoli. Il n’était encore jamais venu. Il sonna à la porte. Celle-ci s’ouvrit avec un déclic. Le soumis monta au cinquième. Il entra dans un appartement lumineux donnant sur un balcon et une vue des Tuileries. L’homme se tenait prêt de la fenêtre. Il était au téléphone et fit signe à Mathias d’attendre. M était vêtu d’un costume noir élégant. Mathias sentait son petit sexe se durcir à nouveau. L’homme raccrocha enfin et se retourna.
« Tu n’as pas besoin de tes vêtements. Gardes le string. »
Mathias obéit sans attendre et se déshabilla. L’homme le reluqua puis l’ordonna de se mettre à genoux. Mathias s’exécuta encore une fois. Une porte s’ouvrit à l’opposée du couloir menant vers l’entrée. Deux autres hommes en émergèrent, tous deux vêtus de costumes. Comme son maître, ils étaient grands et musclés. Mathias était surpris, il n’avait eu aucun indice quand au fait qu’il ne serait pas seul avec M. Cependant, il ne se releva pas pour autant, restant à genoux au centre de la pièce, la dentelle dessinant la courbure de ses fesses. L’anticipation montait avec l’approche des deux mâles.
M regardait de nouveau par la fenêtre, indifférent. Il garda le silence tandis que les deux hommes s’approchèrent et se placèrent devant Mathias. Ils défirent leurs braguettes ainsi que leurs ceintures, laissant tomber les pantalons de costards. Au travers de leurs caleçons se dessinaient deux belles bosses. Ils restèrent un moment immobiles, laissant le soumis contempler ce à quoi il serait bientôt confronté. Puis, ils baissèrent leurs caleçons pour révéler deux gros sexes, en phase d’érection. Un des deux hommes plaça une main derrière la tête de Mathias et l’amena contre sa verge. Mathias sentit une odeur forte mais qui ne fit que l’exciter. Timide, il tendit sa langue, chatouillant la peau du bel engin. L’homme lâcha prise, le laissant se reculer pour mieux le lécher. Mathias caressa de sa langue la longueur du sexe, s’attardant sur les testicules grosses et emplies. Il prit la queue en main et se mit à la branler.
« Ca je peux faire tout seul lope, fait ton devoir de bonne salope et suce. » Mathias leva les yeux, et, son regard rivé à celui de l’homme le dominant, il prit la queue en bouche. Il se mit à la téter, savourant son goût amer. L’homme venait d’uriner, il en était conscient au gout plus acide. Ce ne fit que l’exciter d’avantage. Mathias sentit la verge se durcir peu à peu contre son palet, emplissant sa bouche. L’autre homme se caressait, regardant le soumis à l’œuvre sur son ami.
Comment en était-il arrivé là ? Mathias se posa la question, la queue de l’homme touchant le fond de la gorge, en pleine érection à présent. Et puis merde ! C’était tellement bon, il s’en foutait après tout.
Il sortit la queue de sa bouche, continuant de la branler avec sa main droite, pour s’occuper de son voisin. La nouvelle queue avait également un gout amer mais accentué par la texture plus visqueuse du liquide pré séminal. Elle était moins épaisse que la première mais indiscutablement impressionnante tout de même. Il suça ainsi les deux hommes tour à tour.
Enfin, l’un des deux le souleva par les épaules, le retourna, lui donna une claque sur les fesses et le poussa en direction du bureau. Le deuxième le cambra sur le bois ciré du meuble, comme l’avait fait M lors de leur première expérience. Ils le caressèrent, faisant courir leurs mains sur ses fesses, lui attribuant quelques petites tapes sur les boules et les cuisses. Mathias gémit en anticipation. L’un d’eux tira le string vers le bas. Puis prit un pot posé sur le bureau. C’était du lubrifiant. Il se mastiqua le sexe puis se positionna derrière Mathias, plaçant son sexe entre les fesses de Mathias. Il se colla à lui et se frotta doucement, signifiant au soumis sa dominance. Enfin, il plaça son gland contre le petit trou et poussa. Il ne peina pas trop à entrer, faisant entrer son gland puis le sexe en entier. Les mains de Mathias étaient crispées contre le bureau. Le plaisir et la douleur se combinaient dans un fracas délicieux.
L’homme resta un instant en lui sans bouger. Puis il se mit à commencer les vas et viens. Il l’encula ainsi longuement, alternant le rythme. Puis, soudainement, il se saisit de ses hanches et le souleva légèrement, le décalant vers le coin du meuble. Son partenaire se plaça de l’autre côté, devant la bouche de Mathias. Il tendit son sexe. Mathias ouvrit la bouche laissant entrer le gland luisant. Ils le limèrent longuement, l’un la bouche et l’autre le cul, alternant deux fois avant que Mathias ne sente le deuxième se lâcher en lui, le foutre l’emplissant. L’autre ne tarda pas, maintenant la tête de Mathias alors qu’il déversa sa semence dans sa gorge. Le soumis avala tout. Ils se retirèrent, laissant Mathias encore cambré sur le meuble, son string mi-cuisse, la semence coulant le long de sa jambe et une goute débordant sur la lèvre. L’un des deux hommes lui caressa la fesse avec une main avant de se rhabiller.
Les deux hommes s’entretinrent brièvement avec M puis quittèrent ensemble l’appartement.
M s’approcha de Mathias qui avait remonté le string.
« Vas te rincer la bouche. » Mathias obéit, se dirigeant vers la cuisine.
Quand il revint l’homme le poussa contre le meuble.
« Déshabille moi. » La lope le fit, déboutant la chemise, puis le pantalon. Il s’arrêta sur le caleçon pour caresser la queue de son maître. Celle-ci était déjà dure. Puis il fit glisser le tissu, révélant le bel engin. Il la branla doucement puis s’agenouilla à nouveau pour la sucer. Contrairement aux autres fois, l’homme ne fut pas brusque. Il laissa Mathias le prendre en bouche puis guida le mouvement avec des mains tendres.
M le releva et pour la première fois l’embrassa. Mathias sentit sa langue dans sa bouche, contre la sienne. La relation dominant-dominé subsistait mais Mathias se sentait fondre contre son maître, son sexe raide. L’homme avait les mains sur ses fesses, puis un doigt en lui. Il le voulait en lui. L’homme le sentit et le souleva, le posant sur le bureau. Il lui serra les cuisses pour enlever le string. Les deux hommes nus continuèrent de s’embrasser, leurs sexes se confondant – l’un massif, l’autre petit mais tout aussi raide. M lui écarta les cuisses puis passa une main sur ses boules fermes. Il les prit tendrement entre ses doigts et les malaxa. Mathias se saisit de la queue de l’homme et la branla lentement.
« Faits moi l’amour. » Il dirigea la queue de l’homme vers son anus.
L’homme l’embrassa une nouvelle fois, et, pendant que sa langue se baladait dans la bouche de Mathias, il fit pression avec son sexe, pénétrant peu à peu le trou toujours lubrifié. Le gland entra totalement et Mathias sentit l’homme accentué la pression pour faire entrer la verge. Il gémit de plaisir. La semence des deux hommes aida la pénétration et l’homme se mit à donner de grands coups de reins, tout en tendresse. Il posa une main sur le torse de Mathias, l’autre sur son bassin. Il lui fit l’amour, ses grognements se mêlant aux gémissements de Mathias. Il se saisit du sexe de celui-ci et se mit à le branler doucement. Le soumis jouit au bout de quelques mouvements seulement, un fin trait argenté se répandant sur son ventre. L’homme accéléra le rythme, sa respiration devenant plus forte. Enfin il s’immobilisa après un dernier coup fort et Mathias se sentit emplir d’un liquide chaud. L’homme tremblait légèrement. Il resta en lui, sa queue toujours raide, ses mains tenant les hanches du soumis. Enfin il se retira.
« Tu as été parfait aujourd’hui. Cependant je te dois encore les fessées. » Mathias sourit puis se retourna, se cambrant à nouveau sur le meuble.
L’homme commença avec de petites tapes, pour finir avec des claques fermes laissant une trace rouge sur la fesse de Mathias.
« Tu peux rester ce soir si tu veux. » Mathias n’hésita pas et fit oui de la tête.Un grand inconnu IV
Quelques instants de bonheur
L’homme était debout prêt de la fenêtre, la lumière de l’après midi filtrait finement sur son corps nu. Il Le jeune homme était allongé sur son ventre dans le lit défait, nu également. Les deux étaient de corpulences opposées. L’homme avait une musculature impressionnante, une mâchoire et un visage fort, une barbe de trois jours et des cheveux courts. Ses fesses étaient musclées, l’ombre jetée par la lumière dorée, se dessinant parfaitement contre sa peau ferme. Il était de profil et le jeune homme le contemplait depuis le lit. Son regard parcourait ce corps puissant, s’arrêtant sur le sexe long et épais qui pendait à demi dur entre ses cuisses. Il luisait encore d’un mélange de salive et de lubrifiant. Le jeune homme, quant à lui, était fin. Ses reins étaient légèrement surélevés, son bassin posé sur l’amas de draps souillés par leur sueur. La position accentuait la courbure forte de ses fesses bombées. A vraie dire, dans cette position, le jeune homme ressemblait plus à une jeune femme. Il était imberbe. Ses fesses et sa peau luisaient également à la lumière du jour, des traces de sperme encore visibles sur le bas du dos. Il avait les cheveux bruns et courts. Sa peau était blanche, crémeuse presque. Il s’enfoui le visage dans le tissu de l’oreiller.
L’homme tourna la tête vers le minet. Il contempla le fessier qu’il avait si bien plaqué contre le matelas, seulement quelques minutes auparavant, ses mouvements de hanches assénant un rythme puissant. De la fenêtre il avait une vue parfaite sur le croupier du jeune homme. Il apercevait les petites boules de celui-ci, appuyées contre le tissu du drap. Il les avait prises en main alors qu’il prenait le jeune homme en levrette, les malaxant avec une poigne de fer. Le sexe du jeune homme, ridiculement petit en comparaison, s’était raidis alors que sa propre verge esquissait des vas et viens athlétiques. Il se sentait durcir à nouveau, la peau de sa verge déjà décalottée. Il s’approcha du jeune homme, monta sur le lit et se plaça à califourchon sur le bassin surélevé de son amant qui gémit d’anticipation. L’homme lui écarta les fesses, plaça son gland contre son trou, et sans plus attendre poussa. Il fit glisser son sexe entre la paroi serrée mais encore lubrifié. Le jeune homme, cependant, ne put empêcher un petit cri de douleur et de plaisir mélangé. Il resta en lui un instant, une main plaquant le bassin du minet vers le bas, l’autre placé sur l’arrière de son cou, son sexe au plus profond de sa chatte. Il entama les vas et viens, arrivant rapidement à un rythme convenable. Le minet laissait à présent échapper de petits gémissements de plaisir. L’homme se fit la réflexion, tout en lui limant le cul, que certaines personnes avaient besoin de se sentir ainsi – totalement dominées. L’idée le fit durcir encore. Il sentait l’excitation monter en lui. Cependant il ne souhaitait pas finir ainsi. Lors de leur dernier ébat l’homme s’était lâché sur les reins du minet. Cette fois il comptait lui faire avaler sa semence. Il continua les mouvements de reins. Les cris du jeune homme s’accélérèrent. Il allait jouir. L’homme accentua le mouvement. Le jeune homme gémis puis soupira fortement. Il avait lâché sa semence fine contre les draps. Au tour de son maitre à présent. Il se retira et retourna le minet qui avait les traces de sa propre semence sur son ventre. Il se plaça prêt du visage et lui tendit sa verge. Le minet n’hésita pas. Il se mit à lui lécher le sexe goulument, prenant également ses boules en main et accompagnant le mouvement avec ses doigts. Il le prit en bouche et le suça longuement. Et dire qu’il y a deux semaines seulement ce soumis se disait hétéro et avait tenté de lui refuser satisfaction lors d’une soirée. A présent la situation était bien différente. L’homme était à genoux devant le jeune, son sexe se faisant pomper par celui-ci, ses couilles prêtes à se vider. Elles le firent, la semence emplissant la bouche puis la gorge du minet qui n’en laissa échapper aucune goute.
Mathias sourit. Il admira le sexe de l’homme qui restait dur devant lui. Il le caressa d’une main.
« Continues à le lécher petit. » L’homme plaça une main derrière sa tête pour l’encourager.
Mathias fit courir sa langue le long de l’engin, sentant les veines qui l’alimentaient, le gland énorme qu’il peinait parfois à prendre en bouche et s’attardant sur les deux boules toujours lourdes. L’homme écarta les cuisses. Le minet sourit avant de s’avancer encore, cette fois faisant jouer sa langue sur l’anus de son maitre. Il branla le sexe de l’homme qui, il en était certain, ne tarderait pas à vouloir le prendre une troisième fois.
En effet, M le regardait de haut, contemplant la courbure de ses reins, sentant de nouveau l’excitation monter en lui. Cette fois cependant, Mathias le chevaucha, s’aidant de ses mains qu’il appuyait contre les cuisses de l’homme au plus profond de lui. Parfois il s’attardait sur le gland, à la limite de la pénétration. L’homme le guida, ses mains le serrant fermement par la taille. Il s’enfonça totalement dans le jeune et Mathias sentit un jet chaud et puissant se propager en lui. Ils restèrent ainsi quelques instants. Puis l’homme se leva. Il sortit un gode vibreur d’un tiroir et le tendis vers Mathias,
« Tiens petit, j’ai du travail, tu peux finir avec ça. »
Le minet sourit, et, tandis que l’homme quittait la pièce, il plaça le bout de l’engin contre son trou, se plaçant sur le dos, les cuisses écartées. Il se masturba, sa petite queue raide entre trois doigts. Il y a quelques mois une fille lui avait dit que trois doigts étaient presque de trop pour un sexe aussi ridicule. A l’époque le commentaire l’avait bléssé. A présent il s’en moquait. Tout ce qui comptait était la taille de celle de son maitre.
Il se laissa jouir entre les draps, le vibreur au fond de son trou déjà bien dilaté et lubrifié par la semence de M.
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