• Récit 95

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    Le bois de Vincenne

    L’été avait été très chaud cette année là. Moi qui habituellement faisais mon tour de vélo en bord de marne j’avais été pris de l’envie irrésistible de prolonger jusqu’au bois de Vincennes pour y faire quelques découvertes. Pour ceux qui ne connaissent pas le bois est plein de chemin plus ou moins grands qui se croisent et se recroisent. J’ai assez vite repéré les « lieux » et commençait mes allers et venues.
    Une première touche, le petit jeu du chat et de la souris pouvait commencer. On finit par s’arrêter. Ma « touche » est grande avec seulement son short. Il s’approche de moi et me pose des questions anodines et moi je réponds de même. Il ne tarde pas à mettre sa main sur la bosse de mon short tout en continuant à parler. Mon coeur bat la chamade. Je fixe celle de son short, huum. Il glisse doucement sa main dans mon short et en sort mon sexe. Je fais de même. La sienne est plutôt impressionnante mais extrêmement douce au toucher. Je le complimente et lui fait de même. Ca y est tout est lancé… Il me propose de s’écarter un peu du chemin et nous nous enfonçons dans les sous bois avec nos vélos.
    Nous arrivons dans une petite clairière je n’en peux plus. En un rien de temps il est là devant moi, genou à terre à me lécher le sexe. Moi toujours avec mon casque de vélo et mes lunettes de soleil. Je n’en peux déjà plus. Je sens ses doigts qui commencent à me fouiller. Il se relève tout en me caressant, me fait maintenant basculer en avant. Je sens la fraîcheur du gel au bout des ses
    doigts.il me lèche la raie des fesses avec délices, je commence à deviner ce qu’il a derrière la tête…
    J’appuie mes mains sur un tronc couché. Ca y est voila sa bite qui s’installe entre mes fesses, elle tâtonne pour trouver l’entrée de mon petit trou que j’ai très serré. Il finit par entrer doucement. Ca n’en finit plus je me sens plein. Il saisit mes tétons qu’il titille. Ca me brûle un peu mais putain c’est bon. Comme souvent à Vincennes les coins qui paraissent déserts ne le sont pas vraiment. Un promeneur arrivait sur nous, je ne savais comment réagir. Je n’en ai pas eu besoin car j’étais immobilisé sans pouvoir faire grand chose et puis j’étais tellement excité… Le gars s’est approché de plus en plus en écartant les branche jusqu’à arriver à portée de main. Mon mec derrière moi ne s’était pas arrêté pour autant et continuait à me besogner en poussant des haan. Ca y est le promeneur a eu vite fait de sortir sa bite qu’il commençait à astiquer. Il approcha sa bite près de mon visage en tentant de me la faire prendre en bouche. Déjà deux autres promeneurs étaient venus nous rejoindre la bite à l’air. Des mains se promenaient sur moi. Un des trois saisit ma bite pour la travailler un peu. Je ne savais plus où j’en étais vraiment. Les trois devant moi commençaient à être plus que chaud. Celui qui avait la bite noueuse vint se placer devant moi, me saisie les cheveux et me mis d’office sa bite dans la bouche. Impossible de parler maintenant. Mon enculeur avait mis une capote pour les trois autres je ne savais pas si ils en avaient. J’eu rapidement du foutre plein la bouche que je crachais par terre. Un second prit sa place. Idem pour mon cul où mon enculeur finit par lâcher son foutre et fut vite remplacé. J’avais le cul en feu mais j’assouvissais mes désirs. Les deux qui avaient finis quittèrent les lieux mais déjà trois autres rappliquaient… C’était trop pour moi j’en finissais avec mes deux et mis les voiles. Sur le chemin trois autres mecs m’ont demandé où ça se passait… l’info circule vite dans les bois… je vous raconterai bientôt mes autres visites au bois car il y en eu d’autres après celle là…

     

    Récit 95

    HARD

    Je m'avance vers l'escalier qui descend au sous sol, et qui recrache une fumée de clopes et des effluves acres de Popper. Je soulève une tenture crasseuse en filet de camouflage. La musique pulse plus fort du métal et rebondit sur les murs chargés de graffitis obscènes et dégoulinants d’une pellicule de condensation poisseuse. Mon service trois pièces commence sérieusement à être à l’étroit dans mon cuir et en comprime le devant, ma teub cherche la sortie. C’est l’appel de la meute, et une onde d’excitation m’assèche la gueule. Je rabats le tissus et descend vers l’enfer...

    Putain, j’ai les valseuses comprimées, et mon mal de crane m’envoie des décharges électriques derrière les globes oculaires. Une odeur puissante de sueur s’ajoute au fumet ambiant…j’y vois que dalle, sinon des silhouettes venant par moment occulter le rougeoiement des clopes. Je m ‘immobilise en haut des marches, le temps d’humer l’air comme un clébard. Ma main gauche part à la recherche d’une rampe hypothétique la droite se faufile sous mon blouson et vient triturer machinalement mon téton gauche qui pointe par une déchirure du marcel. Ma queue est maintenant une barre de métal en fusion qui me chauffe les reins, la température s’élève sérieusement. Je sens couler des rigoles de sueur qui me poissent les flancs et descendent doucement  le long des cuisses via le raie du cul. J’ai plus un poil de sec, et recueille d’un balayage de langue les gouttes salées qui se fraient un chemin sur ma tronche pas rasée.

    Ce soir je me sens chien et de la pointe de la botte, je continue la descente. Mon pied hésite,  j’ai envie de gerber. Les décibels pulsent salement. Arrêt stratégique. Je cherche mon paquet de clopes à moitié écrasé dans la poche arrière de mon fut, en exhibe une tige partiellement émiettée et l’allume stratégiquement histoire de jeter un œil salace sur la faune ambiante… la lueur avare de l’allumette imprègne ma rétine de l’image furtive de silhouettes à l’affut .A la musique vient maintenant se superposer des râles étouffés, des toux grasses et glaireuses de fumeurs, des déglutitions rythmées. Je tète ma Marlboro comme un malade, en essayant de distinguer une gueule au milieu de cette purée, j’ai la gaule douloureuse et me triture le gland à travers la couture déchirée de la braguette ; je ne porte pas de slibard, je préfère le contact direct du cuir! Je viens de jeter mon mégot quand mon épaule effleure un bras qui semble faire barrage. Arrêt sur image, je stoppe les machines et essai de voir à quoi peut ressembler le mec qui cherche le contact… Ca bouge imperceptiblement et le bras se déplace.

    Une main fumée de nicotine vient explorer ma tronche, essayant de se faire une idée d’ensemble, cherche à forcer mes lèvres et descend direct vers les poils humides qui débordent de mon marcel. Hésitation….A mon tour d’essayer de savoir à quoi ressemble le candidat. Mes paluches s’égarent droit devant et entrent directement en contact avec une peau détrempée et bouillante. Ma main glisse le long d’un flanc nu et repart vers le haut, il à l’air bien gaulé le mec ! pas de graisse ! mes doigts devinent une aisselle détrempée. Je recentre et butte sur la pointe érigée d’un téton hypertrophié. Sa main elle aussi continue son exploration et pince au passage méchamment ma rustine en déchirant un peu plus le marcel .

    Putain c’est bon, ce mec connaît l’homme et kiffe les pecs en plus…..une bouche goulue au menton râpeux se greffe bientôt à l’aréole qu’elle commence à becter en salivant un max. Je sens illico une main  sur mon chibre, l’autre me malaxe le derche et essaye de s’introduire sous le cuir…je bande comme un malade sous sa pogne, mes sens s’affolent et ma migraine s’aiguise. J’ai envie de me crocheter avec lui, qu’il m’en fasse baver, qu’il me secoue, j’ai envie d’une baise hard, Mano à Mano, virile, une baise de mecs ! Je plaque contre le mur sa silhouette massive que je devine à peine et descend les deux dernières marches agrippé à lui. Il arrête d’explorer mes assises et on manque de se vautrer  quand il se déplie. Ma bouche vient s’écraser sur ses lèvres et  une langue épaisse me force le groin qu’elle explore goulûment.

    Mon salaud, il a dû s’enquiller un max  de nitro, il a la langue chargée à bloc.  Des  silhouettes diffuses s’écartent devant la charge. Nos dents s’entrechoquent, nos salives se mêlent . D’un genou je le cloue au mur, lui maintiens les bras en croix et lui lèche le visage en lui décrassant les naseaux au passage. Il grogne sourdement et s’échappe de mon emprise pour m’agripper le crane auquel il imprime une pression descendante. Petit à petit il me met à genoux, face à son paquet. Ma bouche grande ouverte s’active maintenant  sur le tissu râpeux d’un slip douteux que j’explore du mufle, il à ouvert son false…. Putain, il est monté comme un âne et sa torpille barre le slibard d’un bon 22 cms. Mes  mains agrippent le sous-vêt que je baisse, fébrile : sa queue me claque la gueule.  J’enfourne un gland énorme et suintant et commence à la téter en malaxant d’une main ses énormes balloches pendantes.

    Je gobe ses œufs un à un au risque de me décrocher la mâchoire, en imbibant son crin odorant de salive. De l’autre main j’essaie entre ses cuisses velues d’atteindre son trou à merde. Le majeur s’active dans une broussaille de poils détrempés, je tâtonne de l’ongle en humant des remugles de fauve. Mon esprit commence à décrocher, mon mâle feule en se triturant vaillamment les tétons. Ma tête est proche de l’explosion et la queue qui obstrue mon larynx  n’arrange rien  à mes  hoquets de gerbe, j’en pleure. Je suce goulûment le barreau de ce bâtard, quand ses deux mains me saisissent par le devant du cuir et me redressent durement. Le salaud reprend le dessus…. Il empaume mes couilles et tire de l’autre main sur la ceinture de mon pantalon dont le bouton lâche, puis me crache à la gueule pour me faire comprendre qui est le chef et s’empare au passage de ma teub en la tordant méchamment.

    Il m’oblige à me retourner face au mur, s’accroupit en maintenant la pression et descend le pantalon d’un coup sec et me saisit les fesses qu’il écarte sans ménagement des deux mains. J’ai la queue qui tâte un peu du crépi. Bordel ! il va me défoncer… ! Autour de nous les lueurs de clopes se multiplient et je sens à chaque taffe les regards attentifs de mecs qui s’astiquent comme des barges. Son crachat dégouline de mon menton et va pourrir un peu plus le sol. Un souffle contracte ma rondelle et  une langue me tartine les poils du cul de salive. Ouah ! j’entre en transe. Le salopard pousse la pointe de la langue dans mon anneau : je mouille de la queue comme une salope et j’ai l’impression que ma tronche sa s’ouvrir en deux pour laisser de barrer tout un orchestre symphonique. Malgré moi, mon cul se cambre et s’ouvre, j’ai envie de me faire saillir comme une chienne, je veux qu’il m’embroche.

    Sa langue continue de progresser et déclenche des frissons dans tout le corps ;  j’ouvre de mes deux mains l’accès à la fabrique à chocolat pour l’aider;  il réussit à introduire une partie de sa langue dans mon intestin, le pied ! J’ai maintenant la face écrasée contre le béton. En me bouffant le cul il me travaille les seins qu’il étire comme un malade. L’assemblée grogne et attend la suite en s’astiquant de plus belle, les flacons de Popper circulent…

    je remonte le cul le temps de sentir son souffle de buffle sur la nuque. Un doigt mouillé remplace la langue  et commence un va et viens saccadé dans mes sphincters, je décolle. Il me tord la tête et me roule une pelle monumentale. Sa queue prodigieuse se positionne pour me troncher. Son gland vient taper contre mon trou de balle et pousse. J’ai l’impression de me faire éclater le fion quand d’un seul coup et en poussant un cri de dingue, il m’embroche jusqu’aux couilles. Rentré jusqu’à la garde, son zob me fait couiner de douleur. Un vas et viens curieusement dosé  calme ma douleur et allume une onde d’excitation grandissante.

    Mon tueur se retire à moitié et replonge sa queue d’un coup sec avec un bruit de succion. Le mouvement s’accélère et devient pilonnage…je saisis ma teub et la secoue fébrilement en sentant le foutre monter à l ‘assaut de la hampe. Tout devient flou, je sens sa barre vibrer quand des salves de foutre envahissent  mon cul par saccades. Je balance ma crème sur le mur en beuglant comme un taureau. Le front appuyé sur la muraille m’apporte un semblant de fraicheur pendant que mon pointeur se retire, la gaulle encore conquérante.

    Il me retourne doucement me fait fléchir les jambes. Je m’affale à genoux sur le sol gras, il me soulève le menton et introduit son mandrin encore bandé entre mes lèvres. Le nettoyage de sa bite me fais monter un spasme, et c’est recouvert de giclées de sperme lâchées par l’entourage que je  me libère enfin et dégueule  mon trop plein d’alcool en tombant en avant.

    Quand je me redresse à quatre pattes, ce salaud s’est barré.

    Venin69

    crotale52@gmail.com

     

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